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(#) Lun 6 Juin - 15:55
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Absences depuis quelques jours, inspirent sentiment d’inquiétude chez mère soucieuse. Fierté que d’avoir engendré pareil bout de femme. Précieuse prunelle. Raison de vivre à laquelle elle s’accroche – parfois trop – à défaut d’un mari délateur. Alors, s’approprie habitude établie entre elles, afin de nourrir stratégie et quérir nouvelles. Message envoyé, prévient d’une visite prochaine apportant de quoi rassasier à l’heure d’un repas de soirée.
Pizzeria de prédilection en ligne de mire. Dérobe mets préférés, règle et emporte butin jusqu’à l’antre de môme indépendante. Discrétion et anonymat accompagnent enjambées à travers rues et ruelles traversées. Ombre noire transportant cartons, diffuse effluves délicieux dans sillage. Mère apparait devant entrée. Elle sonne et s’annonce chantante … Livraison de pizzas ! Porte qui s’ouvre par la main d’une jeune femme aux légères contusions néanmoins visibles. Faciès matriarcal ne peut s’empêcher d’afficher les indices d’une légère inquiétude. Néanmoins, mère trahit sourire en coin avant de passer une main derrière tignasse bouclée pour l’asséner d’un baisé habituel et affirmé sur la joue de sa fille. Salut ma puce. qu’elle déclare avant de pouvoir pénétrer appartement et déposer pitances sur surface appropriée.
Libérées, mimines se débarrassent alors de longue veste noire pendant que lippes s’adonnent à l’interrogatoire prévu : … tu vas bien ? Ça fait un petit moment qu’on ne t’as pas vue au QG… Tu t’es battue ? qu’elle demande sans détour, pointant les quelques preuves encore visibles. Mère faisant part de tourment légitime dû à l’absentéisme de Maera. Inquiétudes qui s’accentuent lorsque mires repèrent écorchures encore inexpliquées… Attend sagement élucidation.
Pizzeria de prédilection en ligne de mire. Dérobe mets préférés, règle et emporte butin jusqu’à l’antre de môme indépendante. Discrétion et anonymat accompagnent enjambées à travers rues et ruelles traversées. Ombre noire transportant cartons, diffuse effluves délicieux dans sillage. Mère apparait devant entrée. Elle sonne et s’annonce chantante
Libérées, mimines se débarrassent alors de longue veste noire pendant que lippes s’adonnent à l’interrogatoire prévu :
(#) Lun 6 Juin - 20:07
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La rencontre avec son père, enfin l'affrontement inattendu, a été plus éprouvante que Maera ne l'aurait pensé. Ca l'a remué, plus qu'elle ne veut l'avouer à qui que ce soit, plus qu'elle ne veut le montrer. Alors, elle est restée chez elle le premier jour, avant de sortir le soir, décidée à aller se battre à nouveau, pour se détendre. Mais elle n'est pas assez concentrée, et se fait avoir sur quelques coups faciles, réussissant néanmoins à mettre KO son adversaire. Le mal est fait malheureusement, et la blonde se traîne jusqu'à chez elle sous la douleur, non sans un arrêt à la patinoire au passage.
Il lui faut alors plusieurs jours à la Bates pour se remettre. Les douleurs sont vives pendant deux jours, alors elle reste chez elle, soignant ses courbatures ainsi que les plaies présentes sur son visage, et bleus sur son corps. Glace, eau oxygénée et crème sont ses meilleurs amis, en plus de sa télé et de sucreries. Deux jours à ignorer le reste du monde pour se questionner et questionner cette rencontre qui la bouleverse toujours. Encore plus quand elle voit que son ancien portable a sonné plusieurs fois. Appels de son père.
Laissant ce téléphone de côté, finissant par l'éteindre, elle se concentre sur son téléphone principal, sur lequel un message de sa mère s'affiche: elle vient la voir, avec le dîner. Un soupir franchit les lèvres de Mae, qui répond par un simple "Ok". Des questions vont fuser. De sa mère pour commencer, mais aussi d'elle. Car elle en a plusieurs à adresser à sa génitrice depuis sa rencontre dans les rues noires du Bronx, et elle ne va pas pouvoir les garder pour elle très longtemps aux côtés de sa mutante de maman.
Quand la sonnette puis l'annonce de l'arrivée de sa mère se fait entendre, la jeune femme met sur pause Netflix pour se lever et marcher laborieusement jusqu'à sa porte. Sourire aux lèvres, elle ouvre et embrasse sa mère comme de coutume.
- B'soir M'man !
Murmure-t-elle une fois le baiser déposer sur la joue maternelle, avant de refermer la porte de son appartement derrière elle. Puis, elle rejoint la surface de sa cuisine sur laquelle les pizzas viennent d'être posées, afin de satisfaire sa curiosité: elle ouvre les boîtes et hume la bonne odeur des pâtes croustillantes bien garnies.
- Miam !
L'onomatopée sort du fond du coeur, alors que l'odeur emplie la pièce. Puis ses yeux se relèvent vers sa mère qui l'interroge sur son état. Nouveau soupir, tandis qu'elle hausse les épaules en voyant l'inquiétude dans les yeux de celle qui lui a donné la vie.
- Ca va. Juste un combat qui a mal tourné par rapport à ce qui était prévu, j'ai eu besoin de quelques jours.
Aveu qui franchit ses lèvres avec désolation, avant qu'elle ne sorte deux assiettes, au besoin, pour les déposer sur la table basse. Sa mère est au courant pour ses combats illégaux, elle ne fera donc pas de polémiques dessus, elle.
- Je n'étais pas assez concentrée dessus, j'étais ailleurs. Mais j'ai gagné, c'est déjà ça.
Nouveau haussement de ses épaules, alors que ses yeux se posent sur la blonde non loin d'elle. Les questions sont nombreuses dans ce regard, mais elle n'en pose qu'une. La plus simple qui soit.
- Et toi, ça va ?
Commençons par le commencement. Le reste viendra en temps voulu.
Il lui faut alors plusieurs jours à la Bates pour se remettre. Les douleurs sont vives pendant deux jours, alors elle reste chez elle, soignant ses courbatures ainsi que les plaies présentes sur son visage, et bleus sur son corps. Glace, eau oxygénée et crème sont ses meilleurs amis, en plus de sa télé et de sucreries. Deux jours à ignorer le reste du monde pour se questionner et questionner cette rencontre qui la bouleverse toujours. Encore plus quand elle voit que son ancien portable a sonné plusieurs fois. Appels de son père.
Laissant ce téléphone de côté, finissant par l'éteindre, elle se concentre sur son téléphone principal, sur lequel un message de sa mère s'affiche: elle vient la voir, avec le dîner. Un soupir franchit les lèvres de Mae, qui répond par un simple "Ok". Des questions vont fuser. De sa mère pour commencer, mais aussi d'elle. Car elle en a plusieurs à adresser à sa génitrice depuis sa rencontre dans les rues noires du Bronx, et elle ne va pas pouvoir les garder pour elle très longtemps aux côtés de sa mutante de maman.
Quand la sonnette puis l'annonce de l'arrivée de sa mère se fait entendre, la jeune femme met sur pause Netflix pour se lever et marcher laborieusement jusqu'à sa porte. Sourire aux lèvres, elle ouvre et embrasse sa mère comme de coutume.
- B'soir M'man !
Murmure-t-elle une fois le baiser déposer sur la joue maternelle, avant de refermer la porte de son appartement derrière elle. Puis, elle rejoint la surface de sa cuisine sur laquelle les pizzas viennent d'être posées, afin de satisfaire sa curiosité: elle ouvre les boîtes et hume la bonne odeur des pâtes croustillantes bien garnies.
- Miam !
L'onomatopée sort du fond du coeur, alors que l'odeur emplie la pièce. Puis ses yeux se relèvent vers sa mère qui l'interroge sur son état. Nouveau soupir, tandis qu'elle hausse les épaules en voyant l'inquiétude dans les yeux de celle qui lui a donné la vie.
- Ca va. Juste un combat qui a mal tourné par rapport à ce qui était prévu, j'ai eu besoin de quelques jours.
Aveu qui franchit ses lèvres avec désolation, avant qu'elle ne sorte deux assiettes, au besoin, pour les déposer sur la table basse. Sa mère est au courant pour ses combats illégaux, elle ne fera donc pas de polémiques dessus, elle.
- Je n'étais pas assez concentrée dessus, j'étais ailleurs. Mais j'ai gagné, c'est déjà ça.
Nouveau haussement de ses épaules, alors que ses yeux se posent sur la blonde non loin d'elle. Les questions sont nombreuses dans ce regard, mais elle n'en pose qu'une. La plus simple qui soit.
- Et toi, ça va ?
Commençons par le commencement. Le reste viendra en temps voulu.
(#) Mar 7 Juin - 21:21
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Salutations habituelles et démonstration d’affection qu’elle chérit. Pitance qui déjà embaume la pièce de ses effluves délicieux, promettant délice d’un repas partagé entre mère et fille. Tête-à-tête qu’elle adore plus que tout. Parce que Prunelle ; dernière représentante de sa vie préférée, mère dévouée à leur cause, entretenant relation précieuse et saine. Vipère s’accroche. Peut-être même parfois un peu trop…
Môme la rassure en confiant que simplement combat ayant mal tourné mais dont elle a dominé la finalité. Présente besoin de quelques jours afin de se remettre. Faciès de madone affiche des traits alors rassurés. Sourire en coin démontre sentiment de fierté intérieur. Parce qu’elle est forte. Déterminée et consciencieuse.Elle sait ce qu’elle fait. … Je suis fière de toi Mae. qu’elle répond, simplement. Évidence qu’elle ne peut garder pour elle. Parce que c’est vrai.
Mistonne eut installé de quoi déguster mets. Mais le regard questionne davantage qu’interrogation qui s’envole des lippes. Daronne décèle légère contrariété. Comme si quelque chose sous-jacent inspirait question basique. Réponse se fit spontanée. Ça va je te remercie. Les affaires sont plutôt bonnes en ce moment. On pense pouvoir conclure de nouveaux partenariats avec la société. qu’elle avoue. Parce qu’il était hors de question de cacher vie du corpus originel – femme d’affaire – aux yeux de propre chaire. Serment qu’elle s’était faite. Même s’il s’agissait de la fille d’Asther, il est indéniable qu’elle ne soit pas la fille d’Irina.
Alors, s’installant autour de la table basse où vaisselle soigneusement posée, mère ouvre cartons afin qu’elles puissent s’emparer des parts déjà découpées.… mais pour être honnête avec toi, j’ai de plus en plus de migraines ces derniers temps. Je me demande si je ne vais pas devoir freiner mes dédoublements. Parce qu’il n’était pas question de parler uniquement boulot. Intimité mutante qu’elles partagent également. Ses doutes, ses craintes, elle ne les lui impose pas. Jamais. Juste lui faire part des faits. Parce qu’elle n’a pas à s’inquiéter pour elle. Môme devant se concentrer sur vie propre, devant se faire toute seule. Développement personnel et indépendance encouragée par matriarche. Et si elle peut prodiguer conseil sur essor du gène commun, elle répondra présente.
Môme la rassure en confiant que simplement combat ayant mal tourné mais dont elle a dominé la finalité. Présente besoin de quelques jours afin de se remettre. Faciès de madone affiche des traits alors rassurés. Sourire en coin démontre sentiment de fierté intérieur. Parce qu’elle est forte. Déterminée et consciencieuse.
Mistonne eut installé de quoi déguster mets. Mais le regard questionne davantage qu’interrogation qui s’envole des lippes. Daronne décèle légère contrariété. Comme si quelque chose sous-jacent inspirait question basique. Réponse se fit spontanée.
Alors, s’installant autour de la table basse où vaisselle soigneusement posée, mère ouvre cartons afin qu’elles puissent s’emparer des parts déjà découpées.
(#) Mer 8 Juin - 20:37
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La venue de sa mère lui fait plaisir, autant que cela la préoccupe. Après sa rencontre avec son père, dans cette rue du Bronx, et ce qu'elle a appris, les questions de Maera sont nombreuses. Bien trop pour qu'elle arrive à rester silencieuse dessus. Non, elle les poser, elle le sait. Mais elle ne sait pas avec quelle force, quelle colère elle pourrait s'exprimer au fil de la soirée. En attendant, elle arrive à accueillir sa mère sans jeter à sa gorge. Un sourire sur les lèvres. Les embrassades habituelles. Un bonheur pour la jeune femme de retrouver sa mère pour elle ce soir.
Les pizzas posées sur un des plan de travail de sa cuisine, la blonde s'occupe de sortir assiettes et couverts, alors que la question sur son état est posée. Des épaules qui se haussent, puis la réponse vient. Un combat qui a mal tourné, car elle n'était pas assez concentrée. La vérité, tout simplement. Sans entrer dans les détails encore. Dans le pourquoi du comment. Dans la raison de sa déstabilisation au cours de son combat.
Néanmoins sa mère est fière. Une affirmation de cette dernière qui fait doucement sourire la jeune Bates, qui lève vers elle un regard brillant. La fierté de sa mère lui fait toujours cet effet. Une excellente relation qu'elles entretiennent depuis longtemps, mais savoir la fierté de sa mère, cela lui fait toujours un petit quelque chose.
- Merci...
Murmure-t-elle simplement, avant de se laisser tomber dans son canapé, laissant ses yeux remonter jusqu'à sa mère. Elle l'observe un instant, un regard rempli de questions, avant de simplement prendre de ses nouvelles. Plusieurs jours qu'elles ne se sont pas vu, autant commencer par le commencement. Le reste viendrait en temps voulu. Et alors, elle se tait dans l'attente d'une réponse à sa question. Qui arrivent vite. Les affaires sont bonnes. La tête de la blonde est hochée. Bonne nouvelle alors. Elle sait que sa mère est une redoutable femme d'affaire, et qu'elle travaille avec hargne pour réussir et continuer de faire réussir l'affaire familiale dont elle a hérité.
- C'est génial.
Commente-t-elle simplement, sans grand entrain, se penchant pour prendre une part de pizza découpée, qu'elle fait glisser dans une assiette. Qui, rapidement, arrive au niveau de ses lèvres, et une première bouchée est avalée. Délicieuse, comme toujours. Elle se régale. Voilà qui va bien remplir son estomac. Pensée qui s'échappe un instant, avant qu'elle ne se reconcentre sur la conversation. Des soucis avec ses dédoublements. Une grimace se dessine sur le visage de Maera quand elle entend ça. Elle n'aime pas savoir que sa mère souffre.
- Si c'est ce qu'il y a de mieux pour ta santé et toi, fais le Maman.
Inquiète Maera ? Un peu. Elle n'a pas envie qu'il arrive quoi que ce soit à sa mère. Elle l'observe quelques instants, avant de reprendre.
- Fais peut-être une pause, afin de te reposer et reposer ton esprit et ton corps ?
Sage pensée et proposition. Il ne reste qu'à savoir si sa mère le sera tout autant. En attendant, elle prend une nouvelle bouchée de sa part de pizza, qu'elle mange avec délicatesse. Puis une autre. Et encore une autre. Comme pour retarder l'arrivée de la question suivante. Qui finit par sortir toute seule, tant elle obsède Maera depuis plusieurs jours.
- Pourquoi tu lui as dit, pour ma mutation ?
Son père. Pourquoi, elle l'a dit à son père ? Sans l'en informer au passage. d'ailleurs elle se rend compte qu'elle reste assez flou, alors elle précise.
- A Papa, je veux dire. Pourquoi tu lui as dit pour ma mutation, sans me le dire qui plus est ?
Les pizzas posées sur un des plan de travail de sa cuisine, la blonde s'occupe de sortir assiettes et couverts, alors que la question sur son état est posée. Des épaules qui se haussent, puis la réponse vient. Un combat qui a mal tourné, car elle n'était pas assez concentrée. La vérité, tout simplement. Sans entrer dans les détails encore. Dans le pourquoi du comment. Dans la raison de sa déstabilisation au cours de son combat.
Néanmoins sa mère est fière. Une affirmation de cette dernière qui fait doucement sourire la jeune Bates, qui lève vers elle un regard brillant. La fierté de sa mère lui fait toujours cet effet. Une excellente relation qu'elles entretiennent depuis longtemps, mais savoir la fierté de sa mère, cela lui fait toujours un petit quelque chose.
- Merci...
Murmure-t-elle simplement, avant de se laisser tomber dans son canapé, laissant ses yeux remonter jusqu'à sa mère. Elle l'observe un instant, un regard rempli de questions, avant de simplement prendre de ses nouvelles. Plusieurs jours qu'elles ne se sont pas vu, autant commencer par le commencement. Le reste viendrait en temps voulu. Et alors, elle se tait dans l'attente d'une réponse à sa question. Qui arrivent vite. Les affaires sont bonnes. La tête de la blonde est hochée. Bonne nouvelle alors. Elle sait que sa mère est une redoutable femme d'affaire, et qu'elle travaille avec hargne pour réussir et continuer de faire réussir l'affaire familiale dont elle a hérité.
- C'est génial.
Commente-t-elle simplement, sans grand entrain, se penchant pour prendre une part de pizza découpée, qu'elle fait glisser dans une assiette. Qui, rapidement, arrive au niveau de ses lèvres, et une première bouchée est avalée. Délicieuse, comme toujours. Elle se régale. Voilà qui va bien remplir son estomac. Pensée qui s'échappe un instant, avant qu'elle ne se reconcentre sur la conversation. Des soucis avec ses dédoublements. Une grimace se dessine sur le visage de Maera quand elle entend ça. Elle n'aime pas savoir que sa mère souffre.
- Si c'est ce qu'il y a de mieux pour ta santé et toi, fais le Maman.
Inquiète Maera ? Un peu. Elle n'a pas envie qu'il arrive quoi que ce soit à sa mère. Elle l'observe quelques instants, avant de reprendre.
- Fais peut-être une pause, afin de te reposer et reposer ton esprit et ton corps ?
Sage pensée et proposition. Il ne reste qu'à savoir si sa mère le sera tout autant. En attendant, elle prend une nouvelle bouchée de sa part de pizza, qu'elle mange avec délicatesse. Puis une autre. Et encore une autre. Comme pour retarder l'arrivée de la question suivante. Qui finit par sortir toute seule, tant elle obsède Maera depuis plusieurs jours.
- Pourquoi tu lui as dit, pour ma mutation ?
Son père. Pourquoi, elle l'a dit à son père ? Sans l'en informer au passage. d'ailleurs elle se rend compte qu'elle reste assez flou, alors elle précise.
- A Papa, je veux dire. Pourquoi tu lui as dit pour ma mutation, sans me le dire qui plus est ?
(#) Sam 11 Juin - 11:29
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Reconnaissance exprimée envers fierté maternelle. Nul besoin de mots superflus, parce qu’elles savent très bien que sentiments honnêtes.
Môme à la rétorque plutôt réservée sur affaires, mère n’en tient rigueur. Après tout, vie parallèle dans laquelle elle n’a aucun rôle, ne peut éveiller ou maintenir intérêt. Installées, confiant mal-être vis-à-vis d’une santé légèrement instable, rejeton ne peut s’empêcher d’affirmer stratégie amorcée par la mère. Elle acquiesce. Propose également de faire une pause pour reposer esprit en plus du corps. Pensée emplie de sagesse qui fait sourire la blonde.… Je vais y penser. Lui affirme-t-elle. Guère sur la défensive, il lui est compliqué de lâcher du lest afin de prendre soin d’elle. Tout le monde le sait. Toujours sur le qui-vive afin de mener plusieurs vies, aujourd’hui, marque un temps de relâche important afin d’éviter surmenage enclin à folie. Déjà que trou intérieur béant causé par décès de clone gangrène psyché, il ne faudrait pas qu’asthénie s’additionne pour accabler davantage corpus.
Mais c'est sans ménagement que poupon enchaîna avec question plus qu'inattendue, stoppant net dégustation de première bouchée de madone. Reposant part dans assiette, elle dirigea son regard bleu étonné vers Maera.Comment ? … Daronne mise face à propre bourde. Doit répondre de faiblesse d'il y a quelques paires d'années… Alors, essuie lèvres d'une serviette, prenant temps de préparer ordre des palabres. … Mae je… Je ne voulais pas le lui dire. qu'elle commence, désolée d'erreur commise. Reposant mirettes sur faciès de la jeune, elle poursuivit, justifiant alors acte potentiellement inexcusable aux yeux de sa fille. Mais lui doit vérité : … Quand on s'est disputé, je me suis énervée. Il m'a poussé à bout, je me suis laissée emporter. Je ne pouvais pas concevoir qu'il se retourne contre moi, contre nous, contre notre famille sous prétexte que je sois mutante et sous prétexte qu'il a reçu un ordre. Et c'est à ce moment-là que… que je lui ai demandé s'il serait capable de faire ça à sa propre fille. qu'elle ajoute, relents de haine encore bien présents, contractant mâchoire et assombrissant regard. Parce que personne ne touchera à un cheveu de sa fille…Personne. C'est là qu'il a compris. qu'elle conclut. Parce qu'elle l'a dit sans le dire. Et qu'elle s'en est profondément voulu. Encore aujourd'hui. Baisse le regard une seconde… … Je suis désolée Maera. sincérité du dessolement transpire à travers comportement. Elle s'est détestée pour ça.
Mais c’est son tour de s’interroger. Iris bleutées recouvrent celles enfantées, l’air interrogateur à la limite de l’appréhension… Mais dis-moi… comment tu as su ? Suppositions nombreuses de scénarios improbables qui lui glacent le sang.
Môme à la rétorque plutôt réservée sur affaires, mère n’en tient rigueur. Après tout, vie parallèle dans laquelle elle n’a aucun rôle, ne peut éveiller ou maintenir intérêt. Installées, confiant mal-être vis-à-vis d’une santé légèrement instable, rejeton ne peut s’empêcher d’affirmer stratégie amorcée par la mère. Elle acquiesce. Propose également de faire une pause pour reposer esprit en plus du corps. Pensée emplie de sagesse qui fait sourire la blonde.
Mais c'est sans ménagement que poupon enchaîna avec question plus qu'inattendue, stoppant net dégustation de première bouchée de madone. Reposant part dans assiette, elle dirigea son regard bleu étonné vers Maera.
Mais c’est son tour de s’interroger. Iris bleutées recouvrent celles enfantées, l’air interrogateur à la limite de l’appréhension…
(#) Sam 11 Juin - 14:06
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"… Je vais y penser." A cette phrase, Mae lance un long regard à sa mère. Un regard qui veut en dire beaucoup. Ce n'est pas y penser qu'elle doit faire, mais essayer. Car la jeune femme n'aimerait pas voir la santé de sa mère se détériorer à cause de sa mutation. Même si elle sait que ça serait dur pour sa génitrice que de s'arrêter quelques temps. Mais quand il faut, il faut.
- Ce n'est pas penser Maman, qu'il faut faire, mais essayer.
Finit par souffler la Bates, après une courte réflexion sur le pour et le contre de prononcer ses mots. Mais elle choisit de laisser paraître son inquiétude pour sa mère à ce sujet, et l'inciter, si elle le peut, à prendre une pause méritée pour elle et son bien. Sinon, elle guetterait de loin, elle veillerait à la santé de sa mère.
Soupir qui franchit silencieusement ses lèvres, puis Maera reprend la dégustation de sa part de pizza. Le silence s'installe, alors qu'elle a envie de poser des questions. Enfin une principalement. Mais elle ne sait par où commencer, alors elle réfléchit en mangeant. Sûrement trop. C'est certainement pour ça que sa langue prend alors le dessus sur son cerveau, et pose la question qui lui brûle les lèvres depuis qu'Irina a fait son apparition, et qui l'obsède depuis plusieurs jours.
Confrontée sa mère à son aveu gardé secret enlève comme un poids des épaules de la blonde, qui plonge ses pupilles dans ceux de sa génitrice. Pas question de détourner le regard. Encore moins maintenant que sa demande allait entraîner d'autres questions, de la part de sa mère maintenant. Bientôt, elle saurait que sa fille a revu son père. Au détour d'une rue du Bronx, après deux combats illégaux. Mais plus tard, pour le moment, seules comptent les réponses à sa question, et cela arrive enfin.
- Tu ne voulais pas, mais tu l'as fait.
Rétorque, légèrement acerbe, Maera. Plus fort qu'elle, mais la trahison a été dur à avaler, et l'est toujours. Tout cela parce que malgré les années passées, jamais sa mère ne lui avait dit qu'elle avait avoué la vérité à son père. Alors qu'elle aurait pu. Non, qu'elle aurait dû. Ses yeux qui se détournent un instant retrouvent les pupilles maternelles quand celle-ci reprend la parole pour expliquer comment cela s'est passé.
Si Irina n'a rien directement, elle a assez sous-entendu pour que Nate comprennent que leur fille est une mutante. Secret duquel il était exclu depuis la découverte de sa mutation par l'adolescente. Un nouveau soupir quitte les lèvres de la jeune femme, qui se passe rapidement une main sur le visage, alors que sa mère s'excuse. Des excuses sincères, elle le voit, elle le sent.
- Je sais...
Murmure Mae pour commencer, avant de regarder à nouveau sa mère. Comment lui en vouloir ? La situation était compliquée à l'époque, et elle sait ce que c'est de s'emporter dans
- C'est juste que j'aurai aimé que tu me le dises...
Plutôt que de l'apprendre de la bouche même de son père, dans cette rue sombre de New York, faisant naître en elle un long frisson. Image souvenir qui voile un instant les pupilles de la blonde, qui revoit la scène, jusqu'à ce qu'elle perçoit les iris de sa mère plongée dans les siennes. Mae lui sourit alors. Sourire qu'elle perd quand elle entend la question maternelle. Déglutissement difficile. Elle se laisse aller dans le fond de son fauteuil, détournant les yeux quelques secondes. Elle ne peut pas lui mentir... Seuls deux personnes savent ce secret. Sa mère et... son père... Il n'y a que lui pour avoir informer Maera de tout cela. Alors, elle revient à sa mère.
- J'ai rencontré Papa, il y a quelques jours. Il m'a retrouvé.
L'annonce tombe, et jette comme un froid glacial dans la pièce. Des années à échapper à ses radars, et voilà que Mae tombe à nouveau dedans.
- Il m'attendait à la sortie d'une soirée de combats.
Ajoute-t-elle avant que sa mère n'ait eu le temps de parler, comme si la précision était importante.
- Ce n'est pas penser Maman, qu'il faut faire, mais essayer.
Finit par souffler la Bates, après une courte réflexion sur le pour et le contre de prononcer ses mots. Mais elle choisit de laisser paraître son inquiétude pour sa mère à ce sujet, et l'inciter, si elle le peut, à prendre une pause méritée pour elle et son bien. Sinon, elle guetterait de loin, elle veillerait à la santé de sa mère.
Soupir qui franchit silencieusement ses lèvres, puis Maera reprend la dégustation de sa part de pizza. Le silence s'installe, alors qu'elle a envie de poser des questions. Enfin une principalement. Mais elle ne sait par où commencer, alors elle réfléchit en mangeant. Sûrement trop. C'est certainement pour ça que sa langue prend alors le dessus sur son cerveau, et pose la question qui lui brûle les lèvres depuis qu'Irina a fait son apparition, et qui l'obsède depuis plusieurs jours.
Confrontée sa mère à son aveu gardé secret enlève comme un poids des épaules de la blonde, qui plonge ses pupilles dans ceux de sa génitrice. Pas question de détourner le regard. Encore moins maintenant que sa demande allait entraîner d'autres questions, de la part de sa mère maintenant. Bientôt, elle saurait que sa fille a revu son père. Au détour d'une rue du Bronx, après deux combats illégaux. Mais plus tard, pour le moment, seules comptent les réponses à sa question, et cela arrive enfin.
- Tu ne voulais pas, mais tu l'as fait.
Rétorque, légèrement acerbe, Maera. Plus fort qu'elle, mais la trahison a été dur à avaler, et l'est toujours. Tout cela parce que malgré les années passées, jamais sa mère ne lui avait dit qu'elle avait avoué la vérité à son père. Alors qu'elle aurait pu. Non, qu'elle aurait dû. Ses yeux qui se détournent un instant retrouvent les pupilles maternelles quand celle-ci reprend la parole pour expliquer comment cela s'est passé.
Si Irina n'a rien directement, elle a assez sous-entendu pour que Nate comprennent que leur fille est une mutante. Secret duquel il était exclu depuis la découverte de sa mutation par l'adolescente. Un nouveau soupir quitte les lèvres de la jeune femme, qui se passe rapidement une main sur le visage, alors que sa mère s'excuse. Des excuses sincères, elle le voit, elle le sent.
- Je sais...
Murmure Mae pour commencer, avant de regarder à nouveau sa mère. Comment lui en vouloir ? La situation était compliquée à l'époque, et elle sait ce que c'est de s'emporter dans
- C'est juste que j'aurai aimé que tu me le dises...
Plutôt que de l'apprendre de la bouche même de son père, dans cette rue sombre de New York, faisant naître en elle un long frisson. Image souvenir qui voile un instant les pupilles de la blonde, qui revoit la scène, jusqu'à ce qu'elle perçoit les iris de sa mère plongée dans les siennes. Mae lui sourit alors. Sourire qu'elle perd quand elle entend la question maternelle. Déglutissement difficile. Elle se laisse aller dans le fond de son fauteuil, détournant les yeux quelques secondes. Elle ne peut pas lui mentir... Seuls deux personnes savent ce secret. Sa mère et... son père... Il n'y a que lui pour avoir informer Maera de tout cela. Alors, elle revient à sa mère.
- J'ai rencontré Papa, il y a quelques jours. Il m'a retrouvé.
L'annonce tombe, et jette comme un froid glacial dans la pièce. Des années à échapper à ses radars, et voilà que Mae tombe à nouveau dedans.
- Il m'attendait à la sortie d'une soirée de combats.
Ajoute-t-elle avant que sa mère n'ait eu le temps de parler, comme si la précision était importante.
(#) Dim 12 Juin - 13:57
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Inquiétude visible chez sa fille. Tant et si bien qu'elle la reprend pour changer verbe de dernière réplique. Pas penser, mais le faire. Éducation pointilleuse reflète là empathie inculquée. Frisson s'échoue sur colonne, sans tressaillir, pensant une seconde au père partiellement responsable d'éducation. Quelle fierté quand même.. . Madone s'entendrait presque au travers des mots entendus de la bouche de poupon.
« Tu ne voulais pas, mais tu l'as fait. » qu'elle accuse. L'a fait sans le faire. Aveu indirecte qui – pour une fois – a été saisi au premier lancé. Le soupire lâché est pris comme fardeaux à porter. Elle, mère ayant trahi le secret qu'elles partageaient depuis. Toutes les deux. Mais c'est à deux qu'elles vécurent alors les conséquences de la première révélation, la mort. Irrémédiable. Protégeant ainsi, par sacrifice indirecte, la nature révélée du deuxième secret. Parce qu'il est là un sort qu'elle ne souhaite guère faire subir à progéniture. Ni à quiconque sous prétexte d'un gène…
Prunelle déclare enfin qu'elle aurait aimé que mère lui dise caftage. Sentiment légitimé par esgourdes matriarcales. Néanmoins, dans le fond, qu'est-ce que cela aurait bien pu changer ? Fuite prise par môme, induise par l'altercation et déflagration. Mutante ou pas, il ne s'agissait pas de l'arrêter elle, mais la criminelle des lieux. Daron au courant ou pas de la nature de la fuyarde, n'aurait guère agi contre elle à moins d'un ordre.Jamais. Irina ne l'aurait pas laissé faire.
Maitresse du mensonge, s'applique à rédemption.… J'aurais dû te le dire oui. J'ai eu peur que tu m'en veuilles d'avoir trahi notre secret. Excuse-moi Maera. Parce que l'omission volontaire pire que trahison aux yeux de la fille.
Dévoile alors père rencontré il y a quelques jours, précise que ce fut lui qui l'eut retrouvée, l'attendant à la sortie d'une soirée de combats. Dédoubleuse aux pupilles rétractées s'exclame : .. Quoi ?! dépose délicatement l'assiette sur table basse avant de requérir le visage de fille. Cœur serré, déclare : Comment ? … Comment t'a-t-il retrouvé ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Qu'est-ce qu'il t'a dit ? Rafale de questions qui se suivent trahissent la surprise et le stress de rencontre redoutée depuis le jour j. Vipère veut savoir. Doit savoir.
Prunelle déclare enfin qu'elle aurait aimé que mère lui dise caftage. Sentiment légitimé par esgourdes matriarcales. Néanmoins, dans le fond, qu'est-ce que cela aurait bien pu changer ? Fuite prise par môme, induise par l'altercation et déflagration. Mutante ou pas, il ne s'agissait pas de l'arrêter elle, mais la criminelle des lieux. Daron au courant ou pas de la nature de la fuyarde, n'aurait guère agi contre elle à moins d'un ordre.
Maitresse du mensonge, s'applique à rédemption.
Dévoile alors père rencontré il y a quelques jours, précise que ce fut lui qui l'eut retrouvée, l'attendant à la sortie d'une soirée de combats. Dédoubleuse aux pupilles rétractées s'exclame :
(#) Dim 12 Juin - 19:24
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L'aveu était indirect. La mutation de Maera sous-entendu par sa mère dans une phrase au cours d'une dispute entre ses parents. Dans quel autre moment, cela aurait-il pu lui échapper ? Aucun, la jeune fille le sait. Tout comme elle sait, tout comme elle comprend que sa mère n'a pas fait exprès de balancer l'information à son paternel. Dévoiler ce secret qu'elles deux uniquement partageaient. Car la mère avait choisi de cacher la mutation de sa fille à son père dès l'instant où elle s'est manifestée. Et la jeune Mae a suivi. De toute façon, c'était la meilleure chose à faire, vu le travail de son père. Enfin, elle a toujours vu les choses ainsi. Mais elle se sentait en sécurité de savoir qu'il ignorait toujours la véritable nature de sa progéniture, jusqu'à ce que la blonde apprenne des lèvres de son géniteur, qu'en fait il sait. Depuis plusieurs années maintenant.
La trahison est une pilule dure à avaler pour le moment, pas parce qu'elle a été trahie, mais parce qu'elle lui a caché ce fait pendant des années. Un fait majeur et important aux yeux de la jeune femme. Elle aurait dû être informée de cela depuis un long moment, et non l'apprendre dans une rue du Bronx des lèvres de son père. Elle avoue cela du bout des lèvres, ses pupilles noisettes plongées dans celle de sa mère, qui s'excuse pour le silence tout en reconnaissant que sa fille a raison. Qu'elle aurait dû lui dire.
- Un peu, certainement. Mais tu es ma mère, je t'aurai vite pardonné...
Murmure-t-elle doucement, avant de soupirer. Réalité irrévocable, elle est incapable d'en vouloir bien longtemps aux siens, à moins qu'ils ne fassent un acte qu'elle estime grave et presque impardonnable.
- J'aurai juste aimé le savoir de tes lèvres, qu'il est au courant.
Et non de celles de son père, rencontré au détour du rue noire. D'ailleurs, en parlant de cette rencontre, la blonde se retrouve à devoir avouer ses retrouvailles inattendues à sa mère. Et elle sait d'avance que cela ne va pas lui plaire. Pas du tout même. Alors, elle se prépare, se laisse aller confortablement dans son fauteuil, puis, elle avoue. Elle a vu son père, il y a quelques jours. Il l'a retrouvé. Une annonce qui lance un froid glacial dans la pièce, avant qu'elle n'ajoute où il l'a retrouvé exactement. Pas ici, à son appartement, juste à une sortie de combats, dans le Bronx.
L'annonce déplaît, Mae le voit aux pupilles de sa mère, qui se rétractent. Puis à son exclamation surprise, et aux gestes qui s'en suivent. Et rapidement, les questions arrivent en rafale, signe de l'inquiétude de sa mère.
- Rassure-toi, tout va bien !
Dit gentiment dans un premier temps la blonde, tentant de sourire. Sans succès. Alors elle renonce, soupire et répond enfin aux questions.
- Je ne sais pas comment il m'a retrouvé exactement, mais je pense qu'il a fait enquêter sur moi. C'est ainsi qu'il a su où je me battrais le soir-même, car la rencontre n'était clairement pas un hasard.
Oh ça non. Nouvelle inspiration, puis elle reprend.
- Quant à ce qu'il m'a dit, disons que c'est un peu long.
Et compliqué. Et que ce fut une conversation dignes de montagnes russes, avec des hauts et des bas, des émotions en rafale.
- Mais il m'a notamment dit qu'il savait pour ma mutation. Et qu'il s'inquiétait pour moi.
Fait qui l'avait touché, encore plus maintenant qu'elle sait qu'il est au courant pour sa mutation. Chose qu'elle ne va certainement pas partager avec sa génitrice par contre.
- Et tout un tas d'autres trucs.
La trahison est une pilule dure à avaler pour le moment, pas parce qu'elle a été trahie, mais parce qu'elle lui a caché ce fait pendant des années. Un fait majeur et important aux yeux de la jeune femme. Elle aurait dû être informée de cela depuis un long moment, et non l'apprendre dans une rue du Bronx des lèvres de son père. Elle avoue cela du bout des lèvres, ses pupilles noisettes plongées dans celle de sa mère, qui s'excuse pour le silence tout en reconnaissant que sa fille a raison. Qu'elle aurait dû lui dire.
- Un peu, certainement. Mais tu es ma mère, je t'aurai vite pardonné...
Murmure-t-elle doucement, avant de soupirer. Réalité irrévocable, elle est incapable d'en vouloir bien longtemps aux siens, à moins qu'ils ne fassent un acte qu'elle estime grave et presque impardonnable.
- J'aurai juste aimé le savoir de tes lèvres, qu'il est au courant.
Et non de celles de son père, rencontré au détour du rue noire. D'ailleurs, en parlant de cette rencontre, la blonde se retrouve à devoir avouer ses retrouvailles inattendues à sa mère. Et elle sait d'avance que cela ne va pas lui plaire. Pas du tout même. Alors, elle se prépare, se laisse aller confortablement dans son fauteuil, puis, elle avoue. Elle a vu son père, il y a quelques jours. Il l'a retrouvé. Une annonce qui lance un froid glacial dans la pièce, avant qu'elle n'ajoute où il l'a retrouvé exactement. Pas ici, à son appartement, juste à une sortie de combats, dans le Bronx.
L'annonce déplaît, Mae le voit aux pupilles de sa mère, qui se rétractent. Puis à son exclamation surprise, et aux gestes qui s'en suivent. Et rapidement, les questions arrivent en rafale, signe de l'inquiétude de sa mère.
- Rassure-toi, tout va bien !
Dit gentiment dans un premier temps la blonde, tentant de sourire. Sans succès. Alors elle renonce, soupire et répond enfin aux questions.
- Je ne sais pas comment il m'a retrouvé exactement, mais je pense qu'il a fait enquêter sur moi. C'est ainsi qu'il a su où je me battrais le soir-même, car la rencontre n'était clairement pas un hasard.
Oh ça non. Nouvelle inspiration, puis elle reprend.
- Quant à ce qu'il m'a dit, disons que c'est un peu long.
Et compliqué. Et que ce fut une conversation dignes de montagnes russes, avec des hauts et des bas, des émotions en rafale.
- Mais il m'a notamment dit qu'il savait pour ma mutation. Et qu'il s'inquiétait pour moi.
Fait qui l'avait touché, encore plus maintenant qu'elle sait qu'il est au courant pour sa mutation. Chose qu'elle ne va certainement pas partager avec sa génitrice par contre.
- Et tout un tas d'autres trucs.
(#) Sam 18 Juin - 16:34
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Supposition d'un pardon rapide murmuré par sa fille. Mère au cœur entaillé, déçue. S'était promis de garder secret envers et contre tout, aura failli à sa tâche. Devant qui ? Devant le seul homme qu'elle n'a jamais aimé. Lui. Celui qui l'aura conduite à sa propre perte. Sa faiblesse.
Nouvelle que jeune femme aurait aimé apprendre des lippes matriarcales plutôt que celles de père. Ce traitre.Encore . Délateur inconscient, indirecte. Colère et haine jamais réellement éteintes, se ravivent de plus belle aujourd'hui.
Palpitations qu'elle ne peut empêcher de pulser dans cage thoracique. Même si palabres se veulent rassurants, pression réelle s'immisce entre les côtes. Mae déclare qu'elle ne sait guère comment il eut fait pour retrouver trace. Supposition d'une enquête qui révéla spot et date du combat car le hasard banni. Lèvres vipérines s'entrouvrent. Respiration pourtant suspendue pendant l'explication soigneusement écoutée et démantelée. Rejetonne en l'occurrence refuse de dévoiler ce qu'il c'était dit entre eux, à part fait que secret eut été dénoncé.
Les pupilles se détournent pour capter vide. Bouche se scelle voir se pince. Rage intérieure gronde. Discordieuse pourtant se tait. Sait que son comportement ne laissera aucun doute aux yeux de sa fille.… Très bien. Qu'elle finit par siffler, les dents scellées. Excuse-moi une seconde. Qu'elle ajoute. Amère. Madone se lève. Attrape son téléphone dans sa poche. Marche quelques pas le temps d'écrire un message.
Planifie de faire traquer et surveiller ex conjoint. Complice assassin ayant réussi à retrouver môme, susceptible d’avoir réuni moyens conséquent afin d’arriver à ses fins. Vipère ne le laissera pas faire. Projette une longueur d’avance. Sans doute trop prudente pour certain. Jamais trop de précaution quand il s’agit de prunelle. Veut savoir comment. Veut savoir pourquoi.Et elle le saura…
Téléphone qu’elle range soigneusement. Se tourne vers sa fille. Croise les bras. Inspire. … Maera, s’il t’as menacé ou s’il t'a dit la moindre chose qui pourrait nous trahir, il faut que je le sache. Parce que vipère a le bras long. Et qu’elle ne le laisser pas plus une chance de détruire ce qu’elles sont devenues.
Plus jamais…
Nouvelle que jeune femme aurait aimé apprendre des lippes matriarcales plutôt que celles de père. Ce traitre.
Palpitations qu'elle ne peut empêcher de pulser dans cage thoracique. Même si palabres se veulent rassurants, pression réelle s'immisce entre les côtes. Mae déclare qu'elle ne sait guère comment il eut fait pour retrouver trace. Supposition d'une enquête qui révéla spot et date du combat car le hasard banni. Lèvres vipérines s'entrouvrent. Respiration pourtant suspendue pendant l'explication soigneusement écoutée et démantelée. Rejetonne en l'occurrence refuse de dévoiler ce qu'il c'était dit entre eux, à part fait que secret eut été dénoncé.
Les pupilles se détournent pour capter vide. Bouche se scelle voir se pince. Rage intérieure gronde. Discordieuse pourtant se tait. Sait que son comportement ne laissera aucun doute aux yeux de sa fille.
Urgent.
Besoin d’un expert technique / informatique pour pister potentielle menace.
Discrétion hautement recommandée.
Prix à discuter.
Planifie de faire traquer et surveiller ex conjoint. Complice assassin ayant réussi à retrouver môme, susceptible d’avoir réuni moyens conséquent afin d’arriver à ses fins. Vipère ne le laissera pas faire. Projette une longueur d’avance. Sans doute trop prudente pour certain. Jamais trop de précaution quand il s’agit de prunelle. Veut savoir comment. Veut savoir pourquoi.
Téléphone qu’elle range soigneusement. Se tourne vers sa fille. Croise les bras. Inspire.
(#) Sam 18 Juin - 22:38
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Le sujet du secret trahi s'éteint comme il est arrivé, les confidences ayant été faites, les regrets exprimés. Oui, Maera aurait aimé que sa mère l'informe de ce qu'on peut appeler "une trahison", car elles seules ont longtemps partagées ce secret. Mais elle lui a déjà pardonné cette révélation. Les explications de sa mère ont grandement aidé à cela. Elle aurait même pu en sourire la jeune femme, si sa génitrice n'avait pas posé la question dont la réponse va la fâcher. Elle le sait très bien la Bates, c'est pour ça qu'elle n'a pas parlé avant ce soir de sa rencontre avec son père.
Une grande inspiration de prise, bien installée dans son canapé, Maera avoue qu'elle a vu son père. Qu'il l'a retrouvé à la sortie d'une soirée de combat. Et elle tente de rassurer sa mère. Car en soi, tout va bien. Il ne l'a pas menacé. Il a tenté de parler. Enfin, ils ont tenté, mais la situation est un tel merdier, que ça a été presque impossible. Il a fallu quelques jours à Mae pour comprendre cela, alors qu'elle se passe et repasse leur rencontre depuis l'autre soir. Une rencontre qu'elle n'a pas envie de raconter à sa mère cependant, alors elle expédie la réponse à ce sujet, avouant que c'est un peu long ce qu'ils se sont dit. Fait entièrement vrai. Et bonne excuse pour ne pas s'étendre sur une conversation qu'elle souhaite encore garder pour elle. Elle en a bien le droit.
Pendant qu'elle parle, elle observe sa mère, et ne rate pas sa réaction. La Bates sait que sa génitrice n'aime pas ce qu'elle entend. Elle le voit à ces lèvres qui se pincent. Ou encore à son regard. Puis, à ce sifflement. Mais Maera reste imperturbable. Enfin, de l'extérieur, car elle se pose bien des questions à l'intérieur, et toujours un peu plus alors qu'elle continue d'observer sa mère encore quelques secondes. Elle la regarde se lever, puis sortir son téléphone et s'éloigner un peu. Les épaules de Mae se soulève face à cet acte, puis elle se penche pour reprendre une part de pizza, qu'elle croque et mange rapidement. Elle l'a déjà fini quand les cheveux blonds de sa mère refont leur apparition dans son champ de vision. Puis se sont les yeux de sa mère qui rencontrent les siens.
Un soupir franchit les lèvres de la Bates. Tout de suite, Irina pense au pire. Que son père l'a menacé. Alors que non. Jamais il ne ferait une telle chose, Mae l'a enfin compris.
- Non, jamais il ne me menacerait...
Souffle-t-elle dans un premier temps, en secouant la tête. Mais elle se reprend vite, car elle connaît sa mère, et il vaut mieux qu'elle reparle la première.
- Il ne m'a ni menacé, ni laissé entendre la moindre chose qui pourrait nous trahir. Il ne sait même pas que tu es en vie, car je n'ai pas trahi ce secret.
Est-ce une petite pique pour sa mère ? Oui. Et elle l'assume, sans le dire.
- Il cherchait juste à me voir, à me parler, à prendre de mes nouvelles, c'est tout. Rien d'inquiétant pour toi, pour nous.
Une grande inspiration de prise, bien installée dans son canapé, Maera avoue qu'elle a vu son père. Qu'il l'a retrouvé à la sortie d'une soirée de combat. Et elle tente de rassurer sa mère. Car en soi, tout va bien. Il ne l'a pas menacé. Il a tenté de parler. Enfin, ils ont tenté, mais la situation est un tel merdier, que ça a été presque impossible. Il a fallu quelques jours à Mae pour comprendre cela, alors qu'elle se passe et repasse leur rencontre depuis l'autre soir. Une rencontre qu'elle n'a pas envie de raconter à sa mère cependant, alors elle expédie la réponse à ce sujet, avouant que c'est un peu long ce qu'ils se sont dit. Fait entièrement vrai. Et bonne excuse pour ne pas s'étendre sur une conversation qu'elle souhaite encore garder pour elle. Elle en a bien le droit.
Pendant qu'elle parle, elle observe sa mère, et ne rate pas sa réaction. La Bates sait que sa génitrice n'aime pas ce qu'elle entend. Elle le voit à ces lèvres qui se pincent. Ou encore à son regard. Puis, à ce sifflement. Mais Maera reste imperturbable. Enfin, de l'extérieur, car elle se pose bien des questions à l'intérieur, et toujours un peu plus alors qu'elle continue d'observer sa mère encore quelques secondes. Elle la regarde se lever, puis sortir son téléphone et s'éloigner un peu. Les épaules de Mae se soulève face à cet acte, puis elle se penche pour reprendre une part de pizza, qu'elle croque et mange rapidement. Elle l'a déjà fini quand les cheveux blonds de sa mère refont leur apparition dans son champ de vision. Puis se sont les yeux de sa mère qui rencontrent les siens.
Un soupir franchit les lèvres de la Bates. Tout de suite, Irina pense au pire. Que son père l'a menacé. Alors que non. Jamais il ne ferait une telle chose, Mae l'a enfin compris.
- Non, jamais il ne me menacerait...
Souffle-t-elle dans un premier temps, en secouant la tête. Mais elle se reprend vite, car elle connaît sa mère, et il vaut mieux qu'elle reparle la première.
- Il ne m'a ni menacé, ni laissé entendre la moindre chose qui pourrait nous trahir. Il ne sait même pas que tu es en vie, car je n'ai pas trahi ce secret.
Est-ce une petite pique pour sa mère ? Oui. Et elle l'assume, sans le dire.
- Il cherchait juste à me voir, à me parler, à prendre de mes nouvelles, c'est tout. Rien d'inquiétant pour toi, pour nous.
(#) Dim 19 Juin - 11:31
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Madone prenant dispositions afin de s’assurer d’un potentiel coup d’avance. Prudence. Môme affirme que jamais paternel adopterait comportement ou propos menaçants. Déclare également que rien de ce qui a été dit n’aurait pu les trahir et qu’il ne sait guère qu’elle est en vie. Pic envoyée par fille afin de rappeler loyauté lacunaire de génitrice. Pince les lèvres à nouveau. N’a pas envie de repartir sur sujet. Jeune ajoute qu’il voulait juste la voir, lui parler, prendre de ses nouvelles. Les yeux se plissent. Les plans et théories fusent dans caboche suspicieuse.
… Mae, je n’ai certainement pas à te dire ce que tu dois faire mais, fais très attention à lui. qu’elle commence. Revenant prendre place à ses côtés dans canapé, vipère se méfie, siffle conseils avisés afin d’illustrer les pensées qui la hantent. Nate est dangereux. C’est un persécuteur qui a très à cœur son travail. Il sait que tu es une mutante et n’hésitera pas à faire appel à d’autres de ses collègues si jamais tu venais à te faire remarquer… Ça s’est déjà vu. Rappelle-t-elle. Échos d’une mort effroyable par la main d’un autre malgré l’alliance dorée scellant promesse mutuelle et immuable. Parce qu'il reste soldat avant tout et qu'au dernier moment, eut choisi convictions profondes plutôt qu'amour et famille...
Passe revers de ses phalanges sur les joues de son enfant. Iris bleutées captent celles d’en face. Léger sourire se voulant rassurant malgré souvenir abominable rappelé. Il ne faut pas qu’il te retrouve. Encore. D’accord ? Demanda-t-elle alors, voulant entendre la promesse de rejetonne afin qu’elle redouble d’attention pour ne plus se faire retrouver ou pire, ne guère aller à sa rencontre. Erreur que de se laisser approcher, attendrir par traitre .
Passe revers de ses phalanges sur les joues de son enfant. Iris bleutées captent celles d’en face. Léger sourire se voulant rassurant malgré souvenir abominable rappelé.
(#) Dim 19 Juin - 22:30
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Elle sait par avance Mae, que ça ne va pas plaire à sa mère cette histoire de rencontre avec son père. Et elle ne se trompe pas. La réaction de sa génitrice ne la surprend pas mais elle essaye quand même de temporiser un peu les choses. En vain... Fais très attention à lui. La phrase sonne et résonne aux oreilles de Mae, qui ferme les yeux et soupir en silence. Elle sait déjà que la suite ne va pas lui plaire. Tout en sachant qu'elle doit quand même rester méfiante vis-à-vis de son père. Comment lui faire entièrement confiance après ce qu'il a fait à sa mère ? C'était tout simplement impossible.
- Oui...
Souffle-t-elle dans un murmure, en guise de réponse à cet avertissement. Oui, mais elle sait que de toute manière, elle n'en fera qu'à sa tête. Parce que son père, elle l'aime quand même. Mais aussi parce qu'elle a entendu ce qu'il lui a dit, elle a vu qu'il était sincère, l'autre soir. Sauf que ça, elle le garde pour elle, surtout que lorsque ses prunelles rencontrent celles de sa mère, Mae sait déjà que celle-ci va être vindicative, rappeler que Nathael est dangereux. Et c'est bel et bien le cas. Un court sourire se dessine un instant sur les lèvres de la blonde. Trop bref pour être vu, surtout qu'elle a la tête baissée.
- Alors pourquoi il ne m'a pas fait de mal quand il m'a retrouvé, s'il a tant que ça à coeur son travail ?
Lâche dans un sifflement la jeune femme, ses yeux se relevant sur la blonde face à elle. Oui, s'il était si dangereux, pourquoi ne s'en est-il pas pris à elle l'autre soir. Alors que clairement, elle était en situation de vulnérabilité, et qu'il aurait pu l'arrêter facilement. Encore plus en prévenant des collègues à lui. Non, sur ce point, elle fait confiance à son père, Mae. Même si elle ne l'avouera pas. Pas à sa mère en tout cas.
- Mais je fais attention. C'était déjà le cas avant, et je continuerai.
Promesse qu'elle veut sincère. Oui, elle fait attention, et elle va continuer. En aucun cas, elle ne veut devenir imprudente. Ses yeux plongent dans ceux de sa mère, alors que les doigts de celle-ci viennent se poser sur ses joues. Geste maternel dont elle profite, tout comme le sourire qui s'étire sur les lèvres de sa génitrice. Un bon moyen d'envelopper dans de la soie les paroles qui suivent.
- Je sais...
Seule réponse dont elle est capable en cet instant. Oui, elle sait que son père ne peut pas, ne doit pas la retrouver. Mais s'il la cherche vraiment, comme il l'a fait pour l'autre soir, il la retrouvera quand même. Et ça, elle ne pourra pas l'empêcher ceci dit. Et elle ne préfère pas penser à ses envies à elle. Un soupir franchit les lèvres de la blonde, alors qu'elle se passe une main sur le visage.
- Ne t'en fais pas, il ne me retrouvera pas. Je pense de toute façon que notre conversation l'a refroidi.
Elle hausse les épaules, et elle espère que cela suffise à rassurer sa mère, que de lui faire comprendre que la conversation ne s'est pas terminée joyeusement.
- Je suis désolée de t'inquiéter avec ça, Maman.
- Oui...
Souffle-t-elle dans un murmure, en guise de réponse à cet avertissement. Oui, mais elle sait que de toute manière, elle n'en fera qu'à sa tête. Parce que son père, elle l'aime quand même. Mais aussi parce qu'elle a entendu ce qu'il lui a dit, elle a vu qu'il était sincère, l'autre soir. Sauf que ça, elle le garde pour elle, surtout que lorsque ses prunelles rencontrent celles de sa mère, Mae sait déjà que celle-ci va être vindicative, rappeler que Nathael est dangereux. Et c'est bel et bien le cas. Un court sourire se dessine un instant sur les lèvres de la blonde. Trop bref pour être vu, surtout qu'elle a la tête baissée.
- Alors pourquoi il ne m'a pas fait de mal quand il m'a retrouvé, s'il a tant que ça à coeur son travail ?
Lâche dans un sifflement la jeune femme, ses yeux se relevant sur la blonde face à elle. Oui, s'il était si dangereux, pourquoi ne s'en est-il pas pris à elle l'autre soir. Alors que clairement, elle était en situation de vulnérabilité, et qu'il aurait pu l'arrêter facilement. Encore plus en prévenant des collègues à lui. Non, sur ce point, elle fait confiance à son père, Mae. Même si elle ne l'avouera pas. Pas à sa mère en tout cas.
- Mais je fais attention. C'était déjà le cas avant, et je continuerai.
Promesse qu'elle veut sincère. Oui, elle fait attention, et elle va continuer. En aucun cas, elle ne veut devenir imprudente. Ses yeux plongent dans ceux de sa mère, alors que les doigts de celle-ci viennent se poser sur ses joues. Geste maternel dont elle profite, tout comme le sourire qui s'étire sur les lèvres de sa génitrice. Un bon moyen d'envelopper dans de la soie les paroles qui suivent.
- Je sais...
Seule réponse dont elle est capable en cet instant. Oui, elle sait que son père ne peut pas, ne doit pas la retrouver. Mais s'il la cherche vraiment, comme il l'a fait pour l'autre soir, il la retrouvera quand même. Et ça, elle ne pourra pas l'empêcher ceci dit. Et elle ne préfère pas penser à ses envies à elle. Un soupir franchit les lèvres de la blonde, alors qu'elle se passe une main sur le visage.
- Ne t'en fais pas, il ne me retrouvera pas. Je pense de toute façon que notre conversation l'a refroidi.
Elle hausse les épaules, et elle espère que cela suffise à rassurer sa mère, que de lui faire comprendre que la conversation ne s'est pas terminée joyeusement.
- Je suis désolée de t'inquiéter avec ça, Maman.
(#) Mar 21 Juin - 9:41
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Dangerosité soulignée par femme ayant fait les frais d’une trahison qu’elle n’avait pas soupçonnée. Alors, quand môme demande pourquoi père n’a rien attenté lorsqu’il l’a retrouvée, blessée répond : … Parce qu’il n’avait rien contre toi. Il ne t’a pas prise en flagrant délit, il ne pouvait rien faire Mae. Et le jour où ce sera le cas, ce n’est pas lui qui agira, non. Il en est incapable. En revanche, faire appel à des tiers pour faire le sale boulot ça… c’est plus facile à supporter. Lorsqu’on n’est pas directement responsable, la conscience est moins lourde à supporter. C’est connu… L’offensée n’épargne guère la portée de ses mots. Parce que ce soir-là, même s’il ne tenait pas l’arme assassine, il eut choisi son travail plutôt que sa famille. Et ça, jamais elle ne le lui pardonnera. Jamais…
La rancœur a un visage.
Celui d’Irina.
Mère espère que fille ne donnera point d’occasion de se faire arrêter. D’où l’extrême prudence dont elle doit faire preuve. Persécuteur un jour, persécuteur toujours… Môme déclarant qu’elle fait attention et qu’elle le faisait déjà avant. Soutiendra sa discrétion afin de ne plus se faire avoir. Se voulant rassurante, elle ajoute que leur conversation l’a certainement refroidie. Mère brûlant de curiosité, sait qu’elle ne saura rien de ce qui c’était dit entre eux. Ne posera donc pas la question. Parce qu’elle a confiance en elle. Elle sait qu’elle ne mènera guère d’imprudence.
Prunelle s’excuse alors d’inquiéter matrone avec ça. À quoi cette dernière répond : … ne t’en fais pas Mae. Ça va de pair avec mon rôle. Depuis que tu es née je suis inquiète. Le moindre microbe pouvant d’affecter me rend folle ! qu’elle lui avoua sur un léger ton d’humour pour conclure réplique. Parce que trop précieuse à ses yeux, rien ne peut ou doit lui arriver. Rien.
Dépose baisé sur tignasse ondulée avant de reprendre assiette plus tôt abandonnée. Sinon dis-moi. Ces photos ça donne quoi en ce moment ? qu’elle demande, intéressée, changeant de sujet afin de faire taire rage intérieure lui nouant les tripes.
La rancœur a un visage.
Celui d’Irina.
Mère espère que fille ne donnera point d’occasion de se faire arrêter. D’où l’extrême prudence dont elle doit faire preuve. Persécuteur un jour, persécuteur toujours… Môme déclarant qu’elle fait attention et qu’elle le faisait déjà avant. Soutiendra sa discrétion afin de ne plus se faire avoir. Se voulant rassurante, elle ajoute que leur conversation l’a certainement refroidie. Mère brûlant de curiosité, sait qu’elle ne saura rien de ce qui c’était dit entre eux. Ne posera donc pas la question. Parce qu’elle a confiance en elle. Elle sait qu’elle ne mènera guère d’imprudence.
Prunelle s’excuse alors d’inquiéter matrone avec ça. À quoi cette dernière répond :
Dépose baisé sur tignasse ondulée avant de reprendre assiette plus tôt abandonnée.
(#) Mar 21 Juin - 20:06
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La méfiance de sa mère, Maera la comprend totalement. Après tout, son double a perdu la vie à cause de lui, à cause de sa trahison. Et pourtant, elle ne peut s’empêcher de douter au fond d’elle, la blonde. Certainement parce que lors de leur rencontre, son père n’avait pas été menaçant le moins du monde. Bien au contraire. Il voulait juste la revoir, la retrouver. C’est ce qu’elle a compris. Sauf que les choses ne se sont pas déroulées comme son géniteur l’aurait certainement voulu. Enfin, comme il le voulait à vrai dire. Elle le sait, elle l’a compris Mae. Chose qu’elle laisse de côté dans son cerveau, pour écouter la réponse maternelle à sa question.
Ses arguments sont imparables, la blonde doit le concéder. Son père n’avait rien à lui reprocher quand ils se sont retrouvés, la jeune femme n’ayant pas utilisé son pouvoir ce soir-là. Elle l’utilise d’ailleurs rarement, uniquement lors de ses missions avec le GLM ou de ses entraînements. Quant au reste, que peut-elle bien répliquer à cela ? Elle était là ce jour-là, elle vu celui qu’elle considérait comme un oncle tuer sa mère. Envoyer par son père. Une blessure encore profondément ouverte chez la jeune femme, dont le cœur se serre à l’évocation de ce terrible jour, où toute sa vie à basculer.
- C’est vrai…
Souffle Mae en baissant la tête, joignant ses doigts pour les serrer, et éviter de les triturer dans tous les sens, signe de son inconfort, de ses tourments sur tout ça.
- Je suis navrée…
Lâche la blonde, ses yeux captant ceux maternels. Désolée d’avoir failli par cette rencontre, par ses questionnements, toujours présents malgré tout. Mais elle sait qu’elle a blessé sa mère, qui ne pourra jamais pardonné à Nate ce qu’il s’est passé, et pour ça, elle s’en veut.
En parlant de son père, la Bates assure qu’elle ne donnera aucune occasion de se faire arrêter, qu’elle est et continuera à être prudente, avant de rassurer sa génitrice en lui confiant qu’il est peu probable que son père revienne à la charge. Leur conversation a du le refroidir vu comment elle s’est déroulée. Seule indication qu’Irina aura au sujet de l’échange père-fille, bien qu’elle sait qu’elle brûle de questions. Mais elle ne veut rien lui dire. Et elle n’estime n’avoir rien à lui dire. Ce qui s’est dit ne la regarde qu’elle. Et Nate.
Ses pupilles se relevant, la jeune femme renouvelle ses excuses à sa mère. Désolée de l’inquiéter avec ça. Excuses sincères. Excuses acceptée par sa mère qui lui assure que cela va de pair avec son rôle. Un léger sourire s’esquisse sur les lèvres de la jeune adulte, qui envoie un regard aimant, avant de profiter du baiser qu’elle reçoit sur sa chevelure. Signe d’affection propre à sa mère, qu’elle savoure, alors que l’atmosphère se détend.
- Je sais, mais ne t’en fais pas, tout va très bien.
Dit-elle d’un ton rassurant, en souriant, alors que la conversation passe à autre chose. A ses photos. De quoi lui redonner le sourire et ramener un peu de joie dans son cœur.
- Oh ça se passe très bien, j’ai des shootings de prévu et une commande pour un magazine.
Passion devenue un métier, qu’elle exerce avec amour et joie au quotidien, et qui la change du reste. Une profession des plus simples, où personne ne peut soupçonner que la personne derrière l’appareil est une mutante.
- J’espère que ça restera toujours ainsi pendant encore un long moment.
Ajoute-t-elle en reprenant une part de pizza. Oui, elle espère que cette tranquillité dans ce métier qui la passionne va encore durer longtemps. Loin du tumulte de sa vie de mutante et de membre du GLM.
Ses arguments sont imparables, la blonde doit le concéder. Son père n’avait rien à lui reprocher quand ils se sont retrouvés, la jeune femme n’ayant pas utilisé son pouvoir ce soir-là. Elle l’utilise d’ailleurs rarement, uniquement lors de ses missions avec le GLM ou de ses entraînements. Quant au reste, que peut-elle bien répliquer à cela ? Elle était là ce jour-là, elle vu celui qu’elle considérait comme un oncle tuer sa mère. Envoyer par son père. Une blessure encore profondément ouverte chez la jeune femme, dont le cœur se serre à l’évocation de ce terrible jour, où toute sa vie à basculer.
- C’est vrai…
Souffle Mae en baissant la tête, joignant ses doigts pour les serrer, et éviter de les triturer dans tous les sens, signe de son inconfort, de ses tourments sur tout ça.
- Je suis navrée…
Lâche la blonde, ses yeux captant ceux maternels. Désolée d’avoir failli par cette rencontre, par ses questionnements, toujours présents malgré tout. Mais elle sait qu’elle a blessé sa mère, qui ne pourra jamais pardonné à Nate ce qu’il s’est passé, et pour ça, elle s’en veut.
En parlant de son père, la Bates assure qu’elle ne donnera aucune occasion de se faire arrêter, qu’elle est et continuera à être prudente, avant de rassurer sa génitrice en lui confiant qu’il est peu probable que son père revienne à la charge. Leur conversation a du le refroidir vu comment elle s’est déroulée. Seule indication qu’Irina aura au sujet de l’échange père-fille, bien qu’elle sait qu’elle brûle de questions. Mais elle ne veut rien lui dire. Et elle n’estime n’avoir rien à lui dire. Ce qui s’est dit ne la regarde qu’elle. Et Nate.
Ses pupilles se relevant, la jeune femme renouvelle ses excuses à sa mère. Désolée de l’inquiéter avec ça. Excuses sincères. Excuses acceptée par sa mère qui lui assure que cela va de pair avec son rôle. Un léger sourire s’esquisse sur les lèvres de la jeune adulte, qui envoie un regard aimant, avant de profiter du baiser qu’elle reçoit sur sa chevelure. Signe d’affection propre à sa mère, qu’elle savoure, alors que l’atmosphère se détend.
- Je sais, mais ne t’en fais pas, tout va très bien.
Dit-elle d’un ton rassurant, en souriant, alors que la conversation passe à autre chose. A ses photos. De quoi lui redonner le sourire et ramener un peu de joie dans son cœur.
- Oh ça se passe très bien, j’ai des shootings de prévu et une commande pour un magazine.
Passion devenue un métier, qu’elle exerce avec amour et joie au quotidien, et qui la change du reste. Une profession des plus simples, où personne ne peut soupçonner que la personne derrière l’appareil est une mutante.
- J’espère que ça restera toujours ainsi pendant encore un long moment.
Ajoute-t-elle en reprenant une part de pizza. Oui, elle espère que cette tranquillité dans ce métier qui la passionne va encore durer longtemps. Loin du tumulte de sa vie de mutante et de membre du GLM.
(#) Sam 25 Juin - 9:01
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Môme se rend compte de la portée des dires de matrone. Approuve. Navrée. Dessolement qu’elle peut lire dans les yeux de sa fille. Mais elle ne lui en veut pas. Ce n’est pas de sa faute. Mission première étant de redoubler de discrétion afin qu’il ne puisse remettre la main dessus et encore moins en pleine utilisation de son pouvoir. Risque qui ne doit même pas se calculer.
Blonde se veut rassurante une nouvelle fois, après geste tendre de daronne.Tout va très bien. Léger sourire vint éclairer son visage. Fierté d’avoir engendré pareille femme. Forte. Indépendante. Juste. Honnête. Loyale. Débrouillarde. Talentueuse… Aspire à une vie des plus épanouies possible malgré situation. Mère qui ne peut rêver mieux.
À la question sur les photos, madone ressent et voit faciès s’illuminer. Ça se passe bien. Très bien même. Rendez-vous déjà pris et contacte avec magazine établi. Alors que blonde mord bouchée de pizza, elle affuble môme d’un coup de coude complice. Mais c’est merveilleux Mae ! qu’elle clame après avoir avalé – tout de même – pour ne guère s’exclamer bouche pleine. Espoir évoqué d’une pérennité. Mère qui ne tarde pas à ajouter à sa suite : Je l’espère pour toi. Honnêtement, tu mérites. T’es douée et je suis sûr que tu te feras ta place. Parce qu’il était une chose des plus importantes pour matrone, c’est qu’enfant puisse trouver sa voie. De lui-même, se faire et s’épanouir. Construire sa vie de ses propres mains. Choisir son avenir. Avenir qu’elle-même n’avait guère pu dessiner, se trouvant alors bénie par mutation lui permettant de mener cinq vies distinctes et bien différentes. Celle des Bates étant celle dans laquelle elle se ressourçait le plus. Ils étaient son jardin secret, son oasis de paix. Le seul homme dont elle était réellement tombé amoureuse au point même d'engendrer enfant malgré les inquiétudes et les faiblesses physiques que cela pouvait provoquer dans corps mutant dédoubleur. Sa famille parfaite, loin des tumultes et des tourments que parents propres lui ont imposés. Vipère en aura au moins retiré une force de combat verbale ne se laissant jamais marcher sur les pieds, ainsi qu’une force de négociation et de manipulation acerbe.
Blonde se surprend à penser à vie d’Asther. Vie chérie. Se demande ensuite ce qu’il en est de vie sentimentale de rejetonne. Alors, d’un air un peu espiègle, interroge sa fille avant de remordre dans part de pizza interminable : Et… côté cœur, ça donne quoi hm ? qu’elle taquine.
Blonde se veut rassurante une nouvelle fois, après geste tendre de daronne.
À la question sur les photos, madone ressent et voit faciès s’illuminer. Ça se passe bien. Très bien même. Rendez-vous déjà pris et contacte avec magazine établi. Alors que blonde mord bouchée de pizza, elle affuble môme d’un coup de coude complice.
Blonde se surprend à penser à vie d’Asther. Vie chérie. Se demande ensuite ce qu’il en est de vie sentimentale de rejetonne. Alors, d’un air un peu espiègle, interroge sa fille avant de remordre dans part de pizza interminable :
(#) Dim 26 Juin - 20:46
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Le changement de conversation surprend Maera un court instant. Passer de cette ambiance légèrement tendue suite à la révélation de la blonde, à ce moment tendre mère-fille, où la génitrice s'enquiert du travail de sa fille. Au moins, Irina est rassurée, et Mae aussi par conséquence. Alors elle sourit doucement avant de répondre à l'interrogation qu'elle a reçu. Une réponse joyeuse et souriante, durant laquelle elle confie qu'elle a des shootings de prévus dans les jours, et même semaine à venir. Sans parler d'une commande de photographies de New York pour un magazine suédois. Ce qui va lui permettre de se faire un peu plus un nom dans le monde de la photo. Domaine qui la passionne totalement.
Des informations qui touchent visiblement sa mère, qui lui envoie un coup de coude amical et s'exclame plus que ravie que c'est merveilleux. Oui, ça l'est. Enfin aux yeux de la jeune adulte, qui est ravie de ce qui lui arrive. Petit à petit, elle fait son nid dans ce monde bien compliqué, et se fait un nom. Un jour, cela paiera, elle en est certaine. En tout cas c'est ce qu'elle souhaite plus que tout, tandis qu'elle mord dans une nouvelle part de pizza, mâchant lentement, savourant le plat italien qui régale ses papilles.
- Je l'espère aussi, Maman, je l'espère aussi.
Murmure-t-elle en souriant à sa mère. Cet enthousiasme de sa génitrice la touche, et lui donne un peu plus d'espoir car la jeune femme est souvent pessimiste à ce sujet. Pas qu'elle ne croit pas en elle, mais elle manque peut-être de confiance. Comble de l'ironie quand on sait son caractère, sa manière d'être. Sauf dans le monde professionnel, ou cela change. Où tout change.
- Après, je m'éclate dans mon travail, et pour le moment, je me dis que c'est le plus important !
Sans compter que financièrement, elle s'en sort très bien. Bon, il est vrai que ses combats illégaux ont un grand rôle dans ses revenus plus que confortables. Mais elle ne fera jamais un seul commentaire là-dessus. Pas avec sa mère en tout cas, même si cette dernière est au courant pour les combats de son enfant.
Croquant dans une nouvelle part de pizza, la jeune femme se lève pour aller chercher de l'eau dans la cuisine, et deux verres pour accompagner. Car si la pizza est délicieuse, elle donne soif. Enfin, chez Mae en tout cas. Mae qui se relaisse à peine tomber dans son fauteuil, quand la nouvelle question de sa mère fuse. Les yeux de la jeune femme lance un regard à la fois surpris et interloqué à Irina.
- Quoi ?!
S'écrie-t-elle sous le coup de la surprise, avant de se reprendre.
- Non mais, je t'en pose des questions moi ?
La première réponse qui lui vient. Ce côté de sa vie, c'est un peu un jardin secret. Depuis son adolescence d'ailleurs. Sa vie sentimentale, elle évite d'en parler avec ses parents, et sa mère aujourd'hui, en l'occurrence.
- C'est le calme plat, et si ça ne l'était pas, à vrai dire, ça ne te regarderai pas non plus. Et toi alors, côté coeur, ça donne quoi ?
Question habilement retournée.
Des informations qui touchent visiblement sa mère, qui lui envoie un coup de coude amical et s'exclame plus que ravie que c'est merveilleux. Oui, ça l'est. Enfin aux yeux de la jeune adulte, qui est ravie de ce qui lui arrive. Petit à petit, elle fait son nid dans ce monde bien compliqué, et se fait un nom. Un jour, cela paiera, elle en est certaine. En tout cas c'est ce qu'elle souhaite plus que tout, tandis qu'elle mord dans une nouvelle part de pizza, mâchant lentement, savourant le plat italien qui régale ses papilles.
- Je l'espère aussi, Maman, je l'espère aussi.
Murmure-t-elle en souriant à sa mère. Cet enthousiasme de sa génitrice la touche, et lui donne un peu plus d'espoir car la jeune femme est souvent pessimiste à ce sujet. Pas qu'elle ne croit pas en elle, mais elle manque peut-être de confiance. Comble de l'ironie quand on sait son caractère, sa manière d'être. Sauf dans le monde professionnel, ou cela change. Où tout change.
- Après, je m'éclate dans mon travail, et pour le moment, je me dis que c'est le plus important !
Sans compter que financièrement, elle s'en sort très bien. Bon, il est vrai que ses combats illégaux ont un grand rôle dans ses revenus plus que confortables. Mais elle ne fera jamais un seul commentaire là-dessus. Pas avec sa mère en tout cas, même si cette dernière est au courant pour les combats de son enfant.
Croquant dans une nouvelle part de pizza, la jeune femme se lève pour aller chercher de l'eau dans la cuisine, et deux verres pour accompagner. Car si la pizza est délicieuse, elle donne soif. Enfin, chez Mae en tout cas. Mae qui se relaisse à peine tomber dans son fauteuil, quand la nouvelle question de sa mère fuse. Les yeux de la jeune femme lance un regard à la fois surpris et interloqué à Irina.
- Quoi ?!
S'écrie-t-elle sous le coup de la surprise, avant de se reprendre.
- Non mais, je t'en pose des questions moi ?
La première réponse qui lui vient. Ce côté de sa vie, c'est un peu un jardin secret. Depuis son adolescence d'ailleurs. Sa vie sentimentale, elle évite d'en parler avec ses parents, et sa mère aujourd'hui, en l'occurrence.
- C'est le calme plat, et si ça ne l'était pas, à vrai dire, ça ne te regarderai pas non plus. Et toi alors, côté coeur, ça donne quoi ?
Question habilement retournée.
(#) Mar 28 Juin - 10:20
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Môme partage joie qu’elle éprouve dans son travail et ça ne peut que rassurer matrone soucieuse d’un épanouissement professionnel. Conscience qu’elles partagent d’un état de bien-être qu’il est important d’acquérir et que Maera possède aujourd’hui, sans forcément viser la lune. Accent mis sur le plaisir plutôt que l’ambition et rien de tel que pour se sentir bien dans sa tête. Étrange écho d’un passé dont elle aurait aimé apprécier plutôt que de forcer, néanmoins, vipère porte la fierté d’une situation accomplie lui ayant apporté les armes et le verbe. S’enorgueillie silencieusement.
Jeune femme se lève afin d’aller chercher eau et verres. Initiative appréciée par la parente qui, elle aussi, commence à ressentir la sensation de soif. Attrape le verre d’eau tout en accueillant l’étonnement de sa fille vis-à-vis de sa question plus tôt posée sur mise au point sentimentale. Retour de flamme spontané qu’elle reçoit. Affirme un calme plat malgré le fait que ça ne la regarde pas avant de retourner question contre elle. Pic envoyée qui fait l’effet d’un pieu. Parce que cœur ayant été brûlé et réduit en centre par la trahison, incapable d’offrir affection semblable. Consumée par passion mortelle, palpitant enterré avec double. Vipère s’étant convaincue que sentiment trépassé avec défunte, alors qu’il n’en est rien en réalité. Besoin d’entretenir cette idée afin de continuer d’avancer malgré déchirure.
Du coup, relève le menton, pose son verre et le regard dense répond : … Je n’ai pas le temps pour ça. qu’elle déclare, un peu froide. Sans mentir, mais sans avouer non plus ce manque dont elle souffre en silence, dans déni propre. Affiche enfin un demi-sourire – un poil forcé – afin d’à nouveau changer de sujet puisque mur visiblement infranchissable d’une confidence mère-fille. … Et crois-le ou non, il y a quelques prétendants qui pourraient incarner le parfait beau-père ! Qu’elle lance, d’un ton plus léger, taquine, afin de changer l’ambiance et d’instaurer léger malaise amusant, espérant effacer légère rancœur de sa fille.
Critères trop élevés.
Personne ne peut remplacer Nate…
Crevard omniprésent dans esprit.
Constat triste d’un estomac ayant perdu habitude, ne s’est rempli que de deux pauvres parts de pizza avant de ressentir saturation prématurée. Pose une main sur son ventre et avoue : … Seigneur, je n’en peux déjà plus. Signe témoignant du dérèglement dont elle est victime. Dédoublement trop nombreux, trop longs. Effet Indésirable. Se lève afin d’aller se rincer les mains.
Jeune femme se lève afin d’aller chercher eau et verres. Initiative appréciée par la parente qui, elle aussi, commence à ressentir la sensation de soif. Attrape le verre d’eau tout en accueillant l’étonnement de sa fille vis-à-vis de sa question plus tôt posée sur mise au point sentimentale. Retour de flamme spontané qu’elle reçoit. Affirme un calme plat malgré le fait que ça ne la regarde pas avant de retourner question contre elle. Pic envoyée qui fait l’effet d’un pieu. Parce que cœur ayant été brûlé et réduit en centre par la trahison, incapable d’offrir affection semblable. Consumée par passion mortelle, palpitant enterré avec double. Vipère s’étant convaincue que sentiment trépassé avec défunte, alors qu’il n’en est rien en réalité. Besoin d’entretenir cette idée afin de continuer d’avancer malgré déchirure.
Du coup, relève le menton, pose son verre et le regard dense répond :
Critères trop élevés.
Crevard omniprésent dans esprit.
Constat triste d’un estomac ayant perdu habitude, ne s’est rempli que de deux pauvres parts de pizza avant de ressentir saturation prématurée. Pose une main sur son ventre et avoue :
(#) Mer 29 Juin - 20:48
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Si parler de sa passion, de son métier, n'est pas embêtant pour Maera quand ça concerne sa vie sentimentale, ce n'est pas la même chose. Elle riposte en un tour de main, s'écriant de surprise, avant de renchérir avec une certaine véhémence. Une question en réponse pour une autre. La première qui lui passe par l'esprit en cet instant, alors que son cerveau réfléchit à quoi dire, car elle connaît sa mère: elle ne lâchera pas le morceau. Elle décide d'être honnête, affirmant que c'est le calme plat. Mais l'est-ce réellement ? Question à laquelle elle ne préfère pas penser. Des choses tournent dans sa tête depuis plusieurs jours maintenant, mais elle préfère garder tout cela pour elle, pour le moment. Et puis, dans tous les cas, s'il se passait quelque chose dans sa vie, ça ne regarderait pas sa mère. Là-dessus, Mae aime être discrète avant de parler. Surtout à sa mère, qu'elle sait être mère poule. Rapide sourire s'esquisse sur ses lèvres quand elle pense à cela. Son père aussi est surprotecteur, mais cette fois-ci le sourire s'évanouit. Pourquoi pense-t-elle à ça soudainement ?
Néanmoins, son retour de question touche sa mère en plein coeur. La blonde le voit quasi immédiatement. Sans compter qu'elle sait que sa demande est vache. Ramener de vieux souvenirs n'est pas une bonne idée. Mae se mord la joue intérieure à peine trois secondes après avoir prononcé son interrogation. Et ses yeux dévient de sa mère, pour ne pas avoir à la fixer. Car elle a peur d'avoir lancé une bombe, sans le vouloir, en activant son mode défensif.
Je n'ai pas le temps pour ça. Déclaration maternelle qui lui fait hausser les épaules, mais rien rétorquer. Le ton légèrement froid ne lui échappe pas, et ne lui fait dire qu'il ne faut pas relancer à ce rythme-là. Au moins, elle sait que sa mère est honnête, car cette incarnation de sa matrone est très occupée avec son travail. Bien loin de celui de son clone Asther. Elle lui sourit alors rapidement, poliment, avant de porter à ses lèvres son verre... pour presque s'étouffer en entendant la phrase de sa mère. Des prétendants pour le parfait beau-père ? Alors ça !
- Pardon ?!
S'écrie-t-elle. Oui, comment ça des prétendants ? A vrai dire, la jeune femme n'a pas vraiment envie de voir quelqu'un venir remplacer son père. Aveu qu'elle ne ferait pas. Alors elle se mord la joue intérieure, à nouveau, pour ne pas parler de cela.
- Tu sais, je ne crois pas avoir envie d'avoir un beau-père. Les hommes...
Si cela peut servir de justification à sa non-envie et cacher sa véritable pensée, autant l'utiliser.
- On est bien mieux seules, non ?
Néanmoins, son retour de question touche sa mère en plein coeur. La blonde le voit quasi immédiatement. Sans compter qu'elle sait que sa demande est vache. Ramener de vieux souvenirs n'est pas une bonne idée. Mae se mord la joue intérieure à peine trois secondes après avoir prononcé son interrogation. Et ses yeux dévient de sa mère, pour ne pas avoir à la fixer. Car elle a peur d'avoir lancé une bombe, sans le vouloir, en activant son mode défensif.
Je n'ai pas le temps pour ça. Déclaration maternelle qui lui fait hausser les épaules, mais rien rétorquer. Le ton légèrement froid ne lui échappe pas, et ne lui fait dire qu'il ne faut pas relancer à ce rythme-là. Au moins, elle sait que sa mère est honnête, car cette incarnation de sa matrone est très occupée avec son travail. Bien loin de celui de son clone Asther. Elle lui sourit alors rapidement, poliment, avant de porter à ses lèvres son verre... pour presque s'étouffer en entendant la phrase de sa mère. Des prétendants pour le parfait beau-père ? Alors ça !
- Pardon ?!
S'écrie-t-elle. Oui, comment ça des prétendants ? A vrai dire, la jeune femme n'a pas vraiment envie de voir quelqu'un venir remplacer son père. Aveu qu'elle ne ferait pas. Alors elle se mord la joue intérieure, à nouveau, pour ne pas parler de cela.
- Tu sais, je ne crois pas avoir envie d'avoir un beau-père. Les hommes...
Si cela peut servir de justification à sa non-envie et cacher sa véritable pensée, autant l'utiliser.
- On est bien mieux seules, non ?
(#) Dim 3 Juil - 16:04
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La surprise ne se fait pas attendre et manque presque de l’étouffer. Taquinerie qui aura porté ses fruits pour le plus grand plaisir de matrone qui ne peut empêcher un petit sourire apparaitre au coin de ses lèvres. Néanmoins, la rétorque se fait sérieuse lorsque fille annonce qu’elle n’a pas l’envie d’avoir un beau-père. S’engageant sur une généralité qu’Irina partage, les hommes… , pas besoin de plus pour comprendre qu’elles sont bien mieux seules.
Reine acquiesce. Tu as raison… on est bien mieux seules ! L’amour, c'est… compliqué. Destructeur. Se retient de disserter sur ce sentiment qui l’habitait et qui l’habite toujours malgré les tentatives infatigables de déni. Alors que le regard se perd dans le vide, puis sur le verre. Triste lueur s’éteint peu à peu dans l’iris cérulé. Se surprend encore et toujours à penser à celui qui aura causé sa perte. Partielle certes, mais qui aura choisi d’embrasser ambition plutôt que famille. Se demande réellement si cela aurait été différent s’il avait su . Trop tard pour le savoir de tout façon...
Bribe de pensée évacuée, mère se retourne sur fille afin de l’entourer de l’un de ses bras et d’à nouveau, lui coller un baiser dans ses cheveux. Profite de cet instant pour fermer les yeux quelques secondes. Reprendre consistance pour mieux se parer d’un masque dénué d’émotion négative, polluante.Parce qu’elle est tout ce qu’il lui reste de lui…. Et qu’elle la chérira aussi au prix de l’une de ses vies s’il faut. Êtres précieux, uniques, eux seuls méritent ses sacrifices…
… Je vais te laisser. lui confia-t-elle se décollant enfin. Je suis contente que savoir que tu ailles bien et que tu m’aies dit pour ton père. qu’elle poursuit, glissant sa paume sur sa joue délicate, l’affublant d’un regard maternel, délicat. Profites bien de ces parts. On se refait ça bientôt d’accord ? qu’elle demande, afin de perpétuer petite habitude qu’elle chérit malgré les durées aléatoires de leurs soirées.
Reine acquiesce.
Bribe de pensée évacuée, mère se retourne sur fille afin de l’entourer de l’un de ses bras et d’à nouveau, lui coller un baiser dans ses cheveux. Profite de cet instant pour fermer les yeux quelques secondes. Reprendre consistance pour mieux se parer d’un masque dénué d’émotion négative, polluante.
(#) Mer 13 Juil - 10:16
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La question sur sa vie amoureuse surprend Maera. Elle n'aime pas parler de ça avec sa mère. Avec aucun de ses parents. Ils sont un peu trop protecteurs à ses yeux, et puis, quand cela concerne sa vie intime, elle aime cultiver son jardin secret. Raison pour laquelle elle renvoie la question à sa mère, comme auto-défense... Sans s'attendre à ce que celle-ci ne parle de beaux-pères possibles. Enfin, prétendants. Idée qui ne plaît pas vraiment à Mae, qui avoue qu'elle ne pense pas avoir envie de beau-père. Et encore, ce n'est pas qu'elle pense, elle sait qu'elle ne veut pas. Elle n'a pas envie au fond d'elle, de voir son père remplacé. Elle aurait bien du mal à l'accepter. Et puis... les hommes... Elles sont bien mieux seules, non ? Excuse qu'elle sort à sa mère, pour lui cacher ce qu'elle pense réellement. Paroles que sa mère approuve, faisant doucement sourire la petite tête blonde.
- On évite les cons comme ça !
Répond-elle doucement. Mots qu'elle prononce avant de saisir une nouvelle part de pizza, pour la dévorer en quelques secondes, tandis que son esprit s'égare sur le fait qu'heureusement, tous les hommes ne sont pas cons. Ses pensées s'arrêtent un instant sur Devon. Un brève moment, jusqu'à ce que ses yeux captent le mouvement de sa mère qui se lève, annonçant qu'elle va partir. Un doux sourire s'installe sur les lèvres de Mae.
- C'est normal...
Souffle-t-elle quand sa mère lui annonce qu'elle ait contente de savoir pour son père. Le pense-t-elle vraiment Maera, que c'est normal ? Peut-être pas. Enfin, elle ne sait pas, et elle préfère ne pas se poser la question, profitant plutôt du tendre geste maternel.
- Maman ?
Interroge-t-elle doucement, en souriant. Et quand le regard de sa mère capte le sien, elle reprend la parole.
- Je t'aime.
Lâche-t-elle toujours avec douceur. Comme ça. Au cas où que sa mère doute aussi, elle le lui dit. Oui, elle l'aime. C'est sa mère, et elle a toujours été là pour elle. Puis, elle l'embrasse sur la joue, avant de se lever pour l'accompagner jusqu'à la porte. Une dernière embrassade, une dernière étreinte, et mère et fille se séparent, sourire aux lèvres.
- On évite les cons comme ça !
Répond-elle doucement. Mots qu'elle prononce avant de saisir une nouvelle part de pizza, pour la dévorer en quelques secondes, tandis que son esprit s'égare sur le fait qu'heureusement, tous les hommes ne sont pas cons. Ses pensées s'arrêtent un instant sur Devon. Un brève moment, jusqu'à ce que ses yeux captent le mouvement de sa mère qui se lève, annonçant qu'elle va partir. Un doux sourire s'installe sur les lèvres de Mae.
- C'est normal...
Souffle-t-elle quand sa mère lui annonce qu'elle ait contente de savoir pour son père. Le pense-t-elle vraiment Maera, que c'est normal ? Peut-être pas. Enfin, elle ne sait pas, et elle préfère ne pas se poser la question, profitant plutôt du tendre geste maternel.
- Maman ?
Interroge-t-elle doucement, en souriant. Et quand le regard de sa mère capte le sien, elle reprend la parole.
- Je t'aime.
Lâche-t-elle toujours avec douceur. Comme ça. Au cas où que sa mère doute aussi, elle le lui dit. Oui, elle l'aime. C'est sa mère, et elle a toujours été là pour elle. Puis, elle l'embrasse sur la joue, avant de se lever pour l'accompagner jusqu'à la porte. Une dernière embrassade, une dernière étreinte, et mère et fille se séparent, sourire aux lèvres.
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