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just a life crisis.

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just a life crisis.

Bedrooms are windows to the soul.
Univers fragmenté dans lequel tu passais la plupart de tes journées.

L'cœur chez les morts et l'corps chez les vivants.

Les lippes étirées dans des sourires charmeurs que t'aimerais t'effacer du visage.
T'as toujours été le genre de gamin qui réussissait sa vie à travers les arnaques, les belles paroles et les coups foireux. T'étais un gamin, t'avais même pas vingt-et-un an, t'avais trop vécu, pourtant.

Arthur était apparu comme un rayon d'soleil.

T'avais jamais vraiment connu quelqu'un qui te renverrait la balle, qui partagerait ta chambre aussi, t'avais demander, ils refusent pas grand-chose aux nouveaux mutants alors t'avais tenter ta chance.

T'étais usé.
Fatigué.
T'avais envie d'avoir un chez-toi.



T'avais envie d'être quelqu'un de bien, de vivre libre.

T'avais goûté à la liberté, t'avais été dans la rue, t'avais dû te battre, t'avais dû survivre.
Gosse ayant perdu sa liberté le moment où il a été libre.

Rentre dans la chambre commune dans un mouvement, l'pyjama que t'enfiles après une douche bien méritée, t'avais foiré, la grande ascension de l'institut que t'avais encore foiré, éclaté dans une plaque de boue, un jour tu pourras contrôler l'plasma pour te déplacer, c'était un truc dont t'étais persuadé, c'était juste peut-être pas maintenant.

On t'prenait souvent pour un gamin débile, créature secondaire qui s'perdait dans ses conneries.
T'avais perdu ton enfance en même temps que t'avais perdu l'amour de tes parents, la seule chose qui te rattachait à cette terre c'étaient tes pouvoirs, t'étais qu'un fantôme, un truc qu'on ne connaît pas, qu'on ne veut pas connaître.

T'étais pas quelqu'un de bien, t'étais un mutant, un enfoiré, une vermine, aucune once de sympathie envers toi-même. Tu savais pas quand Arthur reviendrait dans la chambre, tu savais pas s'il avait même envie de partager une chambre avec toi. Ca faisait que trois jours qu'il était là, un peu plus, tu sais pas vraiment si t'es son ami, s'il a envie que tu sois son ami, s'il a envie que tu sois quelque chose pour lui.

Peut-être qu'il reviendrait pas dans cette chambre, t'avais même pas jeté un œil à ses affaires pour voir si elles étaient toujours là, elles étaient probablement dans son sac, il avait rien déballé pour l'instant, y avais juste tes affaires, partout.

T'étais allongé sur le lit, les cheveux encore mouillés, c'était dégueulasse, t'étais épuisé, il était pas tard pourtant, t'avais pris de quoi manger pour plus tard dans la cuisine. T'attendais maintenant, t'attendais que ça.@arthur sorensen
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just a life crisis.

Bedrooms are windows to the soul.
La fatigue qui se ressentait dans tout ton corps, le contrecoup des semaines de marches qui était plus violent que tu ne le pensais. T'avais plus à fuir, pas à trouver un endroit où te cacher la nuit, un moyen de transport pour arriver à l'institut, c'était fini à présent, t'étais de nouveau en sécurité. Tu pouvais enfin te poser, ne plus t'inquiéter pour ça, mais t'y arrives pas, la peur qui reste enfouie au plus profond de toi comme si tu trouvais dans un cauchemar. Peut-être qu'il faudra un ou deux jours avant que cette peur ne s'en aille, qu'elle te laisse enfin tranquille sans que les mêmes questions ne te reviennent encore et encore. Comment t'allais donner de tes nouvelles à tes parents, leur dire que t'allais bien, comment t'assurer qu'ils aillent bien, qu'ils n'ont eu aucun problème. Fallait que tu trouves Willow aussi, comment t'allais te présenter, comment elle allait réagir, qu'est-ce que tu ferais par la suite ? T'en savais rien et peut-être que tu ne voulais pas y penser pour le moment. T'étais en sécurité, c'était le plus important, fallait pas que tu penses à autre chose.

La fatigue qui se faisait ressentir parce que ça fait trois jours que t'essayais d'éviter tout contact parce que t'as peur de ne pas contrôler ton pouvoir, de prendre une trop grande quantité d'énergie et de blesser quelqu'un qui pouvait être autour de toi. Fallait bien que t'essayes pourtant, tu pouvais rester épuiser comme ça. La journée qui se termine, les regards que t'évites parce que t'es pas à l'aise encore, que la seule chose dont t'as envie, c'est de fermer les yeux, mais même dormir ne te repose pas suffisamment.

La porte de la chambre que tu pousses, le corps de Hyacinth sur le lit qui semblait être autant, voir plus fatigué que toi. Tu restais planté là, debout, pendant quelques secondes parce que tu savais pas ce que tu devais faire. Est-ce qu'il dormait, est-ce que tu devais le réveiller, est-ce que tu devais dire quelque chose ou juste partir dans la salle de bain pour prendre ta douche. Tes jambes qui avancent presque automatiquement vers le corps que tu pensais endormi, ta main qui s'approche de lui, de son épaule comme pour le réveiller avant de remarquer qu'il était bien réveiller. « Sorry, I didn't want to bother you. » Mensonge qui s'échappe de tes lèvres, si tu voulais pas le dérange, tu te serais pas approcher de lui, tu n'aurais pas eu envie de le réveiller pour qu'il te tienne compagnie. Putain, ça fait trois jours que t'es là et pourtant, t'avais l'impression de connaître depuis des mois, des années parce que quelque chose te faisait sentir bien chez lui. Ou peut-être parce que t'étais attaché à la première personne rencontré après des semaines des cavales et que ça t'avais fait du bien d'avoir une interaction presque banale avec quelqu'un d'autre. Hyacinth t'avais en quelque sorte sortie de ta solitude et qu'est-ce que ça t'avais fait du bien. « I just wanna see if you were sleepy to let you rest and all. » Le sourire qui se dessine doucement sur ton visage parce que t'as l'impression que toutes tes angoisses se sont envolées quand tu plonges dans son regard, comme si t'étais finalement toi. « I gonna take a shower, do you want me to wake you up for dinner or something ? » Le sourire qui s'agrandit un peu plus, le cœur qui commence à battre un peu plus vite. T'avais sans doute l'air idiot et un peu, beaucoup, niais, mais tu t'en fichais aussi, t'attendais juste une réponse de sa part.@hyacinth fairchild
*
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Bedrooms are windows to the soul.
T'avais entendu la porte, les pas.

T'avais entendu Arthur, ressenti aussi, c'était pas dur, le mec prenait de la place dans une pièce, c'était son aura, sa stature, c'était impossible de l'ignorer.

Il s'excuse, Arthur, et t'as un sourire alors que tu te redresses, il est pas discret et il est mauvais menteur en plus de ça. « L.i.a.r. I saw your hand. » Et t'as le regard plus doux.

T'es soudainement conscient que t'es peut-être un connard, peut-être que t'es considéré comme un connard par tout le monde, t'as pas envie qu'il pense ça de toi.


« I'm just teasing you, it's ok, don't worry, the bathroom is all yours. » T'évites une blague sexuelle que tu pensais trop facile, t'évites aussi le regard, impossible d'le regarder dans les yeux, t'as autant de prestance qu'un chaton de trois semaines et t'oses même pas bouger. « Oh. I took some food on my way here, so, go ahead, don't wait for me, I'm doing ok. » Efface les questions d'un revers de la main, la plupart du temps t'étais du genre à manger seul le soir, Everest restait pas à l'institut et toi t'avais peur qu'on se foute de ta gueule si t'étais pas avec lui, t'étais tout sauf l'étoile de l'établissement et t'avais toujours peur de te mettre à toi même la honte.



« Go take a shower. I'm not moving, Imma take care of your stuff, ain't nobody gonna steal it. » Pointe le menton vers le sac de sport qu'il avait ramener dans la chambre quand il était arrivé. T’avais pas fouillé et t'allais pas fouillé, pas friand des caleçons sales et autres, pas un kink que t'apprécies plus que ça en plus de la situation gênante entre toi et l'idée que tu te faisais de lui.


T'attends que l'blond prenne sa douche, t'attends et tu fixes le plafond que t'as décoré d'étoiles miniscules s'illuminant quand il fait trop noir, c'était ironique, t'étais quand même le garçon aux aurores boréales, tu devrais pas avoir peur du noir, de la prénombre, de l'absence de lumière, pourtant, c'était le cas.

T'attends, comme un débile, comme un enfant, tu fais rien, ouvre même pas ton téléphone, t'as juste l'regard fixé sur l'plafond, dissociation totale, perdu dans l'vide, dans tes pensées, dans tout et rien du tout.

« Why did you came here ? What happened ? » Tu demandes, inconsciemment, quand l'corps rentre dans la chambre de nouveaux. La main qui se tend vers le plafond, une aurore boréale qui apparaît doucement au plafond, fantôme, copie de ce que tu pouvais vraiment produire. Apparais, reste quelques secondes, disparaît. « Did you kill someone ? You're a power vacuum right ? » Tourne la tête vers la porte d'entrée, observe la silhouette, t'étais qu'un connard, un connard vide. « It's rude. Sorry. » Rire. Bras contre tes yeux, t'étais épuisé, tu voulais juste savoir, avoir des réponses, assouvir une curiosité maladive et perverse qui te prenait tout l'crâne. Pourquoi. Comment. Quand.@arthur sorensen
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Bedrooms are windows to the soul.
Putain, il devait penser que t'étais un psychopathe ou quelque chose dans l'genre, t'avais pas à t'approcher d'aussi près des gens, qu'ils soient endormis ou non. Tu voulais juste vérifier s'il était réveillé, t'espérais que Hyacinth gobe cette demie vérité. Le regard qui se baisse parce que t'étais un piètre menteur, qu'au-dessus de ta tête, il devrait y avoir un panneau clignotant avec un menteur inscrit en gros. Tu t'mords les lèvres, tu fais toujours ça quand on te prend la main dans le sac, tu le fais depuis que t'es tout petit.

T'as finalement les yeux qui s'lèvent, vos regards qui se croisent et t'as ton cœur qui loupe un battement. T'as eu le souffle coupé durant cette seconde, parce que tout était doux chez lui, son visage, son regard, son sourire, ses lèvres. C'était juste une seconde, mais t'avais son image gravée dans ton esprit. Tu devais sacrément avoir l'air con à le regarder, à l'admirer comme ça, que tu t'étais même pas rendu compte qu'il avait repris la parole.

T'acquiesces, un mouvement de tête simple, même si tu sais pas vraiment ce qu'il t'avait dit. Peut-être quelque chose en rapport avec la douche que tu devais prendre, t'en avais parlé. Peut-être que t'avais l'air déçu quand il t'a dit que tu pouvais aller manger sans lui, t'avais pas envie de te retrouver seul, t'étais pas encore si à l'aise que ça à l'Institut, fallait que tu prennes ton temps, tes repères et il était le seul pour le moment. Hyacinth que t'avais bousculé, pris son énergie dès les premières minutes de ton arrivée. « I can stay with you, we can eat together, well if you want of course. » Tu sais que tu devrais sortir de ta zone de confort, pas pour le moment. Faut que tu trouves Willow aussi, mais t'as l'temps, elle était absente pour le moment.

Le pauvre sac qu'il montre, les affaires que t'avais pris rapidement, lavé aussi vite que t'es arrivée ici. Tu t'étais senti revivre quand t'avais pu porter à nouveau des vêtements propre. « Thanks, i don't really want to have three shirt instead of four. » Un rire qui s'échappe de tes lèvres, les joues qui deviennent plus rouges, parce que t'avais essayé de répondre sur le ton de l'humour, de te détendre un peu et que tu savais pas si ça avait fonctionné. T'avais pris de nouvelles affaires avant de presque t'enfuir de honte dans la salle de bain. T'aurais pu mieux faire, dire autre chose, mais non fallait que tu sortes quelque chose de basique.

Un soupir qui s'échappe quand l'eau chaude vient sur ta peau, quand t'avais cette sensation de sentir tous les muscles de ton corps se détendre au fur et à mesure. T'oubliais presque tout dans ces moments-là. Presque. Fallait toujours que tu t'demandes si ta famille allait bien, qu'est-ce qu'ils pouvaient faire, qu'est-ce qu'ils pouvaient dire sur ta disparition. T'aimerais bien prendre de leur nouvelle, mais fallait que tu t'trouves un téléphone, mais t'avais assez d'argent pour t'en racheter un nouveau. Fallait que tu penses à autre chose, que tu te concentres sur autre chose. Tu fermes les yeux et tu te concentres sur l'eau.

Tu sais pas combien de temps t'es resté, assez pour que de la buée apparaisse sur le miroir et que tes mains soient ridées. La tête qui se lève, le regard qui se pose sur lui quand il te demande ce que tu fais là. La bouche qui reste ouverte quelques instants, le regard qui dévie sur l'aurore boréale, pas la première que t'en voyais, t'en avais déjà vu quelques-unes et c'était toujours un spectacle magnifique. Un léger sourire qui se dessine quand les questions continuent, peut-être que t'étais un meurtrier, enfin t'avais eu l'impression de fuir parce qu'on t'aurait traité comme tel.

Le corps qui vient s'écraser sur le lit quand les excuses sortent de la bouche de Hyacinth et t'as toujours ce sourire sur le visage. « It's ok, don't worry. » Tu voulais pas le mettre mal à l'aise, c'était votre chambre, il avait bien l'droit de savoir pourquoi. « I … I just ran away. Someone reported me and i wasn't on the list so I got scared and runaway. » T'avais l'impression que c'était stupide, que t'avais eu peur pour rien. « My grandma told me about that place so tadaa I'm here. » Le sourire qui reste toujours présent, qui n'a sans doute pas la même intensité qu'au départ. « And you, why you're here ? And how long ? Well you can lie if you don't want to tell me don't worry, i'll probably believe it. » Le regard qui croise à nouveau le sien et t'avais toujours cette sensation de bien-être quand t'étais avec lui, peut-être que tu devrais pas, tu le connaissais à peine. Tu voulais juste te raccrocher à quelqu'un, d'avoir un ami à tes côtés et finir avec cette solitude.@hyacinth fairchild
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just a life crisis.

Bedrooms are windows to the soul.
Tu pouvais pas t'empêcher d'être intrigué par le nouveau venu dans l'institut.
D'une part parce que c'était l'type de mec dont t'avais rêvé depuis longtemps mais également parce que c'était un vent de nouveauté incontestable dans ta vie.

T'avais eu la chance d'être la première personne à qui il avait adressé la parole quand il était arrivé, certes, par accident, mais ça devait bien compter pour quelque chose dans la future relation que vous alliez avoir non ?


Les questions sortent seules de ta bouche, intrusive et presque incisive. T'as le regard intéressé cependant, presque attendri par la naïveté dégoulinant d'Arthur quand il explique comment il a finit à l'institut. Il a eut la chance d'avoir une famille aimante, t'as l'impression que c'est souvent l'cas, qu'les mutants sont ici que pour leur protection mais que leur famille les aimes plus que les tiens t'ont jamais aimé et au fond, tout au fond, ça te faisait putain de chier. « I don't know ? A year ? Two ? » T'hausses les épaules, parle pas d'ta vie, parle pas d'avant, essaie d'être le plus vague possible. « We're not supposed to be talking about me, you're the new one. » Parce que t'as pas envie de cracher que tes parents t'avaient virés quand ils avaient remarqués que t'étais pas normal, parce que c'était un truc que tu dirais jamais au premier venu crush ou pas crush.


« Let's have a walk ? » Tu demandes mais tu t'agites tout de suite, ventoline dans la poche, téléphone portable. « Let's show each other our powers. » T'as un sourire t'étais fatigué mais tout sujet qui pouvait t'empêcher de parler de toi était une occasion à prendre.

T'avais profondément envie de devenir son ami pour l'instant, peut-être plus tard, s'il demandait tu dirais pas non. « Do you have a significant other ? » Question ouverte pour savoir s'il avait potentiellement quelqu'un. Tu guides, n'oses pas prendre la main ou offrir de la prendre pour être honnête, tu fais de ton mieux pour être le plus impassible possible.@arthur sorensen
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