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libre ▬ that's just the way of the world

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That's just the way of the world
It never ends till the end, then you start again

La poupée danse, s'exhibe, sous les néons rougeâtres de ce club select. Corps qui ondule, bassin maîtrisé, œillade subtile et battements de cil calculés. Josefina est en chasse, en quête d'un corps contre lequel se blottir, avec lequel rentrer ce soir – ou juste avec lequel s'amuser, qu'importe la façon de le faire. Oh, des regards, elle en attire, c'est certain. Elle le sait, elle en joue. Mais qui sera assez fou pour tomber dans son piège, qui sera assez audacieux pour se laisser glisser dans sa toile ? Elle capte les pensées, s'en amuse ce soir. Lui, là-bas, ne se pense pas à la hauteur ; il n'a pas tord. La princesse ne daignerait pas accepter de l'effleurer, lui jetant ce regard dont elle a le secret, riant à gorge déployée lorsqu'il comprend qu'il vient de se faire rejeter avant même d'avoir essayé. Josefina est dans son univers, monde de la nuit pour décompresser, l'anonymat presque garanti par les stroboscopes. Elle n'est personne et tout le monde à la fois. Ce soir, elle danse ; demain, elle verra.

Josefina laisse le fil des pensées des âmes présentes décider de la course de son regard. Elle ne s'intéresse pas à ceux qui reluquent son fessier, ceux qui l'imaginent déjà dans des positions extravagantes. Les humains sont des êtres si sales, il suffit d'être télépathe dans une boîte de nuit pour s'en rendre compte. Mais ça l'amuse, Josefina. Ce soir, et pour les vingt prochaines minutes, les pensées des autres ne sont qu'une symphonie, rendue digeste par la ligne prise quelques minutes plus tôt dans les toilettes. Elle a l'impression de voler, Josefina. Au milieu de la piste, elle virevolte, la cocaïne la rendant légère, presque saoule sans avoir bu une goutte d'alcool. Lucide, toujours, mais comme happée par la fête, comme libérée du poids des voix dans sa conscience. Elles sont là, toujours. Moins vives. Plus supportables. Et son regard se heurte à quelqu'un. Quelqu'un qui ne la regarde pas. Quelqu'un qui pense à autre chose qu'à elle. Quelqu'un qu'il lui semble reconnaître, de manière assez floue. Alors elle tente. Un sourire aux lèvres, elle lui envoie un simple mot ; « Là. » et regarde cette personne chercher qui vient de lui parler avant d'éclater de rire en continuant de danser. Elle connaît donc cette personne. Elle lui a déjà parlé, même si ce n'était qu'une brève conversation. Si sa télépathie fonctionne, c'est qu'elle l'a déjà rencontré. Ce soir, cette pauvre âme sera sa victime, parce qu'elle ne se rappelle plus vraiment de cet être. Parce qu'elle veut simplement s'amuser. « Derrière toi. » lui souffle-t-elle en pensée, tournant sur elle-même en fermant les yeux pour ne pas être repérée, l'induisant en erreur dans ses explications. « Regarde mieux. » lui envoie-t-elle encore, riant aux éclats en ondulant sur la musique.

Puis, elle se rapproche. « Tu brûles. » lui propulse-t-elle encore dans le crâne, sans lui prêter attention. Elle laisse ce pauvre être humain tourner en rond plusieurs minutes, savourant l'effet qu'elle fait toujours, savourant cette mutation qu'elle aime toujours avec autant d'intensité malgré les années, avant d'aller saisir un verre au bar et de faire demi tour pour se laisser tomber à ses côtés. « Hey. Tout va bien, tu as l'air perturbé.e ? » finit-elle par dire, avec des mots cette fois et cette fausse empathie activée, en essayant de masquer son amusement derrière la paille de son mojito. Oh, bien sûr, il y a des chances que cette personne reconnaisse la voix qui lui a raisonné dans la tête. Mais des deux, ce sera l'autre qui passera pour complètement à l'ouest s'il lui vient l'idée d'en faire la réflexion.

@libre
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Lara n'avait pas l'habitude d'aller en boîte de nuit. Elle préférait les bars, elle, mais Xena avait tenu à ce qu'elles se fassent une soirée filles et Lara n'avait pas pu lui résister. Lara ne pouvait jamais lui résister, à Xena. En même temps, elle ne connaissait pas grand monde qui lui résistait. Bref, toujours est-il qu'elle se retrouvait dans une boîte de nuit, seule, pendant que Xena s'amusait avec une proie. Oui, une proie, tant que la personne n'avait pas prouvé qu'iel était Mutant.e. Mais bon, certains humains savaient s'amuser aussi, alors Xena n’éprouvait aucun remord à coucher avec des humains tant qu'elle ne s'attachait pas derrière.

Lara dansait, un peu lascivement, attirant quelques regards sur sa silhouette moulée dans une robe noire. Son décolleté, composé de lacets qui descendaient jusqu'au nombril, attirait nombre de regards, et elle aimait ça, Lara. Elle aurait presque envie de mettre le feu à la boîte de nuit, pour que les regards admiratifs se muent en terreur face à sa toute puissance. Mais Xena était dans la pièce, et bien qu'elle soit capable de se protéger seule, Lara ne voulait pas risquer sa vie.

Son verre à la main, elle s'apprêtait à reprendre une gorgée de son cocktail d'alcools forts en admirant le déhanché de son amie quand une voix s’immisça dans sa tête. « Là. ». Lara en recracha presque son cocktail et regarda autour d'elle. Personne n'était assez proche d'elle pour qu'elle entende sa voix aussi clairement, c'etait presque comme si ... Comme si la personne parlait directement dans son esprit. Une Mutante ? « Derrière toi. » lança la voix. La pyromane se retourna en fronçant les sourcils, et la voix continua : « Regarde mieux. ». Elle était pleine d'ironie, cette voix, comme si elle s'apprêtait à rire aux éclats. Lara commençait sérieusement à s'énerver, elle commençait à vouloir coller son poing dans le visage de cette voix qui jouait avec ses nerfs. « Tu brûles. ». Argh ! Lara enrageait. Puis la voix se tu, et une jeune femme vint à ses côté.

- Hey. Tout va bien, tu as l'air perturbé.e ?

Suspicieuse, Lara la scruta, les yeux plissés. Il y avait une différence entre la voix dans son esprit et celle de cette femme, mais elle pouvait être attribuée à la musique et l'ambiance de la salle, différente de celle de son esprit. Malgré tout, Lara se méfiait. Le GLM lui avait appris une chose, il n'y a pas de coïncidences. Et que cette femme l'approche juste après que la voix l'ai faite tourner en bourrique, c'était trop beau pour être vrai.

- Ouais. Y'a une conasse qui s'est amusée à me faire chier. Et toi ?

Si c'était elle, la voix, elle réagirait peut-être à l'insulte. Peut être. De toute manière, même si quelqu'un lui cherchait des noiss, Lara était totalement en capacité de se défendre, même sans Mutation. Après tout, elle avait été éduquée par Aurélie pour être une machine de guerre, surtout dans le cas où elle ne pourrait plus compter sur ses capacités.

Lara se pencha vers la brune pour demander :

- J'suis Lara. Tu t'appelles ?

Digne de son éducation, Lara ne posait jamais de questions. Elle ordonnait des réponses.

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Elle sait qu'elle ne devrait pas jouer avec le feu, mais c'est plus fort qu'elle. Petit plaisir coupable, passe-temps discutable dans lequel la poupée aime se perdre parfois, lorsque les choses ne sont pas assez amusantes pour elle. Attirer les regards est une chose ; elle y est habituée, elle n'y prête plus vraiment attention. Elle sait qu'elle est belle, que son regard froid attirerait n'importe qui. Oui, mais voilà ; ce n'est pas ce qui lui plaît, pas réellement. Ce n'est pas ce qui l'amuse, disons. Avec le temps, elle a appris à être dégoûtée par les hommes et leurs pensées salaces et elle a compris depuis bien longtemps que les femmes n'étaient que jugement et jalousie. Même une femme prétendant l'aimer. Elle a toujours perçu ce sentiment, cette jalousie grignotant chaque pensée, les rendant acerbes. Avec les années, elle a appris à s'en délecter. Josefina aime attirer la jalousie de ses paires ; ça la fait sentir supérieure, comme si elle représentait une sorte de divinité pour le commun des mortels. Mais ce n'est pas des pensées jalouses qui se distinguent dans la caboche de sa victime du soir.

Josefina fait enrager la demoiselle et elle adore ça. Peu subtil de l'approcher après l'avoir presque poussée à bout, mais la brune n'a pas réussi à résister. Trop tentant. Cet être semble tout prêt à exploser, à répandre sa colère tout autour, à éclabousser les dommages collatéraux de sa hargne. Ça lui plaît, à Josefina. L'espace d'un instant, elle a eu un pouvoir sur autrui, elle aurait pu actionner le bouton et tout faire péter. La Princesse aurait pu se trahir, exploser de rire devant les mots acides qui sont projetés sur elle. Mais, tout au contraire, elle regarde autour d'elle, feignant chercher la connasse en question. "Il y a beaucoup de connes, ici, n'y fais pas attention." Elle joue ce rôle, taillé pour elle. Copine venimeuse, elle sait qu'elle n'est pas fréquentable, mais elle tient à montrer l'inverse. "Qu'est-ce qu'elle t'a fait ?" Comme si elle ne le savait pas. Se risquerait-elle à renvoyer à la demoiselle quelques pensées parasites ? Non, elle se trahirait. Lara. Elle s'appelle Lara. Et Josefina boit une gorgée de sa boisson, feint de ne pas entendre la question ordonnée. C'est elle qui donne les ordres, pas l'inverse.

"Tu veux danser ?" lance-t-elle, consciente de laisser le suspense sur son prénom. "Si l'autre conne recommence à te faire chier, au moins tu ne seras pas seule pour lui faire face." Numéro de drague pathétique mais qui amuse profondément la brune, encore une fois. Oh non, la connasse en question ne peut pas être elle, n'est-ce pas ? Personne ne s'insulte copieusement de conne soi-même, n'est-ce pas ? Elle aurait voulu rire de son petit numéro, mais elle ne veut pas se trahir. Ce serait bête. "Je n'ai pas bien compris ton prénom, à cause de la musique. Lana, c'est ça ?" Lara, elle sait très bien que son interlocutrice s'appelle Lara. Mais elle ne veut pas lui faire le plaisir de répondre à son ordre déguisé, alors elle fait semblant de ne pas avoir entendu ce qu'elle lui disait. "Moi, c'est Catrina. Enchantée." ajoute la Mexicaine, fière d'avoir décidé du moment pour se présenter, comme s'il s'agissait d'une lutte acharnée entre deux âmes dominantes. Ce n'est pourtant qu'un prénom. Un faux, qui plus est.  

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Lara se méfie de la brune. Elle ne sait pas qui elle est, ni quel lien elle a avec la folle qui a osé infiltrer son esprit, mais elle se méfie. La brune demande ce que l'autre lui a fait, et Lara secoue la tête. Elle ne veut pas passer pour une folle, si cette fille n'est pas celle qui a insinué sa voix dans son esprit. Puis une idée lui vient. Brillante.

- C'est une Mutante.

Si la fille en face est une Persécutrice, elle réagira. Sinon, si elle n'est pas anti-mutants, elle s'en foutra. Bon moyen de deviner si elle peut devenir une alliée ou non. Même si Lara n'a pas vraiment envie de trouver une alliée dans une boîte de nuit.

La brune ne répond pas à son ordre, ce qui fait rager Lara. Personne n'a le droit d'ignorer ses ordres. Elle a décidé, cette fille ne deviendra pas une alliée. La brune en face insulte la fille qui a soûlé Lara, et celle-ci plisse les yeux. Est-ce qu'elle n'est pas impliquée ? Bien que la coïncidence soit trop étonnante pour qu'elle puisse l'ignorer, le doute s'insinue dans l'esprit de la pyromane.

Puis la fille se trompe de prénom en l’appelant, et Lara rugit intérieurement. Elle n'aime pas qu'on lui résiste, lui désobéisse et se moque d'elle. Et cette fille se moque clairement d'elle. La fille donne enfin son prénom, Catrina. Moche. Lara grimace un sourire avant de lancer :

- Bon, j'dois retrouver mon amie.

Et elle s'en va, naviguant dans la foule comme si elle n'était faite que de brume. Elle se dirige vers Xena qui drague, et la prend par le bras pour l'emmener à l'écart. Lara raconte tout à sa sœur de cœur, et les deux filles décident d'attendre que la personne la recontacte pour la trouver. Et si les doutes de Lara sont fondés, il leur suffit de surveiller Catrina.

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Explosive. C'est le mot qui s'insinue dans ton crâne, manque de te faire décrocher un sourire. Tu es tombée sur un volcan en activité qui pourrait tout brûler sur son passage. Et c'est parfait. C'est tout ce qu'il te fallait pour t'amuser ce soir. Elle n'est pas naïve, comme ses mots le révèlent ; de ses mots elle cherche le levier qui te fera frémir, elle tente d'appuyer sur certains boutons. Mais tu es de glace, tu te contentes d'une moue. « Moche. Tu devrais reporter ce qu'il vient de se passer. C'est illégal de se servir de sa mutation en public. » Toi aussi, tu cherches. « Les mutants se croient vraiment tout permis, ils ne devraient même pas pouvoir sortir comme... tout le monde. » Est-elle pro-mutante ? Est-elle activement pro-mutante ? Ou a-t-elle cette aversion pour les mutants ? Tu es certaine que sa réaction te donnera la réponse. Toi qui te fait légèrement anti-mutants pour ce soir, sans dévoiler que tu es la Mère des mutants de la Nuestra Familia. C'est un jeu. C'est un rôle. Parfois, Josefina, tu te dis que tu as loupé ta vocation, que tu aurais pu faire carrière comme actrice.

Tu la piques, elle réagit, et tu te nourris de ses réactions. Tu pourrais presque sentir les rouages de son esprit, sa colère qui monte, grimpe, s'insinue en elle. Ses pensées sont amusantes ; elle te déteste. Tu fais souvent cet effet là. Soit on t'adule, soit on veut ta mort ; il n'y a pas de juste milieu avec toi. Tu ne supportes pas les entre-temps, les conversations stupides et creuses. Tu préfères les Némésis ou les Adorateurs, mais rien qui ne soit entre les deux. Et puis l'autre brune annonce qu'elle doit retrouver son amie. Le jeu est déjà terminé ? Tu fais une moue qui, cette fois, n'est pas feinte. Tu commençais à peine à t'amuser. « Bonne soirée, alors. » lâches-tu, te détournant d'elle en faisant voler ta queue de cheval pour retourner vers le bar et commander une boisson. Les pensées de ta victime et de son amie sont tournées vers toi, tu les entends dans la foule. Tu sirotes un mojito avant de leur jeter un œil et d'adresser un petit signe à la brunette. Juste pour la faire enrager. Juste pour qu'elle se doute que tu es cette foutue télépathe qui vient d'essayer de tuer sa soirée.  Car, si ce n'est en te concentrant sur ses pensées, comment pourrais-tu être si sûre que c'est toi qu'elle surveille ? La boîte est pleine à craquer, et même si tu aimes te considérer comme le centre de l'univers, il y a beaucoup d'autres personnes que toi à voir et à surveiller, ici.   

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Cette fille est définitivement insupportable. Et anti-Mutante, par dessus le marché. Lara reste de marbre quand Catrina insinue que les Mutants ne devraient pas avoir le droit de sortir, mais dans sa tête, elle rage. Elle envisage même de faire des recherches sur cette fille et d'envoyer une équipe du GLM lui filer une frousse bleue chez elle. Mais rapidement, elle chasse cette idée. Elle ne mettra pas ses frères et soeurs Mutants en danger pour une idiote.

Puis Lara rompt la conversation en retournant près de Xena, puis se mets à surveiller la fille. Qui lui fait un signe. Yeux plissés, Lara la désigne à Xena qui sourit, avant de se mettre à jouer avec une motte de terre qui vole dans sa main. Rodées par l'habitude, les deux jeunes femmes se sont placées de sorte qu'aucune personne, mis à part Catrina, ne puisse comprendre ce qu'il se passe. Puis Lara pense, très fort "viens ici. Je sais que tu es Mutante, et je sais que tu joue avec moi. Mais j'ai quelque chose à te proposer."

En vérité, elle ne sait pas vraiment si lae télépathe est réellement Catrina, mais les coïncidences étaient trop grandes, et Lara ne croit pas aux coïncidences. La brune et son amie attendent près de la table où elles sont installées, les yeux fixés sur Catrina.

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