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(#) Dim 1 Mai - 20:31
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Je l'aurais mon chocolat, je l'aurais !
La journée est superbe, l’après-midi est bien avancé et tu ne travailles pas tout de suite. L’occasion de sortir est trop belle pour résister, ton plan en tête est simple, aller chercher un chocolat chaud dans un Starbucks et le déguster sur une table de pique-nique que tu pourrais trouver dans un parc, ton carnet à portée de main au cas où l’inspiration viendrait sonner à ta porte. Tu t’habilles avec un T-shrt orange et un jean au bas retroussé, mais quand arrive le moment de trouver une paire de chaussettes…c’est peine perdue. Tu ne cherches pas longtemps comme d’habitude et tu décides d’en mettre une de chaque couleur, blanche et noire. De toute façon, qui regardent les chaussettes des gens ? Tu prends Newt, ton Ukulélé, un sac à dos et tes écouteurs bluetooth avant de quitter la cabane au fond du jardin que tu habites. L’oiseau n’est pas encore prêt à quitter le nid, à affronter les factures et les trucs bien chiant de la vie d’adulte.
Tu sais vers quel Starbucks aller. Celui ou tu as pris tes habitudes. Quand tu entres, une longue queue t’oblige à patienter alors tu soupires, retires ton casque des oreilles pour le mettre autour de ton cou et tu te demandes si t’as vraiment envie d’attendre. Finalement, la discussion des gens avant toi te sert de diversion. Celle de derrière aussi d’ailleurs. T’as l’habitude de tendre l’oreille un peu partout, d’écouter tout ce qui peut se dire ici et là. L’équipe du Starbucks n’est pas la même que d’habitude. Quand ton tour arrives et qu’on te demande ce que tu veux. Tu cherches, t’arrives jamais à te décider et c’est plutôt long. Les gens commencent à s’impatienter derrière toi alors tu te retournes avec un grand sourire.
“ Accordez-moi un peu de temps s’il vous plaît, ce ne sera plus très long.”
Ils acquiescent. T’as pas eu besoin d’activer ton pouvoir, ils ont dû être surpris par ta voix si agréable qu’ils n’ont pas osé pester plus longtemps. Tu te retournes et demandes un chocolat chaud avec chantilly. Finalement, c’est ce que tu prends toujours. Quand on te demande ton nom. Tu réponds Eliott, parce que t’aimes bien utiliser Eliott au Starbucks, les gens sont souvent surpris. Quand arrive le moment de payer et qu’on te donne ta boisson, tu remarques qu’ils ne savent toujours pas écrire Eliott correctement. Cette fois-ci, ils t’ont mis deux L et un t. comme si ce n’était pas évident qu’il n’y a qu’un seul L et deux T à Eliott. Une fois, tu l’as vu écrit avec un Y. Tu remercies cependant le caissier et part avec ta boisson. Lorsque tu sors, tu bois une gorgée. Quelque chose cloche. Tu remarques l’absence de chocolat et l’affreux goût amer du café. Cela t’énerve. T’as attendu pour du café ! Tu veux ton chocolat, t’as payer ton chocolat, pas du café ! Tu fais demi-tour, tout droit jusqu’à l’intérieur du Starbucks une nouvelle fois. Tu vois la queue, toujours aussi longue. Tu ne vas quand même pas attendre une seconde fois pour réparer l’erreur qui ne vient pas de toi. Scandale ! Tu commences à demander aux gens de te laisser passer, certains râlent, mais tu ne laisses pas vraiment le choix aux gens. A un moment, celui que tu veux dépasser ne te laisse pas passer. Que diable ! Comment ose-t-iel? Sait-iel qui il a en face de lui?
“ Tu permets que je passe devant ? Ceci est une urgence vois tu ? Ils m’ont donné du café…Du CAFÉ ! C’est une faute grave, en plus regarde, ils se sont trompés de prénom ! J’ai déjà attendu alors tu peux me laisser passer !”
T’es un peu remonté, c’est vrai. S’il ne te laisse pas, tu vas devoir élever la voix, tu l’auras ce chocolat chaud, coûte que coûte. .
Tu sais vers quel Starbucks aller. Celui ou tu as pris tes habitudes. Quand tu entres, une longue queue t’oblige à patienter alors tu soupires, retires ton casque des oreilles pour le mettre autour de ton cou et tu te demandes si t’as vraiment envie d’attendre. Finalement, la discussion des gens avant toi te sert de diversion. Celle de derrière aussi d’ailleurs. T’as l’habitude de tendre l’oreille un peu partout, d’écouter tout ce qui peut se dire ici et là. L’équipe du Starbucks n’est pas la même que d’habitude. Quand ton tour arrives et qu’on te demande ce que tu veux. Tu cherches, t’arrives jamais à te décider et c’est plutôt long. Les gens commencent à s’impatienter derrière toi alors tu te retournes avec un grand sourire.
“ Accordez-moi un peu de temps s’il vous plaît, ce ne sera plus très long.”
Ils acquiescent. T’as pas eu besoin d’activer ton pouvoir, ils ont dû être surpris par ta voix si agréable qu’ils n’ont pas osé pester plus longtemps. Tu te retournes et demandes un chocolat chaud avec chantilly. Finalement, c’est ce que tu prends toujours. Quand on te demande ton nom. Tu réponds Eliott, parce que t’aimes bien utiliser Eliott au Starbucks, les gens sont souvent surpris. Quand arrive le moment de payer et qu’on te donne ta boisson, tu remarques qu’ils ne savent toujours pas écrire Eliott correctement. Cette fois-ci, ils t’ont mis deux L et un t. comme si ce n’était pas évident qu’il n’y a qu’un seul L et deux T à Eliott. Une fois, tu l’as vu écrit avec un Y. Tu remercies cependant le caissier et part avec ta boisson. Lorsque tu sors, tu bois une gorgée. Quelque chose cloche. Tu remarques l’absence de chocolat et l’affreux goût amer du café. Cela t’énerve. T’as attendu pour du café ! Tu veux ton chocolat, t’as payer ton chocolat, pas du café ! Tu fais demi-tour, tout droit jusqu’à l’intérieur du Starbucks une nouvelle fois. Tu vois la queue, toujours aussi longue. Tu ne vas quand même pas attendre une seconde fois pour réparer l’erreur qui ne vient pas de toi. Scandale ! Tu commences à demander aux gens de te laisser passer, certains râlent, mais tu ne laisses pas vraiment le choix aux gens. A un moment, celui que tu veux dépasser ne te laisse pas passer. Que diable ! Comment ose-t-iel? Sait-iel qui il a en face de lui?
“ Tu permets que je passe devant ? Ceci est une urgence vois tu ? Ils m’ont donné du café…Du CAFÉ ! C’est une faute grave, en plus regarde, ils se sont trompés de prénom ! J’ai déjà attendu alors tu peux me laisser passer !”
T’es un peu remonté, c’est vrai. S’il ne te laisse pas, tu vas devoir élever la voix, tu l’auras ce chocolat chaud, coûte que coûte. .
@pseudo
(#) Ven 6 Mai - 23:58
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J'voulais juste dormir moi...
Un soupir de soulagement t’échappe quand tes yeux se posent enfin sur la montre à ton poignet. La nuit a été longue et tu es heureuse de voir qu’elle touche enfin à sa fin. Même quand tu faisais encore partie de la police, on ne t’infligeait pas des horaires aussi ingrats. Tu détestes l’idée de devoir courir toute la nuit dans le but d’intervenir à cause d’un mutant qui aurait décidé que le couvre-feu, c’est juste pour faire joli. C’est pourtant pas compliqué à intégrer, après vingt-deux heures, c’est au dodo pour tous ceux qui ne peuvent pas prétendre être totalement humains. Tu ne rêves que d’une chose, c’est de rentrer retrouver ton lit pour enfin pouvoir dormir et faire cesser l’horrible migraine qui commence à se faire de plus en plus présente. Le manque de sommeil ne te réussit pas, et tu sens bien que si tu ne retrouves pas très vite ton matelas, tu risques de finir par frapper quelqu’un.
Malheureusement, c’est le jour que ton proprio a choisi pour refaire la plomberie et ton appartement, il est rempli de mecs clairement pas agréables qui font un boucan d’enfers et tu ne peux rien faire pour les chasser plus vite. Tu négocies, tu exiges, t’essayes même de faire semblant de pleurer mais rien à faire, le vieil homme à qui tu loues ton petit appartement miteux refuse de te laisser rentrer dormir en paix. Tu n’as qu’à mettre des bouchons dans tes oreilles, qu’il ose te dire. Au fond de toi, tu sens les pulsions meurtrières qui montent petit à petit, mais tu te retiens. C’est pas que t’aurais pas voulu le voir pendu à une corde pour te priver de ton sommeil, mais tu as surtout peur que les héritiers décident de revendre ton logement et que tu te retrouves à la porte. Enfin, tu pourras toujours confesser ton acte et espérer qu’une place en prison te soit réservée sans avoir besoin de passer par la chaise électrique. A contre cœur, tu abandonnes l’idée de rentrer.
Un léger instant, tu envisages de lui envoyer un message, à elle, pour lui demander si tu peux squatter son canapé quelques heures, juste le temps de récupérer un peu, mais vous n’en êtes pas encore là. Peut-être même que tu ne te sentiras jamais vraiment prête à juste venir squatter le canapé de quelqu’un avec qui tu n’es même pas capable de mettre un nom sur la relation. Et puis même si tu l’avais fait, vous êtes en période d’ignorance totale, tu ne peux pas briser le silence, ça serait reconnaître qu’elle te manque, et c’est juste impensable. Si tu as parfaitement conscience que son absence commence à peser, tu ne veux pas pour autant le reconnaître. Tu marches un peu, cherchant à la chasser de ton esprit. De toute façon, ce n'est pas vraiment le moment pour une introspection.
Tu tournes un peu dans le quartier et les minutes passent en paraissant être des heures à tes yeux. De nouveau, un soupir t’échappe. Tu regardes l’écran de ton portable, et tu te décides à trouver quelque chose pour t’occuper. De toute façon, il n’y a pas grand chose que tu ne puisses faire pour que les employés dans ton appartement aillent plus vite alors autant essayer de rendre les choses moins longues pour toi. Dix heures du matin, et toujours aucune nouvelle de ton proprio. Tu tiens à peine debout, alors il te faut impérativement de la caféine. C’est plus fort que toi, t’en as vraiment besoin pour tenir un peu plus et surtout pour tenter de faire disparaître l’affreuse migraine que tu te trimballes depuis déjà un moment. Un peu plus loin, il y a un Starbuck et même si tu n’es pas fan des grandes chaînes, le service est rapide, le café pas trop mauvais alors tu te décides à y aller.
La file d’attente est longue. Devant, une personne qui a du mal à choisir. T’aimerais bien râler mais dans le fond, tu sais que toi aussi tu risques de prendre ton temps alors tu te tais. Quand iel finit enfin de prendre sa commande, les choses vont soudainement bien plus vite. Les clients s'enchaînent rapidement, et c’est presque ton tour quand l’inconnu.e revient, passant devant tout le monde pour faire un scandale. Lae premier.ère dans la file refuse de lae laisser prendre sa place et même si tu comprends les deux points de vue, la seule chose qui t’intéresse vraiment, c’est de récupérer ton gobelet et sortir. Le ton monte chez le client qui vient de se faire doubler, et tu ne peux pas t’empêcher d’intervenir. Vestige de ta formation de policière sans doute. « Hey, ça suffit. Les réclamations, c’est pas dans la file d’attente pour prendre son café, c’est à côté. Et le fait d’avoir fait la queue une première fois, ça ne vous permet pas de passer devant tout le monde. Faut respecter un peu les autres. » Dis-tu à Du-café-sérieux-quel-scandale avant de te retourner vers plutôt-crever-que-d’être-gentil.e. « Et vous, vous pourriez faire un effort, quand même. » T’es d’humeur massacrante, t'espères bien que ça suffira de peur de devoir en tuer un des deux.
Malheureusement, c’est le jour que ton proprio a choisi pour refaire la plomberie et ton appartement, il est rempli de mecs clairement pas agréables qui font un boucan d’enfers et tu ne peux rien faire pour les chasser plus vite. Tu négocies, tu exiges, t’essayes même de faire semblant de pleurer mais rien à faire, le vieil homme à qui tu loues ton petit appartement miteux refuse de te laisser rentrer dormir en paix. Tu n’as qu’à mettre des bouchons dans tes oreilles, qu’il ose te dire. Au fond de toi, tu sens les pulsions meurtrières qui montent petit à petit, mais tu te retiens. C’est pas que t’aurais pas voulu le voir pendu à une corde pour te priver de ton sommeil, mais tu as surtout peur que les héritiers décident de revendre ton logement et que tu te retrouves à la porte. Enfin, tu pourras toujours confesser ton acte et espérer qu’une place en prison te soit réservée sans avoir besoin de passer par la chaise électrique. A contre cœur, tu abandonnes l’idée de rentrer.
Un léger instant, tu envisages de lui envoyer un message, à elle, pour lui demander si tu peux squatter son canapé quelques heures, juste le temps de récupérer un peu, mais vous n’en êtes pas encore là. Peut-être même que tu ne te sentiras jamais vraiment prête à juste venir squatter le canapé de quelqu’un avec qui tu n’es même pas capable de mettre un nom sur la relation. Et puis même si tu l’avais fait, vous êtes en période d’ignorance totale, tu ne peux pas briser le silence, ça serait reconnaître qu’elle te manque, et c’est juste impensable. Si tu as parfaitement conscience que son absence commence à peser, tu ne veux pas pour autant le reconnaître. Tu marches un peu, cherchant à la chasser de ton esprit. De toute façon, ce n'est pas vraiment le moment pour une introspection.
Tu tournes un peu dans le quartier et les minutes passent en paraissant être des heures à tes yeux. De nouveau, un soupir t’échappe. Tu regardes l’écran de ton portable, et tu te décides à trouver quelque chose pour t’occuper. De toute façon, il n’y a pas grand chose que tu ne puisses faire pour que les employés dans ton appartement aillent plus vite alors autant essayer de rendre les choses moins longues pour toi. Dix heures du matin, et toujours aucune nouvelle de ton proprio. Tu tiens à peine debout, alors il te faut impérativement de la caféine. C’est plus fort que toi, t’en as vraiment besoin pour tenir un peu plus et surtout pour tenter de faire disparaître l’affreuse migraine que tu te trimballes depuis déjà un moment. Un peu plus loin, il y a un Starbuck et même si tu n’es pas fan des grandes chaînes, le service est rapide, le café pas trop mauvais alors tu te décides à y aller.
La file d’attente est longue. Devant, une personne qui a du mal à choisir. T’aimerais bien râler mais dans le fond, tu sais que toi aussi tu risques de prendre ton temps alors tu te tais. Quand iel finit enfin de prendre sa commande, les choses vont soudainement bien plus vite. Les clients s'enchaînent rapidement, et c’est presque ton tour quand l’inconnu.e revient, passant devant tout le monde pour faire un scandale. Lae premier.ère dans la file refuse de lae laisser prendre sa place et même si tu comprends les deux points de vue, la seule chose qui t’intéresse vraiment, c’est de récupérer ton gobelet et sortir. Le ton monte chez le client qui vient de se faire doubler, et tu ne peux pas t’empêcher d’intervenir. Vestige de ta formation de policière sans doute. « Hey, ça suffit. Les réclamations, c’est pas dans la file d’attente pour prendre son café, c’est à côté. Et le fait d’avoir fait la queue une première fois, ça ne vous permet pas de passer devant tout le monde. Faut respecter un peu les autres. » Dis-tu à Du-café-sérieux-quel-scandale avant de te retourner vers plutôt-crever-que-d’être-gentil.e. « Et vous, vous pourriez faire un effort, quand même. » T’es d’humeur massacrante, t'espères bien que ça suffira de peur de devoir en tuer un des deux.
@Eryn Beck
crédit : thebaristalife
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(#) Jeu 19 Mai - 16:48
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Je l'aurais mon chocolat, je l'aurais !
Il ne veut pas te laisser passer. Forcément, ça t’énerve un peu. C’est frustrant quand on te dit non. Tu n’aimes pas les non. Tu es resté.e agréable pourtant. Exprimant ton ressenti sur l’injustice dont tu es victime. Non. Il ne voit pas les choses de la même façon. Alors tu soupire tel un.e enfant à qui on refuse quelque chose. Tes yeux brun le fixent avec défiance alors qu’il commence aussi à perdre patience. Tu lui tapes sur les nerfs, tu emmerdes tout le monde avec ton petit caprice. T’es prêt.e à lui demander de baisser le ton et à te laisser passer par la force, mais une voix t’arrête avant.
« Hey, ça suffit. Les réclamations, c’est pas dans la file d’attente pour prendre son café, c’est à côté. Et le fait d’avoir fait la queue une première fois, ça ne vous permet pas de passer devant tout le monde. Faut respecter un peu les autres. »
Ce n’est pas qu’à toi qu’elle fait la morale. Tu baisses les yeux, toute honteuse parce que t’as rien trouvé pour répliquer. Tu te sens nul.le de ne pas l’avoir vu et ta fierté en as pris un sacré coup. T’as failli te révéler en plus. T’as eu tort, mais t’aimes pas ça. Tu grommelais que c’est mal indiqué sans un pardon toutefois. Ça t’écorcherais te t’excuser.
“ J’y vais.” Dis-tu, le regard tourné vers la fille qui veux calmer le jeu. Derrière t’entends un “ Les parent savent plus élever leurs gosses ?” C’est la brise d’air qui fait chuter le funambule. Tu penches la tête vers le gars, ton visage défiguré par la colère. “ Toi on ne t'a pas appris à la fermer quand il le faut !” T’étais à deux doigts d’accepter de te décaler. A deux doigts. “ Figure-toi que tout le monde n’a pas la chance d’être élevé par sa famille. Connard !” Tu regardes à peine celle qui tente de calmer le jeu. Peine perdue avec toi dans cet état. Tu la fusilles du regard quand elle tente de jouer les médiatrices. Tu sens la poigne du gars t’attraper par le col et te rapprocher dangereusement de lui, le poing encore fermé le long de son corps. Ton rythme cardiaque s’accélère. Tu fermes les yeux alors que ta bouche balance un “lâche moi.” T’as pas compris aussitôt. Il t’a lâché le col, ses yeux toujours en colère braqués sur toi. Ton pouvoir s’est réveillé de lui-même. Les yeux braqués sur toi des gens autours qui ne semblent pas totalement comprendre ce qu’il se trame. “ Okay, j’m’en vais, pas besoin de s’énerver…Tiens j’te l’offre le café.” Tu t’écartes de la file. Tu voulais un chocolat chaud, tu vas le trouver ailleurs. Le temps de retrouver un peu le contrôle de tes émotions, et de ton pouvoir.
« Hey, ça suffit. Les réclamations, c’est pas dans la file d’attente pour prendre son café, c’est à côté. Et le fait d’avoir fait la queue une première fois, ça ne vous permet pas de passer devant tout le monde. Faut respecter un peu les autres. »
Ce n’est pas qu’à toi qu’elle fait la morale. Tu baisses les yeux, toute honteuse parce que t’as rien trouvé pour répliquer. Tu te sens nul.le de ne pas l’avoir vu et ta fierté en as pris un sacré coup. T’as failli te révéler en plus. T’as eu tort, mais t’aimes pas ça. Tu grommelais que c’est mal indiqué sans un pardon toutefois. Ça t’écorcherais te t’excuser.
“ J’y vais.” Dis-tu, le regard tourné vers la fille qui veux calmer le jeu. Derrière t’entends un “ Les parent savent plus élever leurs gosses ?” C’est la brise d’air qui fait chuter le funambule. Tu penches la tête vers le gars, ton visage défiguré par la colère. “ Toi on ne t'a pas appris à la fermer quand il le faut !” T’étais à deux doigts d’accepter de te décaler. A deux doigts. “ Figure-toi que tout le monde n’a pas la chance d’être élevé par sa famille. Connard !” Tu regardes à peine celle qui tente de calmer le jeu. Peine perdue avec toi dans cet état. Tu la fusilles du regard quand elle tente de jouer les médiatrices. Tu sens la poigne du gars t’attraper par le col et te rapprocher dangereusement de lui, le poing encore fermé le long de son corps. Ton rythme cardiaque s’accélère. Tu fermes les yeux alors que ta bouche balance un “lâche moi.” T’as pas compris aussitôt. Il t’a lâché le col, ses yeux toujours en colère braqués sur toi. Ton pouvoir s’est réveillé de lui-même. Les yeux braqués sur toi des gens autours qui ne semblent pas totalement comprendre ce qu’il se trame. “ Okay, j’m’en vais, pas besoin de s’énerver…Tiens j’te l’offre le café.” Tu t’écartes de la file. Tu voulais un chocolat chaud, tu vas le trouver ailleurs. Le temps de retrouver un peu le contrôle de tes émotions, et de ton pouvoir.
@pseudo
(#) Dim 29 Mai - 20:43
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J'voulais juste dormir moi...
La queue n’en finit pas, et la seule chose que t’as en tête, c’est à quel point tu veux ta petite dose de caféine pour tenir le coup jusqu’à pouvoir enfin te poser dans ton lit. Malheureusement, une dispute éclate et tu ne peux t’empêcher d’intervenir. T’es plus dans la police, mais les vieilles habitudes ont la vie dure. Si tu avais encore ta plaque, tu aurais pas hésité un seul instant à les emmener au poste pour trouble à l’ordre publique, mais tu ne l’as plus, et tu ne peux pas te permettre un débordement maintenant que t’as peut-être enfin une chance de pouvoir faire autre chose que de patrouiller toute la nuit pour coller des amendes aux stupides mutants incapable de respecter le couvre feu. Un soupir t'échappe mais au moins, Du-Café-Sérieux-Quel-Scandale semble comprendre et ne cherche pas à aller plus loin. Tu lae remercies intérieurement, sans doute un peu trop vite parce que déjà Plutôt-Crever-Que-D’être-Gentil lae provoque et iel revient à la charge.
Un soupir t’échappe à nouveau. T’es loin d’avoir envie de tout ça. La seule chose que tu voudrais là tout de suite, c’est de rentrer chez toi, envoyer un message à ta chère et tendre, et dormir dans ses bras. A la place, voilà que l’homme veut jouer au gros bras et saisit le col de Du-Café-Sérieux-Quel-Scandale. L’air menaçant, tu sens qu’il est sur le point de lae frapper. Tu fais un pas vers eux, prête à intervenir mais la situation semble se régler toute seule quand lae client.e mécontent.e prend la parole et semble presque envoûter l’homme en colère avec ses mots. Bien trop étrange pour que l’homme ne succombe seulement aux mots doux de lae plus jeune, tu comprends toute seule qu’il s’agit d’une utilisation de mutation en publique. Une grimace se pose sur ton visage. Premier article du Civil Right, aucun mutant n’a le droit d’utiliser sa mutation pour contraindre quelqu’un. T’es pas en service, et t’as pas envie de te prendre la tête avec ça, mais en même temps, tu peux pas laisser passer.
Le temps que tu réfléchisses, Du-Café-Sérieux-Quel-Scandale est déjà en train de s’éloigner. « Et merde. » Tant pis pour ton besoin de caféine, il faut que tu lae rattrapes. T’espères simplement qu’iel se montra raisonnable, t’es loin d’avoir la patience de perdre encore plus de temps avec un.e nouveau.elle mutant.e incapable de respecter les règles. A croire que le gène X a pour complication une stupidité avancée ou une connerie dans le genre. Au fond de toi, tu espères juste que ce n'est pas encore une connaissance de Neferti, tu voudrais surtout pas risquer la dispute. « Toi là, attends. » Tu l’interpelles en t’approchant. « Vas falloir que tu m’accompagnes gentiment et sans faire d’histoire, j’suis pas vraiment d’humeur à supporter une autre crise, mais tu vois, si t’as raison et que c’est un véritable connard, tu viens d’enfreindre la loi, j’crois bien. »
@Eryn Beck
crédit : thebaristalife
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(#) Mer 1 Juin - 21:51
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Je l'aurais mon chocolat, je l'aurais !
« Toi là, attends. »
Tu t’arrêtes quand t’entends une voix derrière toi. Tu sais pas pourquoi mais tu sens que c’est pour toi. C’est la voix de la fille qui tentais de calmer le jeu. Tu t’armes de ton plus grand sourire. Qu’est-ce qu’elle peut bien te vouloir? T’as pas très envi.e qu’on te fasse la morale. Au refuge, il y a assez de gens qui le font très bien et très longtemps. Des agents de sécurité ou d’autres personnes. Tu te retournes doucement, t’espère juste qu’elle te dise que ta fait tomber un truc alors tu scrutes son visage à la recherche d’indice. Visiblement, ce n'est pas le sujet. Quand elle est proche de toi, elle a une tête trop sérieuse pour que ce soit quelque chose de bénin. « Vas falloir que tu m’accompagnes gentiment et sans faire d’histoires, j’suis pas vraiment d’humeur à supporter une autre crise, mais tu vois, si t’as raison et que c’est un véritable connard, tu viens d’enfreindre la loi, j’crois bien. » T’es pas certain.e de l’avoir fait consciemment, en fait, c’est plutôt une impulsion qu’un truc purement réfléchi.
Eh merde ! T’as pas voulu utiliser ton pouvoir. T’es pas stupide à ce point, tes traîtresses d’émotions t’ont trahie, une fois encore. Elles ne font que cela. Tes désirs et tes émotions sont les maîtres de ton corps, pas ta tête. Tu prends une grande inspiration. Ce serait trop bête de tomber face à un persécuteur, et même si la demoiselle veut jouer les justiciers, probablement trop stricts pour savoir se détendre, t’as pas eu ton chocolat, mais tu ne veux pas poser de problèmes au nouvel avocat du refuge. Tu soupires et passes une main sur ton visage.
“ Bon écoute, j’suis désolé, c’est parti tout seul, j’suis pas une bombe ambulante non plus. C’est l’émotion-là, donc j’étais énervé.e et j’ai eu peur et puis la demande est partie toute seule. J’te jure. Pas besoin d’aller jusqu’au poste de police pour ça…j’peux payer un truc à boire si tu veux pour me faire pardonner non?” tu réfléchis à une solution. “ J’peux faire une séance de gestion de la colère, tout ce que tu voudras si tu m’conduis pas là bas.” Tu mords ta lèvre inférieure. “ Ça doit t’arriver aussi non? De dire des trucs ou faire des trucs sous l’émotion…non?” T’espères vraiment qu’elle accepte de coopérer parce que t’as pas du tout envie qu’elle t’emmène au poste de police. Va expliquer à Abby pourquoi tu te retrouves encore au trou et cette fois, t’as pas fait exprès.
“ J’crois bien qu’il y a une erreur, j’suis sympa moi. J’fais rien de mal aux gens. Au contraire souvent, on peut dire que j’fais du bien….je chante et ça fais souvent du bien aux gens quand on chante non? Tu te sens pas contente quand t’entends ta chanson préférée être chantée?”
Tu t’arrêtes quand t’entends une voix derrière toi. Tu sais pas pourquoi mais tu sens que c’est pour toi. C’est la voix de la fille qui tentais de calmer le jeu. Tu t’armes de ton plus grand sourire. Qu’est-ce qu’elle peut bien te vouloir? T’as pas très envi.e qu’on te fasse la morale. Au refuge, il y a assez de gens qui le font très bien et très longtemps. Des agents de sécurité ou d’autres personnes. Tu te retournes doucement, t’espère juste qu’elle te dise que ta fait tomber un truc alors tu scrutes son visage à la recherche d’indice. Visiblement, ce n'est pas le sujet. Quand elle est proche de toi, elle a une tête trop sérieuse pour que ce soit quelque chose de bénin. « Vas falloir que tu m’accompagnes gentiment et sans faire d’histoires, j’suis pas vraiment d’humeur à supporter une autre crise, mais tu vois, si t’as raison et que c’est un véritable connard, tu viens d’enfreindre la loi, j’crois bien. » T’es pas certain.e de l’avoir fait consciemment, en fait, c’est plutôt une impulsion qu’un truc purement réfléchi.
Eh merde ! T’as pas voulu utiliser ton pouvoir. T’es pas stupide à ce point, tes traîtresses d’émotions t’ont trahie, une fois encore. Elles ne font que cela. Tes désirs et tes émotions sont les maîtres de ton corps, pas ta tête. Tu prends une grande inspiration. Ce serait trop bête de tomber face à un persécuteur, et même si la demoiselle veut jouer les justiciers, probablement trop stricts pour savoir se détendre, t’as pas eu ton chocolat, mais tu ne veux pas poser de problèmes au nouvel avocat du refuge. Tu soupires et passes une main sur ton visage.
“ Bon écoute, j’suis désolé, c’est parti tout seul, j’suis pas une bombe ambulante non plus. C’est l’émotion-là, donc j’étais énervé.e et j’ai eu peur et puis la demande est partie toute seule. J’te jure. Pas besoin d’aller jusqu’au poste de police pour ça…j’peux payer un truc à boire si tu veux pour me faire pardonner non?” tu réfléchis à une solution. “ J’peux faire une séance de gestion de la colère, tout ce que tu voudras si tu m’conduis pas là bas.” Tu mords ta lèvre inférieure. “ Ça doit t’arriver aussi non? De dire des trucs ou faire des trucs sous l’émotion…non?” T’espères vraiment qu’elle accepte de coopérer parce que t’as pas du tout envie qu’elle t’emmène au poste de police. Va expliquer à Abby pourquoi tu te retrouves encore au trou et cette fois, t’as pas fait exprès.
“ J’crois bien qu’il y a une erreur, j’suis sympa moi. J’fais rien de mal aux gens. Au contraire souvent, on peut dire que j’fais du bien….je chante et ça fais souvent du bien aux gens quand on chante non? Tu te sens pas contente quand t’entends ta chanson préférée être chantée?”
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