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(fb) i don't relate to you| Amaoka
(#) Jeu 14 Avr - 18:04
Invité
IRP
HRP
i don't relate to you
I don't relate to you, no. 'Cause I'd never treat me this shitty.
Anxiété qui force son chemin dans sa gorge, Nulpi qui ne peut s'empêcher de regarder au dessus de son épaule. Il a peur quelque part, peur de voir qui-que ce soit, n'importe qui, venir gratter à la porte de sa conscience. Un déni de tous ceux qui sont autour de lui, Nulpi tourne la tête une nouvelle fois. Personne de bien sérieux. Il est en ville pour une raison, rôde sans laisser ses pensées traîner sur elles deux. Elles deux. La pensée s'évade, celle la même qu'il tentait tant bien que mal à combattre. Elle deux, d'une qui ne l'attendra pas à la maison ce soir, lorsqu'il retrouvera l'appartement vide et sans couleurs.
Les couleurs elles ne sont qu'à imaginer tandis qu'il enfonce les mains dans ses poches, déni de cette situation encore plus. A quel moment il s'est rapproché de la famille Masamune est un vrai mystère pour lui, regret qui fronce le pli de son front. Cependant l'homme a décidé d'être là, une obligation personnelle qu'il ne peut guère remettre en question puisque la décision est la sienne et seulement la sienne. Le rendez vous qu'il doit avoir un peu plus tard dans la journée n'est pas d'une nécessité monstre, il pourrait tout aussi bien ne pas être là et pourtant. S'obligeant à sortir, voir d'autres être vivants, humains, se décloitre de son petit cercle fermé de mutants.
L'idée le fait un peu sourire, il sait qu'ici il ne pourra croiser un mutant, se souvient de l'horrible regard, les gestes de dégoûts si peu cachés. Nulpi est habitué quelque part, la peur qui saigne dans le corps de chacun. Peu surpris que les gens les détestent, ceux qui sont différents. Il n'est pas fier d'être qui il est, encore moins à présent que ses mains sont couvertes du sang. Mais le sang n'est pas celui des innocents, mensonge que de croire aux innocents.
La scène repasse un court instant dans son esprit et le mal de crâne est presque immédiat. Souvenirs des sensations, des sentiments, des visages, des odeurs ou du goût de la haine. Tout revient le hanter en l'espace de quelques secondes et l'homme est sur le point de faire demi-tour, rentrer chez lui et à se terrer derrière une bouteille d'un alcool fort.
Le batiment est trop grand et retrouver la sortie ne serait pas compliqué pour l'homme mais il désire simplement un moment de calme, un court instant. Il ouvre la porte, salle beaucoup trop grande pour ce qu'elle est... Nulpi grogne encore, se bat pour trouver une salle de bain adjacente. Il aurait du regarder la description de l'endroit avant de venir? Un hôtel? Un centre de travail? Il n'est même pas vraiment sûr et cependant il est bien content de trouver un endroit qui peut l'aider dans la situation dans laquelle il est maintenant.
Un regard au miroir, à lui-même et au teint blafard qu'il porte. Secoue la tête, il sait très bien que l'eau ne pourra l'aider que sur une courte période, mais sur ce peu de temps, Nulpi peut se laisser bercer par la froideur contre son front, l'eau qui le ramène un peu plus dans le présent. "cabrón..." Un grognement encore et soudain, un bruit qui ne vient pas de lui. L'homme relève la tête, éteint l'eau aussi rapidement qu'il l'ai allumé. La porte de la salle d'eau est entrouverte et il a peur d'avoir faire quelque chose qu'il n'aurait pas dû. Nulpi, d'un pas léger regarde dans l’embrasure, il reconnaît la figure de l'héritier et un soulagement se forme dans sa poitrine, il s'apprête à sortir de la salle mais, quelque chose le retient, comportement bizarre de la part de l'autre.
En parfait voyeur, l'homme reste là, à regarder.
Les couleurs elles ne sont qu'à imaginer tandis qu'il enfonce les mains dans ses poches, déni de cette situation encore plus. A quel moment il s'est rapproché de la famille Masamune est un vrai mystère pour lui, regret qui fronce le pli de son front. Cependant l'homme a décidé d'être là, une obligation personnelle qu'il ne peut guère remettre en question puisque la décision est la sienne et seulement la sienne. Le rendez vous qu'il doit avoir un peu plus tard dans la journée n'est pas d'une nécessité monstre, il pourrait tout aussi bien ne pas être là et pourtant. S'obligeant à sortir, voir d'autres être vivants, humains, se décloitre de son petit cercle fermé de mutants.
L'idée le fait un peu sourire, il sait qu'ici il ne pourra croiser un mutant, se souvient de l'horrible regard, les gestes de dégoûts si peu cachés. Nulpi est habitué quelque part, la peur qui saigne dans le corps de chacun. Peu surpris que les gens les détestent, ceux qui sont différents. Il n'est pas fier d'être qui il est, encore moins à présent que ses mains sont couvertes du sang. Mais le sang n'est pas celui des innocents, mensonge que de croire aux innocents.
La scène repasse un court instant dans son esprit et le mal de crâne est presque immédiat. Souvenirs des sensations, des sentiments, des visages, des odeurs ou du goût de la haine. Tout revient le hanter en l'espace de quelques secondes et l'homme est sur le point de faire demi-tour, rentrer chez lui et à se terrer derrière une bouteille d'un alcool fort.
Le batiment est trop grand et retrouver la sortie ne serait pas compliqué pour l'homme mais il désire simplement un moment de calme, un court instant. Il ouvre la porte, salle beaucoup trop grande pour ce qu'elle est... Nulpi grogne encore, se bat pour trouver une salle de bain adjacente. Il aurait du regarder la description de l'endroit avant de venir? Un hôtel? Un centre de travail? Il n'est même pas vraiment sûr et cependant il est bien content de trouver un endroit qui peut l'aider dans la situation dans laquelle il est maintenant.
Un regard au miroir, à lui-même et au teint blafard qu'il porte. Secoue la tête, il sait très bien que l'eau ne pourra l'aider que sur une courte période, mais sur ce peu de temps, Nulpi peut se laisser bercer par la froideur contre son front, l'eau qui le ramène un peu plus dans le présent. "cabrón..." Un grognement encore et soudain, un bruit qui ne vient pas de lui. L'homme relève la tête, éteint l'eau aussi rapidement qu'il l'ai allumé. La porte de la salle d'eau est entrouverte et il a peur d'avoir faire quelque chose qu'il n'aurait pas dû. Nulpi, d'un pas léger regarde dans l’embrasure, il reconnaît la figure de l'héritier et un soulagement se forme dans sa poitrine, il s'apprête à sortir de la salle mais, quelque chose le retient, comportement bizarre de la part de l'autre.
En parfait voyeur, l'homme reste là, à regarder.
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