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one drink, maybe two (bro)
(#) Dim 3 Avr - 20:29
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---one drink, maybe two.. @ÁNGEL VIDAL
Le grondement du moteur résonne dans les rues bétonnées. Caleb aime cette sensation de vitesse, ce danger pouvant perdre pied à tout moment. Ça a déjà été le cas. Il traverse les quartiers de la ville avec rapidité, au-dessus de la limite autorisée, zigzagant entre les voitures, un exemple à ne pas suivre. Il ne roule pas de cette manière à chaque fois qu'il monte sur son bolide mais, aujourd’hui, énervé, il ne fait pas réellement attention à sa conduite.
Son trajet le mène à Manhattan, quartier qu'il connaît comme sa poche. Il se gare sur le parking de quelques places, derrière la ruelle du bar. Casque à peine retiré que le voilà, à sortir de sa poche, son paquet de cigarettes. Il en sort une, glissant le carton marron entre ses lèvres et l'allume avant de se mettre à marcher pour se rendre devant l'établissement.
Du monde à l'extérieur, il espère qu'il n'y ait pas foule à l'intérieur, loin d'être un fan des endroits bondés. Il tire sur sa cigarette, une fois, deux. La fumée s'échappe, caresse son visage. Il aime cette odeur qui chatouille ses narines, qui en dérange plus d’un. Il regarde l'heure sur sa montre, il est en avance de quelques minutes par rapport à l'heure du rendez-vous que les deux hommes se sont fixés.
Plus tôt dans la journée Caleb avait croisé à plusieurs reprises son ami Angel. des échanges rapides, brefs, tous deux ayant pas mal à faire avec leur unité. Un horaire, le nom du pub et ils savaient qu'ils allaient pouvoir parler calmement ce soir.
Il tire un peu plus fort sur sa cigarette qui se consume trop vite à son goût. Un regard autour de lui, il observe chaque personne qui l'entoure, un réflexe qu'il a au quotidien. Puis, il reconnait cette gueule qui s'approche de lui. - pile à l'heure! Allez, j'ai soif moi ! Un léger sourire aux lèvres avant de lui donner une tape sur l'épaule quand il arrive à côté de lui. Il jette sa cigarette avant de rentrer dans les lieux, accompagné de son ami. Table libre au fond de la pièce, parfait. Il s'installe, retire sa veste et pose son regard sur le serveur déjà en route pour venir prendre leur commande. Rapidité qu'il apprécie grandement. - une bière s'il te plait il le tutoie Caleb, il a l'habitude de venir ici, c'est son deuxième QG. Que ce soit en compagnie d'ancien soldat, des membres de différentes unités ou bien avec son frère, il ne dit jamais non à une bière bien fraiche ou encore un verre de son poison préféré, le whisky. Parfois c'est pour quelques heures, parfois il reste jusqu'à la fermeture. l'état varie en fonction de la journée qu'il a pu passer ou bien des rencontres qu'il a pu faire. Regard fixé sur son ami qui énonce à son tour sa commande, un plaisir d'être là en sa compagnie. Caleb aime passer du temps avec celui qu'il considère comme un frère, Angel. Deux hommes aux caractères similaires, nés pour s'entendre. Dès que le serveur s'éloigne, Caleb prend la parole ; - cette journée m'a épuisé. j'ai encore dû pousser la voix sur l'un de mes soldats qui ne sait pas se tenir. un soupire qu'il laisse s'échapper. La journée n'a pas été simple.
(#) Mar 5 Avr - 10:38
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Déception. Journée un poil décevante. Entrainement salvateur se solde par quelques entretiens. Potentielles nouvelles recrues à la prétention plus grande que talent. Capitaine n’aura guère de nouveaux adhérents en ce jour… Heureusement, quotidien ponctué de plusieurs rencontres. Cal’. Visiblement tout aussi affligé par journée épouvantable. Complices de galère, une heure, une adresse, une pause. Nécessité.
Arrivé sur place. Caisse se gare devant. Cigarette soigneusement écrasée dans cendar. Parce qu’elles ont été trop nombreuses aujourd’hui, innombrables mégots en cadavres saturent cimetière. Portière claque. Caleb déjà présent, bougre le rejoint rapidement les pognes dans les fouilles. Comparse l’accueille avec sourire léger, clamant une impatience d’hydratation. Tape sur l’épaule qu’il lui rend volontiers.
Lascars s’installent sur table retirée. Serveur familier, ami commande bière qu’assassin s’empresse de doubler d’un simple geste spontané de la main. Endroit apprécié pour passer moment suspendu dans le temps. Alter d’avantage habitué que sniper, néanmoins, habitude régulièrement entretenue que de se poser dans le coin. Instant partagé salvateur, voire nécessaire. Frère d’une autre mère. Jamais il ne raterait occasion de vider binouzes en sa compagnie. Parfois, nul besoin d’énoncer invitation pour deviner besoin. Simple échange de regard suffit que pour l’autre comprenne. Complicité fusionnelle.
Décharge amorcée. Comparse se plaint du non-respect d’un de ses soldats. Alors tireur se questionne :… toujours le même ou un bleu c’coup-ci ? Risette en coin sur faciès. Ne remet aucunement autorité en question. … et si jamais ça t’intéresse, on doit bientôt tester de nouveaux gilets en kevlar alléger. J’ai besoin de cobaye pour étudier les impacts de balles. Tu peux me l’envoyer si tu veux ! Ça peut peut-être le calmer un peu…. lui lança-t-il sur ton légèrement humoristique aux effluves de sérieux. Projet néanmoins que chaque tireur devra tester afin de ressentir les effets. Passage obligé guère appréciable…
Serveur arrive rapidement avec commandes. Remerciement machinal, automatique. Phalanges attrapent bouteille, décapsulent et tend vers chope voisine afin d’inviter à la trinque.… À cette journée pourrie ?
Arrivé sur place. Caisse se gare devant. Cigarette soigneusement écrasée dans cendar. Parce qu’elles ont été trop nombreuses aujourd’hui, innombrables mégots en cadavres saturent cimetière. Portière claque. Caleb déjà présent, bougre le rejoint rapidement les pognes dans les fouilles. Comparse l’accueille avec sourire léger, clamant une impatience d’hydratation. Tape sur l’épaule qu’il lui rend volontiers.
Lascars s’installent sur table retirée. Serveur familier, ami commande bière qu’assassin s’empresse de doubler d’un simple geste spontané de la main. Endroit apprécié pour passer moment suspendu dans le temps. Alter d’avantage habitué que sniper, néanmoins, habitude régulièrement entretenue que de se poser dans le coin. Instant partagé salvateur, voire nécessaire. Frère d’une autre mère. Jamais il ne raterait occasion de vider binouzes en sa compagnie. Parfois, nul besoin d’énoncer invitation pour deviner besoin. Simple échange de regard suffit que pour l’autre comprenne. Complicité fusionnelle.
Décharge amorcée. Comparse se plaint du non-respect d’un de ses soldats. Alors tireur se questionne :
Serveur arrive rapidement avec commandes. Remerciement machinal, automatique. Phalanges attrapent bouteille, décapsulent et tend vers chope voisine afin d’inviter à la trinque.
(#) Sam 9 Avr - 13:47
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---one drink, maybe two.. @ÁNGEL VIDAL
Dans l’attente de ce breuvage pour décompresser, la conversation commence par un récapitulatif de la journée. Le snipper a ciblé à la perfection le soldat en question. Un problème au quotidien pour le Capitaine. Des années qu’il y a cette tension entre eux, avis divergent. La tête se secoue machinalement, montrant son agacement. - toujours le même. Un homme qui ne supporte pas recevoir des ordres d'un Capitaine plus jeune que lui, qui regrette l'ancien parti en retraite. Caleb ne supporte pas son insubordination et cherche la meilleure manière de lui montrer. Capitaine K sait qu'il doit faire attention, aucun dérapage ne lui est autorisé. Un persécuteur qui n'aime pas sa façon d'agir envers les mutants, une violence gratuite qu'il ne comprend pas. Peut-être qu'il devrait mériter le même sort que ceux que Caleb prend plaisir à arrêter. A se demander ce qu'il fout dans son unité. On comprend pourquoi il y a pu avoir autant de débordements. Trop de sympathie envers ces êtres abjects. Seul point positif de ces mutants c'est cette rencontre avec Angel. Le seul qui en vaut le coup dans ce gouvernement destructuré.
A l’écoute des paroles d’Angel il a ce sourire sur le visage. Rare de le voir avec le coin des lips remontées. - Je te l’envoie sans problème et si je peux en profiter pour me joindre à vous pour être celui qui appuie sur la détente, ce serait parfait Ricanements légers, son regard glisse sur le côté intrigué par les mouvements autour d'eux. Serveur en approche, l'homme se tient bien droit sur la banquette. Un merci furtif avant de prendre en main ce à quoi il a pensé toute la fin de journée. - À cette journée ! Pas un mot de plus, chope qu'il porte aux lèvres, grosse gorgée, liquide frais qu'il sent descendre. Un plaisir partagé. chope qu'il pose sur la table, la gardant en main, prêt à recommencer ce mouvement rapidement. - Quand je t'ai croisé tout à l'heure tu avais l'air dans le même état que moi ! tu as fait passé des entretiens c'est ça ? Caleb n'en fait pas passer, il a juste une 'nouvelle recrue' qu'il a formée en express, une infiltrée dans le repaire des criminels de la ville. Confiance faible pour le moment, elle a besoin de faire ses preuves.- complexe de trouver des recrues convenable. terrible désespoir.
(#) Sam 16 Avr - 15:35
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Sourire s’étire légèrement lorsque proposition soumise, rétorque une acceptation spontanée et d’une demande particulière pour être le déclencheur spécifique de déflagration. Ricanement que les capitaines partagent
Alter trinque avec lui. Goulées salvatrices viennent imbiber gosiers assoiffés. Petite expire après gorgée. Acolyte souligne état partagé lorsqu’ils se sont croisés plus tôt. Supposition émise, dans le mile ! Entretiens cauchemardesques. Perte de temps. Complexité soulignée par lippes voisines que de trouver recrues convenables. Avis partagé.
Nouvelle lampée happée à même goulot. Bougre s’ankylose d’idées polluantes. Légère amertume teinte déception ressortissante de ces entretiens. Mirettes ne voient pas encore mouvements fourbes se tramant dans les ombres, focus sur instant présent partagé avec complice.
(#) Jeu 19 Mai - 21:34
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Caleb ricane de ses paroles et serait bien heureux de lui tirer dessus, à plusieurs reprises. L’envie de lui vider un chargeur dessus. Un bon moyen de se défouler. Il sait que ce soldat pourra se plaindre pour acharnement auprès du Lieutenant, il en est capable. Caleb rêve de se retrouver seul avec lui à l’extérieur, hors uniforme et de lui faire comprendre qu’il ne faut pas pousser ses limites. Le Capitaine se tient bien, reste loin des problèmes au sein de son unité mais il ne lui en faudra que peu pour qu’il finisse par déraper. Caleb boit, il en a besoin. Ce ne sera sûrement pas la seule qu’il descendra ce soir. En entendant Angel, le soldat hoche la tête. - plus que flagrant ! Il a cet air désolé sur le visage, lève les yeux au ciel en l’écoutant. Ces nouvelles recrues ne savent plus rien faire. - C’est désolant ! Après il y en a, ils veulent rejoindre les Persécuteurs, juste pour taper du mutant il approche son corps contre la table, son visage vers son ami et ajoute en chuchotant. - je peux les comprendre mais bon.. il soupire et boit une nouvelle gorgée.- ils n’ont aucune formation, ils n'y connaissent rien… moi j’ai dû contacter des anciens de l’armée, proche de NY pour savoir s'ils seraient intéressés car je refuse de me coltiner des bizuts. Bon il n'a pas eu de retour positif pour le moment. Certains ont été trop marqués par la guerre, d'autres ont pris leur retraite et contrairement à ce qu'il aurait cru, certains sont pro mutant. Et vu les noms de sa liste, il ne s'y attendait pas Caleb. Un soupir s’échappe se demandant s'ils arriveront à recruter un peu plus. Peu de Persécuteurs pour un si grand nombre de mutants. Heureusement une grande partie se tient à carreau, tente de vivre normalement. Caleb, il aime partager ses connaissances pour améliorer le potentiel de ses soldats mais il n’est pas là pour les tenir par la main et les relever dès qu’ils tombent. C’est pour ça qu’il aime autant Ysold, car c’est une jeune recrue mais elle a un fort potentiel. Caleb pense à son soldat mort à la manifestation. Une pensée pour lui à chaque fois qu’il voit cette équipe parfois bancale. Le Capitaine pourrait faire une tuerie si un jour quelqu’un s’en prend à sa nouvelle protégée. Il n’a plus de patience Caleb, c’est même dangereux pour ceux qui pourraient être sur son passage. Il s’est perdu il y a longtemps et n’arrive plus à remonter des ténèbres. Il a trouvé l'obscurité, c'est plus dans cette noirceur et a du mal à en sortir, n'en a pas le désir. - Après c'est ça aussi d'être une unité d'élite. sourire se dessine. Lui, il forme principalement au corps à corps. Sniper il faut plus de sang-froid, de contrôle, de précisions. Il ne serait pas capable de rejoindre l'unité de son ami. Chacun son métier. - J'ai peut-être un contact pour toi, tu passeras me voir au camp d'entrainement demain. En parlant un nom lui est revenu en tête. Il n'a pas le numéro sur lui mais l'aura chez lui dans un carnet qu'il a gardé dans sa malle. Longue gorgée prise. Son regard glisse dans la salle, se stoppe sur un petit groupe. Il observe un instant puis repose son regard sur Angel.
(#) Jeu 26 Mai - 11:43
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Désolation que compère partage. Observation communiquée quant aux intentions – certainement légitimées, mais malheureusement uniques – qui motivent candidats persécuteurs. Confidence souligne obligation de contacter relations militaires afin de gonfler les rangs et éviter les bleus. Faudrait que le service de recrutement se bouge un peu plus… qu’il lâche, en réponse. Idée de Caleb inspirante que brun garde au coin de la tête. Peut-être qu’en suivant exemple, il pourrait lui aussi piocher dans anciens taulards afin de promettre de redorer blason s’ils s’activent à traquer le gêne x. Pour certains, mission salutaire inenvisageable. Pour d’autres, certainement solution afin de les extraire d’un guêpier virulent. Magouilles de l’ombre encore encrés au derme malgré situation confortable.
Nouvelle gorgée avant de réceptionner remarque en légère boutade, soulignant l’exigence d’être à pareil poste. Élitisme certain pour unité de tir lorsque comparse s’acharne au corps à corps. Entrainement davantage rigoureux et mission plus dangereuses que les piafs postés sur leurs toits. Conditions physique différentes mais qualités s’avèrent complémentaires. En effet,chacun son taff, chacun ses emmerdes. Néanmoins, complicité efficace sur terrain.
Lampée suivante, allié confie connaissance d’un contacte potentiel pour groupe snipers. Rendez-vous fixé afin de récupéré information.… ça marche. qu’il affirme.
Traqueur voit son ami jeter mires sur groupuscule avant de revenir à duo formé. Bougre ose alors faire part d’une analyse personnelle, d’un ton plus bas... tu les as remarqué aussi ? Y a un truc qui cloche… réplique-t-il, ayant vu tablée dénuée de consommation et aux protagonistes devenus silencieux, tantôt jetant un œil ou l’autre dans leur direction. Faucon use de vision périphérique afin d’observer davantage sans trop se faire repérer. Visiblement, conversation et propos échangés entre persécuteurs ne plaisent guère aux quidams qui décident enfin de clamer mécontentement. Assassin n’eut besoin que d’une fraction de seconde pour renverser table d’un bras et tirer ami au sol de l’autre, protégeant ainsi – un tant soit peu – les alliés en attendant de préparer parade. … putain. La journée n’est pas finie... se plaint-il avec sarcasme ironique sans doute mal venu.
Nouvelle gorgée avant de réceptionner remarque en légère boutade, soulignant l’exigence d’être à pareil poste. Élitisme certain pour unité de tir lorsque comparse s’acharne au corps à corps. Entrainement davantage rigoureux et mission plus dangereuses que les piafs postés sur leurs toits. Conditions physique différentes mais qualités s’avèrent complémentaires. En effet,
Lampée suivante, allié confie connaissance d’un contacte potentiel pour groupe snipers. Rendez-vous fixé afin de récupéré information.
Traqueur voit son ami jeter mires sur groupuscule avant de revenir à duo formé. Bougre ose alors faire part d’une analyse personnelle, d’un ton plus bas.
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