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Not a very funny talk

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Même si tu n’es plus officiellement à la tête de la Triade, tu as pris du recul et tu es plus dans le back-up. Tu fais tout ce qui est administratif, tu n’interviens plus sur le terrain maintenant ayant passé l’âge pour cela. Tu continues quand même tes entrainements chaque jour pour maintenir ta forme malgré les problèmes d’arthrose qui te font souffrir de temps à autre, qui deviennent de plus en plus intense avec l’âge. Pourtant tu n’utilises plus aussi souvent ta mutation maintenant mais c’est tout comme. Tu as souvent recours à la médecine chinoise, naturopathe qui t’aide la majorité du temps, mais tu ne dois pas trop en abuser. Ton corps s’habituera assez rapidement à ces traitements que ça ne fera plus aucun effet. Tu dois apprendre à supporter la douleur et savoir déceler les stades qui sont pires, d’autres pas du tout.

Mais bon, aujourd’hui, c’est toute une autre douleur que tu dois affronter.


Mais tu te dois montrer impassible, fort et surtout ferme dans les règles. Il a été clair qu’elle n’a pas le droit d’être sur New York, de se faire voir par la Triade qui n’hésitera pas à la tuer pour crime d’être la fille d’un traitre.

Tu étais en réunion avec les amis qui venaient directement de Hong Kong quand on t’a annoncé la nouvelle que Leyla a donné une conférence en plein New York et que les recherches ont donné qu’elle y vit depuis un moment. Cette information t’avait exaspéré au plus haut point parce que tu te retrouves malgré tout dans une position assez délicate. Tu t’es promis que tu ne t’en prendrais pas à elle, mais si elle te bloque avec les règles que tu as créé avec son père pour la Triade, tu ne pourras rien faire sur le long terme.

Tu sais bien que tu n’es pas le parrain en or, tout au même titre que tu n’es pas le père en or non plus pour Xialing, tu as toujours eu un souci avec les femmes de ta vie en dehors de Mei qui est une exception. Tu as fait de ton mieux pour apporter ton soutien même si ce n’est pas forcément voulu par la jeune femme, tu t’en fiches de son avis. Elle fait ce qu’elle veut de cet argent, quitte à donner à des associations, ce n’est pas ton problème. Néanmoins, depuis que tu as appris qu’elle est à New York, tu as longuement réfléchi à comment tu peux faire pour qu’elle s’en sorte sans conséquences.

Cependant, tu la connais un minimum, elle serait comme son père, à vouloir camper sur ses positions et à ne pas avoir froid aux yeux. Elle ne voudrait même pas te voir si tu lui demandais, donc tu te dois être malin. Donner un rendez-vous suite à sa conférence pourrait être une bonne idée dans le fond… Tu as donc fait jouer les relations, tu as utilisé une personne ayant de l’influence qui aurait intéressé Leyla. Cela a pris des jours avant que le jour J n’arrive et que tu dois te présenter sur le lieu du rendez-vous à la place de ce-dit érudit. Tu attends tout simplement dans le bureau de l’université, le bureau de ce professeur dont Leyla a rendez-vous. Tu ne sais pas ce qu’il lui a proposé pour l’attirer ici, mais ça semble marcher vu qu’on te prévient qu’elle est entrée dans l’établissement et qu’elle se dirige vers toi. Tu as tes hommes pas loin, c’est vrai, c’est quelque chose qui t’exaspère parce que tu peux être tout seul et gérer tranquillement. Mais non, c’est l’inconvénient d’être devenu quelqu’un de très important. C’est que tu ne peux pas ne pas être protégé. Puis bon, c’est un excellent moyen de dissuasion si jamais Leyla veut sortir une fois qu’elle t’a vu, elle sera bloquée de toute façon.

Et tu avais vu juste dans le fond, car quand tu vois la porte s’ouvrir, il y avait déjà ces hommes-là qui sont sortis de leur cachette pour la dissuader de s’enfuir. « Nous avons à parler Leyla. Assieds-toi. » Que tu dis d’un ton ferme, tu te doutes bien qu’elle a une idée de ce que tu vas dire. Tu lui montres de la main le fauteuil en face de toi, de ton bureau provisoire.

Tu ne te laisses pas impressionner par le fait que c’est la première fois que tu la vois pour de vrai, après toutes ces années et que tu lui parles en vrai. Ni par le côté physique où tu vois ton ami, décédé par la faute des règles que vous avez écrit tous ensemble.

Une chose qu’elle ne pourra jamais comprendre.


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Malmenée lors d'une conférence. Enfin plutôt d'une après-conférence. Peu importe en tout cas, Leyla est bien décidée à ne plus se produire à ce genre d'événement avant un moment. Tout ça à cause d'un foutu gêne. Son gêne notamment. Qui l'a fait se sentir faible face à cet homme insistant. Un vrai mauvais moment, qu'elle préfère oublier. Au moins, le reste ne fut pas un fiasco, et lui a ouvert quelques portes, comme l'écriture d'un article scientifique en collaboration avec un grand chercheur ou encore un rendez-vous pour une proposition de travail avec l'université. Bon, sur ce point, c'est encore assez mystérieux, mais elle compte bien en apprendre plus lors de l'entrevue programmée. Le peu d'informations qu'elle a pu avoir sont alléchantes et intrigantes. Totalement assez pour l'intriguée et la faire venir jusqu'à l'université.

Marchant à travers le campus, Leyla est plongée dans sa pensée, sa musique dans ses oreilles. Un moyen pour elle d'être dans son monde, sa bulle si précieuse. Une méthode comme une autre pour se concentrer sur l'entrevue à venir. Si elle se doutait de ce qui l'attendait d'ici quelques minutes... Elle aurait déjà fait demi-tour... Mais pour le moment, elle est focalisée sur une question dont elle souhaite une réponse. Et elle ne trouve pas comme elle voudrait. Voilà une question qui mérite qu'elle utilise sa mutation, plus tard dans la journée. Chez elle, au calme. Seule et non entourée d'inconnus comme ici, alors qu'elle rejoint le bureau du professeur en biologie moléculaire avec qui elle a rendez-vous.

Envoyée par le secrétaire, la biologiste toque à la porte avant d'entrer, comme on le lui a dit. Pour se figer en voyant la personne présente derrière le bureau. Son sourire disparaît même en une seconde pour une mine fermée. Elle s'apprête même à faire demi-tour, quand elle voit des hommes qui surgissent à la périphérie de son champ de vision pour l'empêcher de fuir. Une colère sourde monte alors en Leyla, qui serre les poings se trouvant le long de son corps, alors que Li Tao, son "parrain", si on peut encore l'appeler ainsi, prend la parole.
Ah ? Ils ont à parler ? Depuis quand ? Et pour se dire quoi ? Quant à s'asseoir, elle n'en a pas vraiment envie en cet instant. Enfin, elle n'en aura jamais envie avec Li Tao. D'ailleurs, pourquoi est-il là aujourd'hui ? Que peut-il lui vouloir ? En tout cas, s'il vient pour cette histoire d'argent qu'il lui verse, contre son gré, il sera bien reçu. A vrai dire, peu importe la raison, il va être reçu.

- Non.

Lâche-t-elle froidement, sans vraiment bouger de là où elle est, restant à bonne distance du bureau... jusqu'à ce que l'un des hommes du mafieux ne la pousse vers le fauteuil, tandis qu'un autre ferme la porte. Super... Il ne va pas l'asseoir non plus ? Peut-être que si, visiblement.

- Sérieusement ? Besoin de faire intervenir un gros bras parce que je refuse de m'asseoir ?

Elle soupire, exaspérée, avant de se laisser tomber dans le fauteuil en face de Li Tao, à regrets, croisant ses mains ensemble, posant un regard assassin sur le vieil homme qui lui fait face. Qu'il aille droit au but, que tout cela prenne fin. Seule chose qu'elle souhaite.

- Qu'est-ce que tu me veux ?

Demande-t-elle d'un ton sec, attendant enfin une réponse digne de cela.


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Non.

Un mot fort simple mais qui pourrait vraiment définir ta relation avec ta filleule. Non pour refuser ton existence en tant que parrain. Non pour refuser le fait que tu aies fait tuer ses parents de sang froid, sans aucun regret et que tu aies choisi les règles de la Triade que les vies qui voulaient juste de la paix. Non pour ne pas se laisser régner par la peur et de ne pas venir sur New York City. Non pour ne pas accepter l’argent que tu lui donnes.

Juste non.

Même ne serait-ce pour s’asseoir. Tu as juste à observer un de tes hommes qui finit par perdre patience et la pousser vers le fauteuil. Est-ce que tu lui fais comprendre qu’elle n’a pas le choix et qu’elle ne peut pas avoir le luxe de dire tout le temps non. Il y aura bien un moment où elle ne sera plus capable de le faire à force. L’homme qui ferme la porte est sorti, à l’extérieur pour vérifier que personne ne viendra les déranger, tandis qu’un autre reste dans le coin de la pièce, se faisant tout discret maintenant.


Tu tournes ton regard vers ta filleule qui continue à vouloir te provoquer à outrance. Elle ne t’a pas connu en vrai, elle te connaît que seulement en étant le meurtrier de ses parents et c’est tout. Tu hausses les sourcils avant de prendre la parole. « Tu préfères être allongée ?  » Parce que cela peut se discuter sans problème. D’autant plus que si tu le faisais toi-même, il y a bien des risques qu’elle se retrouve avec des os cassés et des mois de rééducation, mais tu ne veux pas en arriver là.

Tu espères ne pas en arriver là…

« Sur les un millions de villes dans le monde que tu avais au choix, tu es à New York depuis quatre ans. Je ne sais pas à quoi tu pensais à imaginer que tu nous passerais sous le nez et que tu continues à vivre ainsi.  » Que tu expliques sérieusement, les mains jointes, les doigts entremêlées. « Je te donne un avertissement et tu as 48h pour partir d’ici. » Ou alors, qu’elle devra rester cachée très longtemps, mais tu n’hésiteras pas à signaler sa présence à la Triade qui l’aura dans les registres. Mais cela n’est pas une vie pour Leyla, à moins qu’elle n’aie quelque chose pour contrer tout cela.

Tu es désolé envers Jin, mais tu ne peux pas faire autrement. Tu as les mains liés.

Les règles sont plus importantes que tout.

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Coincée par un garde du corps, poussée par un second vers le fauteuil. La situation lui déplaît à la scientifique, qui rêve que de partir pour ne plus voir l'homme qu'elle ne voulait plus jamais voir. Un homme qu'elle ne peut s'empêcher de défier par la parole, roulant des yeux en entendant sa répartie. Ca ne vaut même pas la peine de faire une réponse. Alors, elle prend place, croise ses mains sur ses genoux, regarde avec des yeux assassins Li Tao, avant de lui demander ce qu'il lui veut. Parce qu'il n'est pas là par hasard. Il ne s'est pas arrangé pour la piéger par hasard. Un beau piège ceci dit, car elle y a plongé la tête première.

La réponse qui lui vient du chef de la Triade la fait doucement sourire. Elle n'est pas venue à New York pour le défier, mais pour travailler. La menace, elle s'en fichait dès le départ. Quant à vivre sans être démasquée par la bande de son parrain, ça a fonctionné, jusqu'à aujourd'hui. Elle a vécu sous leur nez, tranquillement, sans demander son reste, sans que personne ne s'en rende compte. Quatre ans qu'elle ne va pas mettre à la poubelle pour un avertissement. Pour une vendetta qui ne la concerne pas, dont elle n'est qu'une victime. Aller trop loin pour des idéaux, ce n'est jamais bon. Et de toute façon, il compte sérieusement à ce qu'elle abandonne sa vie, du jour au lendemain, pour lui ? Ca... jamais.

- Non.

Elle a l'impression d'avoir rembobiner le film en prononçant ce mot, à nouveau. Non, elle ne partirai pas de New York. Elle a sa vie ici, un boulot qu'elle aime, et pour rien au monde elle ne partirait. Pas même pour une menace.

- Personne ne sait qui je suis, en dehors de toi. Je ne suis que la fille adoptée d'un gentil couple californien, les Gardner, une simple biologiste moléculaire qui vit sa vie. Personne n'a de raison à s'intéresser à moi. Preuve en est: cela fait quatre ans que je suis là, et jusqu'à aujourd'hui, tu ne l'as pas su. Alors non je ne vais pas partir.

Elle ne sait d'où sort le sang froid dont elle fait preuve, enfin extérieurement parlant, car à l'intérieur son coeur tambourine à tout rompre. Et elle sent ses mains devenir moites. Pourtant, elle reste de marbre face à la menace insidieuse, allant jusqu'à se redresser sur son fauteuil et croiser ses jambes, pour mieux reprendre la parole.

- Et si ça te déplaît, finis donc le travail, car je ne partirai pas. Tu as déjà détruit ma vie, alors un peu plus, je ne suis plus à ça près. Et ai le courage de le faire toi-même cette fois..

D'où lui vient cet air de défi ? Elle ne sait pas, et elle a l'impression que son coeur va exploser tellement il bat vite. Mais en cet instant, elle pense à ses parents, victimes d'une vendetta débile et sans nom à ses yeux, qui l'a détruite oui. Petite fille orpheline, abandonnée par la suite par son oncle, dépassée par la petite Leyla. Choc si terrible qu'elle a mis des années à s'en remettre. Encore aujourd'hui, y penser est difficile. Et tous les malheurs de sa vie ne sont dûes qu'à une personne: Li Tao. Alors ses règles, elle s'en fout.



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Tw: menaces (ça aura pas duré longtemps)

Encore un non.
Tu vois maintenant l’absence de l’éducation et tu en es responsable certes, mais ce n’est pas ton problème dans le fond. Elle devait savoir qu’il ne faut pas plaisanter avec toi, encore moins avec la Triade. Tu ne peux pas fermer les yeux sur la présence de la jeune femme, que tu n’avais pas su pendant quatre ans tout ça à cause d’un jeune membre qui ne méritait pas d’être parmi vous, dans vos rangs. Mais c’est un problème qui se retrouve réglé. Cela ne la regarde pas malgré tout.

À l’entendre parler ainsi, tu as l’impression de voir Jin à travers elle et pourtant, tu fais de ton mieux pour que ça ne te perturbe pas. Cela fonctionne sur le moment, mais c’est sûr que tu vas te retrouver à boire du thé, assez contrarié et que tu en parlerais à Mei. Tu n’y penses pas plus que ça, que tu dois te concentrer sur le moment présent. Tu serres les doigts entre eux, c’est sûr. Parce que tu te retiens de te lever pour lui attraper le visage et lui faire comprendre que ce n’est pas un jeu tout ça. Sauf que ça montrerait que tu ne comprendrais pas qu’elle s’en fiche tout simplement. Qu’elle n’a rien à perdre. « C’est comme ça que tu vois la vie, que tu estimes la valeur de celle-ci ? Quelle déception… » Que tu finis par dire, montrant bien que tu es déçu dans le fond de cette répartie de la jeune femme. Jin, tu n’as pas de quoi être fier pour ta fille là…

Tu ne t’affales pas contre ton fauteuil, c’est sûr. Ce serait donner signe de faiblesse et malgré ton âge, tu ne l’es pas.Tu restes droit, tu ne la quittes pas du regard. « Comme tout le monde, tu prends la menace à la légère et ce n’est pas parce que tu es la fille d’un des fondateurs de la Triade que tu es protégée. Tu as réussi à nous passer sous le nez pendant quatre ans, et puis quoi ? Ça ne change rien au fait que si tu ne pars pas dans les 48h, les conséquences seront réelles que tu ne seras pas sur le fauteuil à me dire non. Ce sera trop tard pour ça. » Tu l’ignores sur sa remarque que tu devrais terminer le travail. C’est sûr que tu le feras par toi-même, en lui brisant les os un par un s’il faut. Tu pourrais même l’handicaper à vie et la laisser continuer à vivre de ce qui ne serait pas une vie pour elle. Il est vrai que tu es toujours en colère contre Jin qui a cru bon de pouvoir être l’exception des règles, et il l’a transmis à sa fille. « Tu n’aimerais pas croiser mon chemin et n’essaye pas de vouloir connaître la possibilité de détruire encore plus ta vie. » Tout comme tu n’aimerais pas croiser le sien non plus. Mais ce n’est qu’un détail qui te demandera toute la force qu’il faut dans ton caractère. Tu as fait bien pire Tao.


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Non. Elle n'utilise que rarement ce mot, Leyla, mais aujourd'hui, elle sent qu'il va être son maître mot, dans cette entrevue qu'elle n'a pas souhaité. Et dont elle souhaite voir la fin arriver au plus vite, encore plus quand Li Tao la menace. Pourquoi ne peut-il pas juste l'ignorer ? Comme avant ? Ils n'ont aucun lien, ils ne se parlent pas, ne se voient pas, alors en quoi le fait qu'elle vive ici, à New York, et si dérangeant ? Vraiment, les règles d'un autre temps, cela dépasse son esprit supérieur. Le tout, mêlé à cette colère qu'elle garde en elle depuis toujours. Une colère mêlée à une peine immense. S'il titille un peu trop un certain point, celui en lien avec ses parents, elle a peur de craquer Leyla. Tout ce qu'elle ne veut pas. Pas devant lui. Jamais devant lui.
Refoulant cette pensée, la Gardner reprend la parole pour affirmer que personne ne sait qu'elle ici, en dehors de son parrain visiblement, argumentant que cela lui permettait entre autre de rester. Et au pire, si cela lui déplaît, il n'a qu'à finir le travail loupé, il y a toutes ses années. Car elle sait qu'elle aurait dû mourir, comme ses parents. Echec cuisant, pourtant, on l'a laissé vivre. Coup du sort ? Peut-être. Un peu comme cette air de défi qu'elle a, et qu'elle garde.

- Tu ne sais rien de comment je vois la vie. Tu ne sais pas par quoi je suis passée. Tu ne me connais pas.

Lâche-t-elle, cinglante. Oui, il ne sait rien, alors qu'il se taise. Elle se fiche qu'il soit déçu, ce qu'elle peut lire sur son visage. Sa vie est marquée par ce qu'il a fait à celle-ci, il y a vingt ans, alors bon... Quant à la menace, elle ne la prend pas à la légère, mais elle ne veut pas qu'on lui dicte sa vie. Les mots de Li Tao lui font juste hausser sur les épaules. Il ne lui fait pas peur, étrangement, alors qu'elle sait qu'elle devrait. Elle n'est pas inconsciente, elle sait qu'il est sérieux. Mais non, elle ne partirait pas. Hors de question qu'elle craque. Encore plus quand elle entend la nouvelle menace.

- Il est vrai que je n'aimerai pas croiser ton chemin. Mais comme je n'ai pas eu le choix, aujourd'hui, je crois qu'on se fiche de ce que j'aimerai ou non.

Souffle-t-elle en fixant Li Tao, toujours aussi résolue. Elle laisse planer un silence pendant quelques secondes, avant de reprendre.

- Mais je le répète: non. Non, je ne partirai pas, peu importe tes menaces. Je n'abandonnerai pas la vie que je me suis construite et qui me rend une heureuse. Moi aussi, j'ai droit à du bonheur. Alors, je ne me mêle pas de vous, ne vous occupez pas de moi, encore plus s'il n'y a que toi qui sait pour ma présence ici. Oubliez moi. Oublies moi, définitivement. Et tout ira pour le mieux.

Elle ponctue sa phrase d'un petit sourire qu'elle veut malicieux, mais qui fait plus coincée qu'autre chose. En tout cas, elle ne lâchera pas: non, elle ne partirai pas, peu importe les menaces, peu importe ce qui l'attend. Elle ne veut pas vivre dans la peur d'une organisation avec laquelle elle n'a jamais eu aucun lien et qu'elle ne veut pas approcher le moins du monde.

- Oh, et, vu que tu me menaces et souhaites ma mort visiblement, surtout si je reste chez moi, arrêtes de me verser de l'argent comme tu le fais. Tes paroles et tes gestes ne vont pas ensemble.

Sa main s'agite en même temps qu'elle parle, sans qu'elle ne la contrôle vraiment. Mais les gestes accompagnent les mots et lui permettent de calmer le feu qui la dévore à l'intérieur. Vraiment, elle ne sait pas du tout d'où lui vient cette force de répondant à un homme qu'elle sait dangereux.


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Tu n’hésites pas à reprendre la parole, coupant ainsi l’herbe sous le pied de Leyla. Tu t’en fiches, mais tu aimerais bien que les choses soient claires: « Je n’en ai rien à faire que je sache ou non de ta vie. Tout ce que je vois en ce moment, c’est que tu ne reconnais pas la valeur de celle-ci. » Tu sais quelques trucs par ici et par là sur sa vie, mais sans plus parce que tu n’as pas envie de t’intéresser et de prendre le risque de t’y attacher malgré tout. De te faire manger par les regrets.

Les regrets, tu en auras Tao. Tu les as maintenant: pourquoi tu ne l’as pas tuée si c’est pour être aussi insolente avec toi ? Tu peux le régler là maintenant, tout de suite mais tu es trop exposé dans cette université. Le meurtre ne pourra pas se faire aussi aisément que ça. Tout comme la faire partir sans causer de problème ne sera pas une mince affaire.

Tu as l’habitude des personnes aux grandes bouches, mais étrangement la majorité d’entre elles se retrouvent à l’avoir fermée au final. Tu l’entends dire non encore et encore, mais tu répèteras autant qu’il le faudra à cet entretien forcé qu’elle doit partir. Qu’elle ne vienne pas te dire que tu ne l’as pas prévenue du tout. Elle fait une femme, mais en réalité, il fait face à une petite fille qui veut juste vivre et qu’on la laisse tranquille mais qui ne comprend pas que pour que ça se fasse: qu’elle aille dans une autre ville.

Au moins, tu peut être content qu’elle soit au courant des transactions, peu importe ce qu’elle en fait. Tu lui donnes un conseil non sollicité. « Tu en auras besoin de cet argent que tu le veuilles ou non.» Pour les soins à venir, les frais d’hospitalisation, mais tu te retiens de le dire, puis tu ne doutes pas de son intelligence à savoir quoi en faire. Elle a quand même besoin de quelques pistes au cas où. Encore une fois, tu te permets d’un conseil non sollicité. «Profite-en de cet argent pour déménager, tu n’as aucune excuse de me dire que tu n’as aucun moyen et il est facile de refaire une vie ailleurs. Le bonheur n’est pas une place, ni les amis. Il faut s’en donner les moyens que tu refuses de toute évidence. » Tu finis par te lever de ton siège et tu fais le tour, la main sur ton poignet comme étant une posture naturelle. Tu ne te retiens pas du tout de vouloir la frapper au contraire. Tu t’appuies contre la table du bureau, à côté d’elle, tout en regardant devant toi, voire vers le gardien. « Si tu restes dans cette ville, je te conseille de faire attention à tout ce qui t’entoure. À ce que tu manges, ce que tu bois. À qui tu parles. À où est-ce que tu marches. Maintenant que nous savons qui tu es et où est-ce que tu te caches, à quoi tu ressembles, tu ne peux plus nous passer entre les mailles du filet. Tu ne dois jamais baisser ta garde et tu peux dire adieu à tout ce que tu as pu construire de ce que tu appelles une vie. »

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Cinglante, Leyla ne peut retenir une remarque quand l'homme face à elle parle de la valeur de la vie. Il ne sait rien d'elle. Il ignore tout de qui elle est, parce qu'il a fait de mauvais choix. Elle y a souvent pensé, mais et s'il n'avait pas fait tuer son meilleur ami ? Il l'aurait vu grandir, et il saurait presque tout d'elle. Et surtout, la Gardner n'aurait pas perdu ses parents, elle serait toujours avec eux. Sa vie n'aurait pas été aussi compliquée qu'elle l'a été, et elle n'aurait pas tous ses traumatismes. Un instant, ses paupières se ferment tandis qu'elle pense à ça, après avoir clamé à celui qui est, à son grand regret, son parrain, qu'il ne sait rien d'elle. Qu'il ne la connaît pas. Et le voilà qui affirme qu'il s'en fiche. Elle ne sait pourquoi, mais cela lui donne un petit sourire narquois... Elle en doute un peu, mais bon. Car s'il se fiche vraiment d'elle, pourquoi lui verse-t-il de l'argent ? Pourquoi est-il là même ? Pour la prévenir ? Quand on se fiche de quelqu'un, on a aucun remord à le tuer, s'il ne respecte pas les règles, comme elle visiblement. Oh non, il ne s'en fiche pas.

- Détrompe toi, Li Tao, je sais plus que toi quelle est la valeur de la vie. Je ne tue pas, ni ne fais tuer des gens à tout va parce qu'ils ne vont pas dans mon sens, moi. C'est toi qui ignore la valeur de la vie.

Rétorque-t-elle, s'arrêtant une courte seconde pour faire son petit effet, avant de reprendre. Elle se retient de dire plus, de dire qu'il ignore même ce qu'est l'amour. Mais elle le pense très fort en cet instant.

- Et si tu te fiche vraiment de ma vie, tu ne serais pas là aujourd'hui. Je serai déjà morte. Tu le sais.

Ces quelques phrases, elle les a soufflé, de manière à ce qu'il soit le seul à les entendre. Elle s'est même penchée un peu en avant pour faire son petit effet, avant de se redresser, droite, dans son fauteuil. Nouveau silence, avant qu'elle ne reprenne la parole, pour une nouvelle tirade, dans laquelle elle affirme que non, elle ne partirai pas. Et ça, elle n'en démordra pas. Car il y a des failles, elle le sait. Elle est toujours en vie, malgré les années, et il lui envoie de l'argent, c'est bien la preuve qu'il ne veut pas sa mort, sinon elle ne serait plus là depuis bien longtemps. Il tient juste son rôle. Pour ça, elle l'admire, elle doit le reconnaître. Mais non, elle ne partira pas de New York. Si elle doit mourir, c'est que son heure est venue. Fataliste Leyla ? Certainement. La vie qui l'a rendu ainsi.

- Je préfère mourir que de toucher à cet argent sale. Que tu me verses pour te déculpabiliser.

Acerbe, elle jette un regard noir au chinois. Oui, jamais elle ne toucherait à cet argent fait sur le dos de nombreux morts. Des pauvres gens comme ses parents, qui n'ont rien demandé. De l'argent qu'elle ne veut pas, et qu'elle donne à des associations. Eux, ils en ont besoin et pour faire le bien en plus. Une forme de pied de nez à de l'argent gagné en faisant du mal.

- Mais je ne veux pas refaire ma vie ailleurs, tu le comprends, ça ? J'ai déjà refait ma vie de nombreuses fois, je ne veux plus. Ici, je suis chez moi, que tu le veuilles ou non.

Souffle-t-elle, laissant entrevoir une faille en elle: celle de l'abandon, celle d'une vie qui a recommencé à de trop nombreuses reprises. Traumatisme bien ancré au fond d'elle, visible dans ses iris, alors qu'elle fixe son parrain se lever pour venir s'appuyer contre le bureau, juste à côté d'elle. Une proximité qu'ils n'ont plus connu depuis des années, et qui la fait frissonner. Elle ne rêve que de fuir en cet instant, et en même temps, elle ne veut pas être la première à céder. Encore moins en entendant les menaces qui franchissent les lèvres de Li Tao. S'approcher pour mieux menacer. Cela pourrait presque la faire sourire.

- Des menaces, toujours des menaces. Mais je ne bougerai pas. Je ne plierai pas à tes ordres comme un pauvre soufif. Je ne partirai pas, point. Ce n'est pas à toi de décider pour moi. Sache de ton côté que je suis plus intelligente que tu ne le penses, je ne suis pas une pauvre fille en détresse, alors méfie-toi de ce que tu pourrais tenter contre moi.

Elle sait être vigilante. Et au besoin, elle saurait à qui faire appel.

- Je n'ai jamais été une menace pour toi, et il n'a jamais été question que je le devienne. Tu fais de moi une menace sans raison.



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C’est la meilleure qu’on te dise que tu ne connais pas la valeur de la vie. Toi qui a passé toute ta vie à enlever la vie des gens, à vouloir t’imposer dans ce système qui n’était pas fait pour toi, tu l’as modelé à de façon que ce soit pour tout le monde. Le monde ainsi que tu vois. Tu trouves que la vision de Leyla est trop limitée, elle ne peut pas comprendre n’ayant pas vécu sa vie comme la tienne. «  Encore une fois, tu ne reconnais pas la valeur de la vie. Tu ne sais pas encore juger laquelle vaut la peine qu’elle soit épargnée ou une autre qui doit s’arrêter là. Je ne tue pas pour le plaisir. Je tue quand c’est nécessaire et tu rends ta mort nécessaire à t’obstiner ainsi. » Tu tues quand il le faut et tu crois au destin, les personnes qui perdent leur vie devaient s’arrêter là tout simplement parce que c’était voulu par la force supérieure à laquelle tu crois. «  Et je t’ai épargnée grâce à ton père qui a rendu grand service à la Triade et ça ne va pas s’appliquer une seconde fois. » Ajoutes-tu, sans avoir peur de dire les choses à voix haute. Si quelqu’un a un problème avec toi, qu’il te le dise en face et vous pouvez régler à votre façon le désaccord. Ce n’est que par principe que tu as épargné sa vie et que tu donnes cette fausse sensation qu’elle peut être épargnée à nouveau. Elle ne peut pas faire sa maligne aussi longtemps qu’elle le voudra.

Ce sont des principes, c’est tout. Les principes et l’honneur à l’ancienne comme les jeunes aiment dire. C’est vrai que tu viens d’un autre temps où internet n’existait pas et que les moyens bien drastiques existent. Maintenant, tout peut être exposé sur l’internet, ce fléau que tu maudis autant que tu l’admires. Tu restes toujours impassible et tu l’observes droit dans les yeux, tu peux comprendre qu’elle ne veuille pas toucher l’argent et ce sont des positions qu’elle ne pourra pas toujours tenir. Un jour ou l’autre, elle sera obligée de toucher cet argent, qu’elle le veuille ou non. Tu l’obligeras pour ça.

Tu comprends qu’elle ne veut pas refaire sa vie ailleurs, mais tu t’en fiches. Elle ne peut pas faire sa vie ici et qu’elle ne joue pas les étonnées quand les conséquences d’une telle décision lui tombera dessus. «  Tu n’es chez toi nulle part Leyla. Ce n’est pas un lieu qui définit ta maison. Ce n’est qu’un détail et habituée que tu es à refaire ta vie dans des endroits différents. Tu devrais reconnaître l’excellent endroit pour le faire mais à croire qu’encore une fois, tu ne sembles pas en être capable. » Tu te rapproches d’elle pour mieux la menacer, n’oubliant pas la promesse que tu t’es faite à toi-même de ne pas la toucher à ce premier entretien. «  Oh, je me doute bien de ton intelligence pour avoir réussi à nous passer sous le nez pendant quatre ans, je le reconnais mais ne crois pas que ça va toujours te sauver. L’intelligence seule ne te donne pas le pouvoir. » Non, il y a aussi les actions, le relationnel. Et elle essaye d’avancer l’argument du fait qu’elle n’a jamais été une menace pour toi. C’est vrai, mais ce n’est pas de toi qu’il s’agit… «  Tu es une menace pour la Triade. Pas pour moi. » Que tu corriges tout simplement. Elle est une menace pour les règles que tu as mis tant de temps à construire, à faire respecter sans faire d’exception. Tu as tout fait pour construire un empire et rien que l’existence de Leyla peut chambouler tout ça.

Et tu ne laisseras pas ça arriver.

Tu finis par te relever et tu marches, quittant ainsi le champ de vision de Leyla. «  À la prochaine Park Min.» Que tu dis comme si vous alliez vous revoir. Car il est sûr que la prochaine fois que vous vous voyez, vous allez pas vous retrouver à boire du thé. Tu tenteras de terminer le boulot par toi-même.


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La valeur de la vie. Leyla en la connaît mieux que ne le pense Li Tao. Mieux que lui ne la connaît, peu importe ce qu'il prétend, ce qui fait sourire narquoisement la jeune femme qui hausse les épaules en l'entendant à nouveau dire qu'il n'y connaît rien. Erreur. Mais il veut avoir raison, et elle ne veut pas rentrer dans son petit jeu futile.

- Non, tu ne tues pas quand c'est nécessaire. Quand on tue quand c'est nécessaire c'est parce qu'en face il y a menace ou danger imminent, comme un meurtrier et non une pauvre fille qui ne te cause aucun problème et ne se soucie pas de toi. Ou des parents qui veulent s'occuper de leur fille. Toi tu tues par plaisir ou parce que ça ne va pas dans le sens de Monsieur.

Est-ce qu'elle y va fort ? Oui. Mais ça lui fait du bien de dire ça, de cracher cette vérité qu'il semble avoir occulté. Et une manière pour elle d'extérioriser sa culpabilité. Cette culpabilité qui la ronge depuis que son oncle lui a dit que c'est pour elle que ses parents ont choisi de quitter la Triade. Juste pour elle.

- "Rendu grand service". Waouh... Génial comment tu qualifies la vie de ton meilleur ami. De mon père.

Souffle-t-elle dans un premier en secouant la tête.

- Et la seule raison qui explique j'ai été épargnée comme tu dis, c'est que je n'étais pas dans cette foutue voiture. Mais rassure-toi, moi aussi je regrette cela.

Combien de fois a-t-elle voulu être dans la même voiture que ses parents ? Elle ne sait pas, mais de nombreuses. Bien trop nombreuses. Surtout dans les moments où elle a été au plus bas. Et ils ont été nombreux. A cause de Li Tao. Mais lui dire ne sert à rien, il n'aurait aucun remord. Elle le sait. Détruire des vies innocentes, ça ne le touche pas.
Mais aujourd'hui, ses menaces ne la touche pas elle. Il est hors de question qu'elle déménage et qu'elle refasse sa vie ailleurs. Elle ne veut pas, et elle ne changera pas d'avis. S'il en vient à la supprimer, et bien, soit, ça sera son destin. Sa vie est à New York, et ça ne changera pas, malgré les menaces. Plus têtue qu'on ne le pense la Gardner, et elle tente de lui faire comprendre, à sa manière. Mais à nouveau, il pense avoir la réponse à la chose. Les yeux de Ley' roule vers le ciel.

- Tu ne sais pas ce qui définit une maison, Li Tao.

Rétorque-t-elle simplement, alors qu'il se rapproche d'elle, pour la menacer. Et là, elle sourit à nouveau. Oh ça non, il ne se doute pas de son intelligence. Il ignore tout de son intelligence, même si peut-être que son père a pu parler de l'intelligence de sa très jeune fille à l'époque. Depuis, elle a découvert sa mutation. Alors si, l'intelligence seule lui donne un pouvoir, peu importe ce qu'il en pense.

- Non, je suis une menace pour toi. Car je sais qui tu es.

Dit-elle quelques instants plus tard, insistant sur sa dernière phrase. Pour la Triade, elle n'est rien et personne, surtout qu'elle ne se soucie pas d'eux. Pour Li Tao, c'est autre chose. Elle connaît son rôle, sa position dans cette organisation. Et son visage. C'est donc pour lui qu'elle est une menace, et personne d'autre.
Heureusement, la conversation ne s'éternise pas, et voilà Li Tao qui se redresse pour partir. La jeune femme laisse échapper une léger souffle soulagé à l'idée qu'il s'en aille, non sans rester méfiante car qui sait ce qu'il peut faire dans son dos ? Mais non, il part bien, la saluant, l'appelant par un nom qui fait lever les yeux de la scientifique. Park Min. Personne ne l'a jamais appelé ainsi. Mais il fait ça pour lui rappeler ses origines, et qu'il en sait beaucoup sur elle.

- Leyla Min Park Gardner.

Reprend-elle Li Tao sur un ton de défi, sans le regarder partir, attendant qu'il sorte en compagnie de ses sbires, tout en évitant de relever le "à la prochaine". Oui, à la prochaine, pas de soucis, elle l'attend. En attendant, quand il a enfin quitter le bureau, ses nerfs lâchent, et la jeune femme se retrouve à trembler de la tête au pied, avant de laisser couler quelques larmes, éreintée par cette rencontre inopportune, mais terminée, heureusement.

FIN coeur


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