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one day i will kill you (edward)

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> one day i will kill you
@Edward Trask

Tu ramènes une nouvelle capture en enfer sans ressentir la moindre empathie face à sa détresse évidente. Parce que tu considères la tienne bien plus importante. Faut dire qu'il vient seulement d’arriver dans le royaume d’Hadès, toi tu as pratiquement grandi entre ses murs alors forcément tu remportes la partie et comme Perséphone avant toi, tu ne perds pas espoir de t’échapper définitivement. En attendant de retrouver ta précieuse liberté, tu ne t’attardes pas dans le couloir de la Division M. A vrai dire, tu te hâtes de retourner au loft de Darius pour oublier ta misère sempiternelle. Grâce au subterfuge mis en place, tu peux aller et venir dans votre repaire, du moment que tu continues de fournir des miettes utiles à Trask. Néanmoins, tu ignores combien de temps tu vas pouvoir prolonger le subterfuge. Ton superviseur te réclame des informations de plus en plus importantes et tu es incapable de les donner sans compromette la sécurité de Dracula. C'est déjà un miracle qu'il ignore encore sa véritable identité à ce stade.

T'es sur le chemin du départ quand tu entends ce sifflement te percuter de plein fouet. Ce sifflement qui te crispe de la tête aux pieds. Edward Trask est en approche, tu aperçois sa silhouette quelques secondes après avoir reconnu la terrible symphonie de son arrivée. Tu l'évites autant que possible parce que s'il y a bien quelqu'un qui te donne des envies de meurtre, c'est lui et s'il y a bien quelqu'un qui peut te tuer d'un clic, c'est lui aussi. Instinctivement, tu te mets à soupirer alors qu'il n'a pas encore prononcé un seul mot mais le voir suffit à t'hérisser les poils. Et dire que ce connard est un mutant te fait grincer des dents. Pas étonnant que tu ne ressentes aucune sorte de connexion avec ceux de ton espèce quand tu dois te coltiner des monstres pareils à longueur de temps. A coté de lui, t'es un enfant de coeur et pourtant, t'as une quantité astronomique de sang sur tes mains. Comme quoi, tout est relatif dans la vie, ça dépend du point de vue adopté.

Tu le regardes de la tête aux pieds avant de te lancer dans une bataille perdue d'avance. « Oh laissez-moi deviner, je vous manque à ce point hein ? » Si tu devais chercher la définition de salopard dans le dictionnaire, y'aurait sans aucun doute la photo de ce gars collée avec son nom inscrit en gras et des rayures un peu partout. Tu ignores ce qu'il te veut, votre dernière entrevue ne s'est pas exactement déroulée de façon sereine. Peut-être parce que tu avais éliminé deux de ses agents de service ? Ouais bah les visites de contrôle ayant pour but de te fliquer, t'apprécies guère alors que t'as déjà une puce greffée dans ta nuque. Puis t'as du mal à garder ton calme quand tu te trouves en compagnie de Darius, encore plus avec son gene X copié, éveillant en toi une soif insatiable. Et bien évidemment, tu t'es gardée de partager ces détails avec sa majesté des enfoirés. « C'est marrant, vous me manquez jamais vous Eddie, ça doit être votre eau de toilette je suis une ordure. » C'est à se demander si tu tiens à la vie Amalia.  
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> one day i will kill you
@Amalia Hoxha TW possible : manipulation, torture

Des mots secs et tranchants. Le directeur ne cache pas son affreuse humeur ce jour. Des miettes. Il l'avait connue plus généreuse avec ses trouvailles. La mutante, il pensait la retenir longtemps. Elle avait besoin d'eux, besoin de se nourrir, à tout moment il pouvait donner l'ordre, elle lui était encore trop utile pour le faire maintenant. Il en a l'impression galvanisante, celle du manipulateur qui n'avait aucun besoin de douter. Elle n'a personne d'autre que Trask. Assis dans son fauteuil, il renvoi sa secrétaire à ses tâches quotidiennes après qu'elle lui ai donné les rendez-vous du jour. Elle glisse un message sur une feuille pliée, deux seules lettres sur une page blanche, énigmatique pour la plupart des gens. Lui il sait qu'elle est là. On le tiens au courant dès qu'elle arrive pour s'assurer qu'elle revient toujours.

Elle, il ne veux pas perdre ce qu'elle apporte. Fascinante et dangereuse créature, arme douée de sa propre conscience, plus dangereuse que tous les mutants qui se trouvent dans leurs cellules. Elle qui sait. Devenue sa plus grande faiblesse dès qu'elle a toucher sa peau, dès qu'elle s'est nourrie de son pouvoir, dès qu'elle à su qu'ils avaient une chose en commun, un gène. Il annonce à sa secrétaire son indisponibilité dans l'heure qui suit. D'un pas assuré, il quitte sa tour d'ivoire pour se rendre là ou les secrets doivent rester. Il ignore les gens sur son passage qui ne savent pas encore de qu'elle humeur il se trouve, d'un revers de main, il les fait taire et les ignore. Elle ne l'apprécie pas, il le sait, il s'en moque. Cette femme là, elle ne l'intéresse pas, elle pourrait être un homme ou n'avoir aucune de ces deux étiquettes, elle pourrait être n'importe qui, seul compte ce qu'elle sait, seul compte ce qu'elle ramène, seul compte ce qu'elle peut faire. Dès son arrivée dans la division M, on lui indique sa dernière position connue et il s'y hâte. Son corbeau est revenu, Hugin est rentré.

Il siffle son arrogance lorsqu'il découvre la chevelure blonde de la femme. Il claque les talons sur le sol, le pas régulier se rapproche. Il s'arrête à sa hauteur, il n'est pas d'humeur à sourire. Ils ne s'aiment pas, ils s'utilisent. Utiles l'un à l'autre. Fragile équilibre qu'il ne peux pas perdre.
« Oh laissez-moi deviner, je vous manque à ce point hein ? »
‟ Ne pas avoir de vos nouvelles ne me plaît pas mais pas à ce point. Vous surhéstimez l’intérêt que je vous porte. Vous ne comptiez pas partir si vite avec les miettes que vous apportez en ce moment? ”

La chimère est coûteuse. Elle lui fait perdre de la main d'oeuvre, ne se laisse pas aussi facilement surveillée. Il n'aime pas cette liberté qu'elle prends, ses petits airs de femme libre. Elle ne l'est pas à ses yeux. Elle n'est qu'une chimère, une arme, une infinie de possibilité, qui pense pouvoir lui échapper. Edward reste immobile. La bave de la chimère n'atteint pas l'aigle n'est-ce pas?

« C'est marrant, vous me manquez jamais vous Eddie, ça doit être votre eau de toilette je suis une ordure. »
‟ Vous êtes si peut présente que j'en oublie presque votre insolence dès que vous quittez ces lieux. Mademoiselle Hoxha. Hélas vous faites un tel raffut dès que vous arrivez qu'il m'est impossible de totalement vous oublier.”

Il avance vers elle, épaules en arrière, torse bombé pour se faire plus grand, plus menaçant.
‟ Vous vous trompez, mon eau de toilette aujourd'hui, c'est ma patience à ses limites. Dois-je vous rappeler que j'attends un peut plus que de simples miettes venant de vous? Vous me devez bien plus que cela.”

Il n'en faudrait pas beaucoup pour qu'il perde patience. C'est Lui le maitre du jeu, lui qui contrôle la puce, lui qui à le pouvoir. Il compte bien le garder, il veut le garder, à n'importe quel prix.
Il la retiendrait pour ne pas qu'elle s'échappe, il punirait ses tentatives de se défaire de ce lien qu'il contrôlait.
Ou du moins, en avait il l'impression.

" Avez-vous les informations que j'attends?"

[/quote]
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> one day i will kill you
@Edward Trask

Pour une fois, vous êtes sur la même longueur d’onde avec Edward. Mauvaise humeur commune, frustration délétère partagée, une envie de plus. Plus de liberté pour toi, plus de pouvoir pour lui. Aucun sourire ne se dessine sur ses traits autoritaires, au contraire, il semble déterminé à te polluer de sa lugubre aura. « C’est exactement ce que je comptais faire. » C’est exactement ce qu’il ne te laissera pas faire. Faut croire qu’il s’ennuie furieusement à trouver le temps de sillonner la division M. Y’a pas une réunion qui l’attend ? Un client prévu ? Une torture mise sur pause ? Hormis la tienne évidemment. Tu prends ton mal en patience, croisant tes bras sur ta poitrine alors qu’il souligne ton manque flagrant de respect à son égard. Certainement peu habituée à ce genre de considération. Tout le monde se plie en quatre pour lui, à la limite de lécher ses bottes parce que Monsieur Trask détient la vie de chacun dans sa main. Même le personnel lambda.

Tu arques un sourcil, prête à te ruer sur l’aigle avec la hargne qui te caractérise tant quand ton bon sens te signale que le vent tourne. Par conséquent, tu contiens ton venin dans ton gosier malgré l’envie furibonde de faire claquer ta langue sur ton palais. T’es effectivement peu présente au sein des locaux car il te file un nombre incalculable de missions inutiles du genre ramener encore de nouveaux mutants et ce, dans l’unique but de remplir sa prison de l’horreur. Quand est-ce que cette mascarade prendra fin ? « Je suis sur le coup. » Voilà ton excuse, ton argument. La carotte lancée en direction de l’âne pour gagner du temps mais combien t’en reste-t-il avant d’épuiser totalement la limite d’Edward ? Tu l’ignores, espères que sa patience tienne suffisamment même si ton instinct t’incite à considérer que tu te rapproches dangereusement du vide. Et tu te demandes si tu le verras venir, le moment où il te poussera de la falaise. Celui que tu redoutes.

Par instinct de survie, tu te montres un peu plus docile, un peu plus soumise. Prétendue bonne foi pour calmer l'ardeur du chien désespéré de récupérer un os. « James va pas me filer ses meilleurs plans en un claquement de doigts. » C’est surtout que le prétendu couturier te file exclusivement des informations faciles à obtenir, sans véritables dommages. « Je pourrais obtenir davantage si vous me libériez de certaines obligations. » En d’autres termes : ton boulot ici. Oh ouais, tu en rêves. De pouvoir passer plus de temps avec Dracula, loin de cette usine cauchemardesque qui te file des sueurs froides et des traumatismes à proffusion. Tu ne le montres peut-être pas, surtout pas en présence du nuisible qui rode dans les parages mais t'as des angoisses rien que de mettre un pied dans le bâtiment. La peur au ventre de pas en ressortir, de finir sur une de ses tables d'opération, de jamais revoir le visage de Darius. De mourir avant d'avoir vécu.
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> one day i will kill you
@Amalia Hoxha TW possible : manipulation, torture, violence verbale et physique

Les miettes ne comblent pas la faim. Elles ne servent que d'apéritif et le repas se fait désiré. Le directeur veut des informations. Ce qu'elle lui donne est bien trop infime pour le contenter. ‟ Trop vague” Réponds l'homme. Excuse qui ne tient pas. Edward n'aime pas les excuses. Elles sont une perte de temps, il préfère l'action, l'efficacité. Il ne voit pas ce qui se trame dans son dos, la trahison de sa chimère qui se tisse lentement. Il se méfie d'elle, comme de tout ce qui peut nuire à sa position. Elle sait. Chimère qui peut à tout moment montrer de nouvelles capacités. Elle peut à tout moment lui planter une dague dans le dos tout aussi rapidement qu'il peut donner l'ordre. S'il tombe, elle ne sortira pas d'ici. Mais il n'en sera pas ainsi. Il ne se doute pas du lien qui la lie à James, mais reste à l’affût. Le gène lui à déjà trop pris. Son humanité, son adolescence, ses employés. Il faut toujours se méfier des mutants. Dangereuses créatures. Ils peuvent l'élever comme le détruire. Cette chimère aux grands yeux plus que d'autres. Voilà pourquoi il se méfie, voilà pourquoi il ressent l’insatiable besoin de la maintenir sous son contrôle. Pour ne pas qu'un nouveau scandale tâche le nom de Trask. Cette fois, il n'a pas de tête à faire tomber à sa place.


« James ne va pas me filer ses meilleurs plans en un claquement de doigts. »


Il arque un sourcil, doute de sa parole. Il attend la suite qui se fait attendre. Des miettes. Elle continue enfin. Offrez votre main et on veut votre bras. Voilà comment elle le remercie. Lui, il la laisse sortir, lui offre un brin de liberté en échange de ses services. Il n'en demande pas plus qu'elles obéisse, qu'elle remplisse sa part de l'accord entre eux. L'idée qu'elle ose brise sa patience.

‟ Vous Libérer ?” Il répète plus fort. Un sourire s'affiche sur son visage. Pas un sourire amical, ses nerfs craquent petit à petit. Sa voix s'élève de plus en plus. ‟ Et que voulez-vous de plus exactement ? Je me montre assez clément, je pense. Non?” Il tend les bras puis pointe le vide. ‟Vous pouvez sortir, d'autres n'ont pas ce privilège. Vous devriez vous estimer heureuse de ce que j'ai la bonté de vous accorder. Tout ce que je demande en échange.” Il marque une pause, sa voix monte et se fait plus forte. Son expression se transforme petit à petit. ‟ Tout ce que je demande en échange, c'est des informations qui peuvent m'être utiles. Qu'est-ce que vous me rapportez ? Des miettes Amalia et les miettes ne nourrissent pas. Dois-je vous en faire une démonstration ? Ne me faites pas perdre mon temps Amalia, vous savez que je n'aime pas cela. MON temps est précieux. Le vôtre est peut-être insignifiant, mais le mien vau beaucoup d'argent. Préférez vous songer à cela dans une cellule? Dois-je vous faire surveiller par quelqu'un que vous ne pourrez pas tuer cette fois ou vous montrerez vous raisonnable ?”


Il se sentirait obligé de la faire enfermer si elle s'obstinait à ne pas lui apporter ce qu'il voulait. Il l'avait déjà prévu. Pour ne pas qu'elle oublie de revenir, pour ne pas qu'elle oublie à qui elle devait sa semi-liberté. Elle perdait la réalité de vue, celle dans laquelle elle était plongée contre son gré. Une fraction de seconde. Un caprice. Il plonge une main dans sa poche et appuis sur le bouton d'un petit boîtier. Dans peu de temps, il serait rejoint par des agents armés jusqu'aux dents afin de l'enfermer. Elle voulait de la liberté, elle n'obtiendrait qu'une captivité temporaire. Une autre. Sa voix reprends son calme mais ne perds pas sa froideur.

‟ Ne m'obligez pas à vous soutirer des informations par la force. Je vous laisse une ultime chance. Je sais que vous en savez plus, allons, nous savons tous deux que vous pouvez être persuasive, alors je pense qu'avec tout ce temps que je vous ai laissé, vous avez quelque chose de plus consistant n'est-ce pas ?”

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> one day i will kill you
@Edward Trask

Ta proposition se heurte à la patience d’Edward. Tout du moins, aux limites de la patience d’Edward. Tu sens qu’il commence doucement mais surement à s’agacer, la preuve, il est venu te voir en personne sans passer par ton superviseur ou le chef de la division M. Le ton monte, la voix devient de plus en plus autoritaire et tu l’écoutes sans rien dire, n’ayant pas l’intention de l’interrompre. La pente est glissante, il te presse de lui livrer une information viable dans les plus brefs délais. Autrement dit, maintenant. Tu hésites à céder tu dois bien l’admettre, la hantise de retourner au fin fond d’une cellule quand ton appartement témoin t’attend sagement à Manhattan. Une illusion supplémentaire de ta liberté éphémère. Tes lèvres se mettent à bouger mais avant que tu n’aies pu prononcer le moindre mot, tu vois le geste du directeur et tu comprends. Tu comprends ce qu’il t’attend.

Alors Amalia, que vas-tu faire ? Mentionner l’institut te permettrait de gagner un peu de temps néanmoins tu mettrais Darius en ligne de mire et devrais te hâter de t’extraire de l’équation. A ce stade, tous les préparatifs ne sont pas encore au point. En d'autres termes : ta mort est toujours à considérer. Alors à contrecœur, tu décides de t’avouer vaincue. « Vous surestimez ma persuasion. » Tu prends un air pseudo détaché pour lui répondre mais t’es pas aussi tranquille que t’en as l’air. Consciente de la suite des événements. « Quoi vous comptez encore m’enfermer ? C’est sûr que là, vous allez rentabiliser votre investissement. » Tu avales péniblement ta salive, tu te sens comme un animal piégé qui devine les barreaux de sa prison avant même de les voir. Les battements de ton cœur s’accélèrent et tu vois devant toi une issue de secours, une source de pouvoir, un gene X inexploité mais le prendre de force ne te mènerait nul part. Au contraire, tu serais enfermée sur une durée bien plus longue. La frustration est à son paroxysme.

Ce qui t'embête le plus, finalement, ce n'est pas tant de retrouver ta déplorable cellule froide mais de ne pouvoir prévenir Darius et de devoir rompre le contact avec lui. Jamais tu ne portes sur toi le téléphone fourni par le mutant lorsque tu te rends dans les locaux de Trask, par conséquent tu n'as aucun moyen de transmettre un message à son attention. « Couture va trouver ça très suspect que je disparaisse d'un coup. » Evidemment, ton bourreau est tout à fait capable de gérer cette situation sans éveiller les soupçons mais tu te raccroches à ce que tu peux. « Oh je sais, vous allez lui envoyer des sms langoureux à ma place ? J'ai hâte de voir ça Eddie. » Diminutif prononcé avec une pointe d'insolence. Tu aperçois le bord du précipice quand des pas lourds se font entendre dans le couloir. Les chiens de garde arrivent et ton pouls devient de plus en plus rapide. « C'est bon j'ai compris votre démonstration de force, vous pouvez les rappeler... je ferais mieux la prochaine fois. » Négocier en position de faiblesse est un art dont tu uses et abuses en dépit du bon sens.

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