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TW : §2 : mention d'enlèvement + §3 : mention de torture.

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Il l’avait trouvée. Dissidente au pouvoir qui intéressait plus que tout le Traqueur. Quête d’une vengeance qui verra bientôt l’ouverture d’un nouveau chapitre, celui qui apportera une salvation des plus extrêmes. Il s’était rendu dans le Bronx, chez cette fameuse Emily Brown. Celle qui pouvait mettre un nom sur n’importe quel visage, connu ou non. Don qu’elle exploitait – illégalement – et qui ferait l’objet d’une arrestation des plus spontanées. Surtout contre l’argent qu’elle demandait. Qu’elle ait – ou non – à cœur de retrouver les personnes recherchées, Crasse spécule sur le malheur des gens. Mais qu’à cela ne tienne… bientôt Chasseur mettrait la main dessus dans le but de nourrir des projets personnels.

Cagoules vissées sur les crânes. Capuches coincées au sommet. Les mains dans les poches, les flingues dissimulés. Les pas lourds pénètrent l’immeuble et traine la menace jusqu’à la porte. Ils ont rendez-vous. Ils pénètrent l’appartement et kidnappe la principale intéressée. Faucheur et duo de cerbères attachent et enferment dissidente dans la cave d’un immeuble désaffecté du quartier. La discrétion est de mise.

Les portraits robots contre le cœur, les trois visages sont présentés et elle comprend. Elle refuse. Alors, il la force. Présente les armes qui ne l’intimident pas. Ensuite, il la menace de l’arrêter officiellement. Parce qu’il en a le droit. Main de la justice qui s’appliquera si celle-ci ne dégueule pas ce qu’elle sait. Mais elle préfère croupir en cellule plutôt que de permettre Vendetta meurtrière. Dernier recours, il la menace et la torture. Ça dure quelques heures avant qu’elle ne dévoile le premier nom. Les larmes coulent et se mélangent aux quelques écorchures du visage. Le deuxième nom sort. Bougre d’un calme brûlant, le note également. Mais il manque le troisième. Celui qui observera la menace d’un autre genre afin d’être entendu. Celui d’exterminer famille. Parce que oui, il n’y a rien de pire que de risquer la vie d’autres en échange d’informations. Surtout les proches empreints d’une innocence relative. Oui, il sait qui ils sont… Salopard aura fait des recherches afin de s’accaparer de tous les arguments possibles. Vicelard.

Cagoule troquée contre un bonnet, Traqueur se traine jusqu’à l’appartement d’une alliée. Magouille dans le sang et gène communs, cousine à l’hémoglobine tout aussi volcanique. Seule qui pourrait être à même de comprendre le geste et seule capable de libérer et livrer otage quelque peu abimée puisque employeur commun. La porte s’ouvre enfin, malgré l’heure de la nuit. Accoutrement qui ne laisse aucun doute sur les activités précédentes de l'assassin. Yo … J’ai besoin d’un petit coup d’main. qu’il déclare dans une langue qu’ils partagent, soulignant toute l’importance et l’impact de ce fameux service à l’accent familiale qu’ils ne peuvent se refuser. Parce qu’au nom de la famille, rien n’est refusable. Plan devant s’exécuter…

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Some people are born with tornados in their lives, but constellations in their eyes. Other people are born with stars at their feet, but their souls are lost at sea. ○○○  @Ángel Vidal  icons @nanamiavatars


Sommeil introuvable.

Car les paupières se ferment sur l’enfer.
Lente agonie ...

Il s’agit de passades, certaines nuits plus compliquées que d’autres. Les souvenirs s’entrelacent et éveillent l’âme qui ne sait plus où s’y retrouver. Le corps aussi dépassé qu’un volcan qui se ravive. Et dans la pénombre, la respiration devient plus difficile à gérer. Tout devient plus difficile à contrôler. Le corps qui ne cesse de chercher le moyen d’apaiser les maux qui te tiennent éveillée, en vain. En vain car, il ne s’agit pas là de rêves que tu pourrais chasser, seulement de souvenirs qui ont ta carne, s’agrippent pour que jamais tu ne puisses les oublier. Les draps eux depuis longtemps ne sont plus si agréables au touché, n’aident pas à t’apaiser. Les doigts viennent gratter ce qui démange avec autant de délicatesse que s'ils venaient se confronter à de la porcelaine. C’est mécanique, comme tout ce qui semble te représenter aujourd’hui. La pulpe sur les reliefs, pour calmer ou pour raviver, tu ne sais plus vraiment maintenant. Au-dehors, la vie continue, les mutants et les autres continuent de suivre leurs agendas et leurs petites vies quand la tienne… La tienne, tu ne sais plus à quoi elle sert. La vengeance adorée, remplacée par tout ce que tu ne sais plus nommer. 

Eteinte.
Et pourtant, si vivace dans l’être.

Tu tournes sans cesse. Chercher le sommeil qui pourtant ne viendra jamais. Et ce sont quelques coups portés contre la porte de ton appartement qui viennent terminer les infimes espoirs. Le sursaut n’est point là, la main déjà sur la table de chevet vient chercher ce qui parfois semble être plus approprié qu’un scalpel. Les mots de ton oncle toujours quelque part, tandis que tu enlèves la sécurité de l’arme qui te fait te sentir mieux. Les pas minutieux, et l’être attentif. Tu t’es toujours demandé, pourquoi est-ce qu’on t’avait laissé vivre toi plutôt que tes sœurs. Attendant sans cesse, que la sentence ne tombe. Mais la prunelle reconnaît, et tes muscles se détendent en découvrant le visage du visiteur nocturne. L’arme que tu glisses sur le buffet de l’entrée tandis que tu ouvres le premier loquet. Il n’est jamais bon présage que de se rencontrer dans de telles circonstances. Laisse Ángel entrer dans l’antre que tu ne partages que trop peu. — J’imagine. Comme évidence, les manches rapprochées contre tes bras tandis que tu le guides à te suivre. Tu n’imagines toujours que le pire, tu n’imagines toujours que les sentences irrévocables, mais si ton cœur s’acharne à battre plus fort ta conscience elle, se débat à ne pas l’écouter. Car ton regard déjà l’a examiné, le sang ne semble pas couler. C’est une situation qui nécessite un café, ou quelque chose de plus fort ? Terre natale qui reprends le dessus, le deuil que vous portez l’un et l’autre comme croix qui pourrait vous faire tomber.

Etincelle nécessaire,
à raviver la flamme.



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La porte s’ouvre. Complice apparait et laisse le meurtrier pénétrer son antre. Familiarité et salutation qu’ils n’ont même plus besoin de verbaliser. Un regard, un sourire – même léger – suffisent. Qualité qu’ils entretiennent l’un et l’autre, langage physique qui va bien au-delà des mots. Verbe devenu obsolète face à pareil degré de connivence. Relation infiniment précieuse pour tueur. Famille portée en piédestal malgré les germes de doutes implantés dans la caboche. Cruor sacré.

Hôte demande degré de gravité de la situation afin d’y conjuguer le breuvage adéquat. Les mires noires s’accrochent aux cousines, et le faciès affiche un sourire significatif. Encore une fois, les mots restent muets et seul le visage parle. Réponse toute donnée à travers cette demi-lune qu’il étire. Austérité certaine au vu de l’heure, au vu de l’accoutrement et au vu des palabres émis en amorce.

Intrus prend place, s’installe sans gêne réelle. Parce qu’il ne s’agit pas d’une situation où tous deux allaient prendre du bon temps à discutailler. Cuisine gagnée, celui-ci s’accoude sur la table, croise les phalanges et laisse tomber les paumes jointes sur la surface froide, attendant sagement qu’alliée s’applique dans son accueil improvisé. J’s’avais pas que Trask avait des ressources si intéressantes… qu’il commence, non sans cacher un certain sous-entendu. Vidal, cash, met le sujet directement sur la table. Loin de lui l’idée d’accuser qui que ce soit, agents si nombreux que tous ne peuvent se connaitre. Même s’il aurait largement préféré magouiller avec la Díaz comme à son habitude, cette-fois, l’occasion ne s’était pas présentée et il dut se mettre presque en danger pour pouvoir quérir l’information qu’il possède fièrement. Et puis, jamais il ne pourrait affubler cousine, alliée et complice de toujours d’un tel blâme. Il la sait de son côté, comme il sera toujours du sien.
Hémoglobine commune, consacrée.

Il attrape ce qu’elle lui sert pour en prendre une première lampée. Mires s’accrochent de nouveau au faciès associé ; Emily Brown, ça t’parle ? qu’il demande, d’un calme désarmant où aucune émotion ne pourrait trahir le volcan du fond des tripes.

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Jamais pourrais-tu n’être assez reconnaissante, de ne vous êtes abandonnés. Familia décimée, mais vous êtes là encore. Debout malgré les sentences, vivant malgré les guerres. Pugnaces. Ángel est la constance que tu ne souhaites pas perdre sans le verbaliser. Toutes ses choses que vous ne prononcez jamais, mais qui semblent évidentes. Le sang que vous partagez qui vous unis, et la tragique destinée, aussi. Rien ne semble plus concret que vos noms implantés dans du marbre, parce que ceux-ci ne terniront jamais. Dans la nuit vous vous retrouverez, et cela ne soulève pas de questions, cela ne soulève pas de peur panique. T’a appris à composer avec les années, et cela ne changera jamais la tendresse que tes prunelles posent sur lui. Si votre famille vous attends par delà les frontières, lui seul sur cette terre peux comprendre les trépas qui morcellent ton être.

Les mots ne sont plus nécessaires

Lui tournant le dos, tu attrapes le scotch qui te reste en réserve. Les bouteilles auparavant vidées lorsque tu n’arrivait plus à trouver pieds. C’est tout ce qui te reste mais ça fera l’affaire. Les doigts cajolent le verre glacé que tu t’apprête à remplir. Dans ton dos le mystère semble se lever, l’énigmatique dans la voix de l’aîné qui te laisse silencieuse. Le regard interrogateur quand tu ramène devant lui le verre à présent remplit. — Hm c’est un fait. T’aurais pu choisir la même voix que lui, celle de la violence. Mais l’esprit t’a porté chez Trask et cela vous à réunis plus d’une fois. L’alcool vient d’abord agresser l’être, avant de le réveiller complètement. Mais le nom prononcé ensuite, ravive l’esprit. T’a pas besoin de chercher, tu sais. Oui. que tu lâches sans préambule, pas besoin de le cacher. Les secrets n’ont jamais eu de place entre vous. Ses dernières années pourtant, son nom t’avais échappé. Rappeler en l’instant, tu sais. Tu sais au fond, ou il veux en venir. Elle t’a fourni ce que tu souhaitais ? Avant, t’aurais aimé qu’il t’en ai parlé. Avant t’aurais voulu savoir ce qui c’était passé.

Mais tu n’est plus comme avant. Et l’être froid qui n’aurait eu faire du destin d’un mutant, laisse place à quelqu’un d’autre.



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TW : vulgarité

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Les cristaux se remplissent en même temps que la réflexion sur les ressources de Trask est expiée. Regard interrogateur de la part de la cousine qui approuve, déposant les breuvages sur la table. Tous deux boivent première lampée dans un geste tristement et familièrement coordonné. Comme le reflet l’un de l’autre, les gènes partagés comme marionnettistes génétiques. Néanmoins, légère grimace vint crisper les traits du visage de l’homme le temps de la déglutition.



Après première gorgée, il pose sa question. Cousine répondant par l’affirmative, il signe un "oui" de la tête, formel, posant à nouveau ses mires sur le contenu du cristal prisonnier de ses phalanges. À son tour, elle demanda si la mutante lui avait fourni ce qu’il désirait. Elle la connait. Mieux que son nom, sa nature même. Alors, un demi-sourire étira les lippes du vil. Le regard se relève ensuite sur elle. Libérant son verre, ses paumes glissent de la table afin d’aller quérir cette clef cachée au fond de sa poche. Celle-ci trouvant la surface froide, l’index glisse l’objet ferreux vers Tana. Et ce n’est qu’après qu’il lui avoua : Ouaip… Mais ça n’a pas été facile. Libérant la clef de sa pression, les mains reconquièrent boisson éthylique. Petite gorgée glissant à travers les quenottes, la gorge fut suffisamment hydratée et brûlante pour préciser : Elle est enfermée là-bas. qu’il dit, désignant du menton l’adresse vulgairement inscrite sur un papier accroché à la précieuse. J’te préviens, elle est un peu amochée… Mais j’la ramènerai pas chez elle. Ni chez Trask. Il est formel. Ceci dit ; Néanmoins, j’ai l’identité de trois des fils de putes qui nous ont attaqués. Les recherches avancent, cousine ! Clin d’œil et verre levé à une trinque imaginaire sous le joug d’une vengeance qui prend bien trop de temps à son goût. … du coup, si tu veux t’en servir avant de la libérer ou de l’achever, libre à toi. Les magouilles dans le sang. La mort au bout des doigts. Ils étaient tristement des habitués à flirter avec la faucheuse, tantôt la provocant, tantôt la déjouant. Cruauté dont il fait preuve – sans doute – mais nécessaire afin de s’affranchir d’une vendetta qui dure depuis plus d’une vingtaine d’années. Et il sait – mieux que n’importe qui – qu’elle possède ce même feu au fond elle. Même s’ils n’ont pas embrassé le même chemin, il la sait capable du pire comme du meilleur.

Le sang ne ment pas.
Il ne ment jamais…  

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